MON LIBRE ARBITE l'asservissement Tome 2
ent, il vérifia une dernière fois sa nouvelle identité. Jamais il n'aurait cru retourner en Fra
rait à quoi il ressemblait mais surtout devait-il lui faire
nsie
je n'ai pas réalisé
ondit l'hôtesse en vérifiant
e monsieur
Mademo
pour la prouesse administrative. Sans lui, il n'aurait pas pu s'enfuir aux regards de tous. – Qui était-il ? Pour qui il bossait en amont ? ce furent des questions qui restera
En mettant le pied sur le sol encore Américain, il prit une chambre dans le premier hôtel qu'Alban aperçut en sortant de l'aéroport. Il prit le temps de manger convenablement, p
lluer mais ceci lui allait très bien. Il se motiva en réalisant qui lui restait seulement une heure de vol, lorsqu'il arrivera à Rennes. Il fut ravi de cette perspective en se levant d'un bond en direction de la sortie. Lors de ses cinq heures d'escales, il profita de son temps libre pour s'installer sur une terrasse parisi
le sortie principal, inspirant profondément l'air doux de cette petite ville. Il fut de nouveau charmé par ce pays, dont il gardait de vieux souvenirs agréables. Néanmoins, il fit rattraper par son inquiétude des derniers jours. Il
urnant la tête, qu'il reconnaissait les traits familiers de cet homme. Il fut soulag
st to
! répliquait Arthur
ureux que tu
out de même pas à
est pos
on d'ici car nous avo
te
e l'aéroport. Alban remarqua un chêne pleureur mettant ainsi la voiture à l'ombre du s
ait se montrer compréhensif et avenant avec Arthur ou plutôt Emmanuel. D'ailleurs il avait un millier de questio
e dessus, ainsi Alban se laissa aller au sommeil, un
dée. C'est seulement. Lorsque le moteur se coupait, qu'il écarquilla les y
ésolé de m'
manuel toujours bienveillant en l
-être
je t'assure qu'il n'
it d'Alban. Il se rappela fatalement la raison de sa présence d
n pierre. Elle arborait des volets typiques d'ici, d'un vi
et beige, le chat fixa l'invité de ses yeux bleus perçants. Le chat se di
connus mais pas méchante pour un sou. Annonça
aucune méfiance d'
toi au caractè
e robustesse évidente. Alban y remarqua un boitier familier, prouvant qu'elle devait y contenir quel
ita enfin du calme qui
anuel de son habitue
it Alban rempli
rdais cette vision d'horreur de ma terrasse... Les rues firent presque vides de piétons, quelques courageux ma
ment à la veille, je sentis mon cœur se nouer en
à ma hauteur, il me tendit un verre de vin r
rprise, il resta silencieux, comme pour respecter mon intimité. Nous re
e. Soufflais-je entre
tu es malheureusement l'instru
t à cette constatation évidente. Je pris le temps de l'observer silencieusement, attendan
Shirley. Répondit-il en regardant mon télép
emercier mais je n'en ai
dit-il d'un sourire en coin. – Garde cette force d
r là ? Demandais-je e
uis que je boss pour Jayden, j'ai compris que tu étais capable de renaitre de tes cendr
es paroles dictées
-il en jetant un coup d'œil à mon verre vide. Il arracha doucement mon verre de ma ma
oi ? Demandait-il en revenant sur la terr
besoin, c'est tout. Répli
ns très
motions ? Répondis-je en sentant mes yeux sombr
rin ou bien le sentiment d'injustice
es
amusé par mon com
psychisme. Répondis-je en prenant le tél
arli
pliquais-je en m'enfermant dans la pre
yait de me faire comprendre comment me relever cette fois. Pourtant je n'avais pas les bonnes armes pour combattre le monstre qu
e torturais à cette heure si, fit la présence de Dimitri. Il se pavanait chez moi, alors que je voulais Al
la salle de bain, je vis une lueur d