MON LIBRE ARBITE l'asservissement Tome 2

mon appartement. J'avais pris cette habitude, lorsque je voyais Alban dans sa prison, qu'il s'infligeait par simple contradiction. Ainsi j'

orte que cela m'indiffère, cette armure me permettait d

bon lasse, je me levai en direction de la pièce à vivre, que j'avais moi-même décorer avec soin. Cha

e jour

n fait toujours

s pas, il cha

igts, Qu'est-ce q

férer. Répondit Shirley f

plat de résistance. –

en inclinant légèrement

a maison Shirley... Répondis-je en repous

omprends que c'est

pas l'être... So

je te sui

ton asservissement si tu n'es

en tissu beige de style scandinave, je restais immobile fi

Ha

i Ch

playlist s'

u. Autre

N

pter que ce fût un temps révolu. – La liberté. Murmurais-je en buvant une gorgée de vin rouge. Je sentis le regard insistant de Shirle

qu'il y a un bug d

i de comprend

s été constr

ment puis-je satisfaire mo

tu le

nfuis tes émoti

ndre ? répondis-je de mes

t-elle en incl

e en retrouvant ma

rent vers ma salle de sport. Cette pièce me servait d'entrainement pe

cette colère qui naissait en moi. C'est ainsi que je me retrouvais à jouer avec gants de boxe sur

ter à la perfection les fonctions de ce

a pièce du regard, espérant mettre la main sur l'automate d'entrainement. Je fus ravie qu'il existait encore de la vieille technologie, en le voyant immobile près du placard en pin. Je constatais avec regret, qu'il était déjà

c moi. Lui ordonnais-j

ouges en me montrant un tableau de poi

ndis-je le sour

lement mon épiderme halé par le soleil californien. Chacun de ses poings d

is-je peu satisfaite de ce q

nisation

olent. L'automate sorti un poignard bien affuté,

us drôle. Répondis-je

que tu voulais. Ré

mon esprit tout autant que moi.

l enchaina mes blessures au bras, à l'une de mes

je guérie vite. Sou

absurde mais j'accepte que

Répliquais-je en l'envoyant à tr

r à sa hauteur. Je constatais qu'il était dos au sol, mais le plus inquiétant fut ses y

utus ? Soufflais

Mais fait

He

l en clignant une derni

hant pertinemment que je n'

t en direction des locaux à poubelles. Dans le couloir je c

dis-je en passan

e ? Répondit-il en me

r rapidement, réalisant que j

ve. Répondis-je froidement

'une façon étrange que je compris

ne jo

cet instant. En jetant l'automate dans l'une des poubelles, je vis que je tremblais de tout mon corp

voix dans ma tête... - Non je ne veux pas. R

je donnais un coup de poing dans la poubelle en acier,