Possédée par l'Alpha
YL
de manière incontrôlable, se dirigeant vers un petit garçon vêtu d'un manteau bleu vif, paralysé au milieu de la route. Les yeux écarquillés, son visage juvénile figé sous le choc. Mon cœur
r s'écarter, la camionnette lui rentre dedans avec un bruit sourd et son corps s'envole dans les airs sous la force d
deux mains tout en vérifiant son corps pour déceler des blessures. Il est déjà assis, et même s'il pleure et se tient la jambe, au moins il ne semble pas être trop gravement blessé. Le conducteur de la camionn
'atteignant. Je sprinte sur le bord de l'herbe au bord de la route et dévale la pente raide presque sur le dos.
atterri. Où diable est-il? Je dois le trouver. Je prends encore un moment, puis je le vois et mon sang se gl
merde
t clairement inconsci
e pas c
printemps ensoleillée, avec un ciel bleu clair, mais l'eau est encore très froide. Je plonge dans la rivière sombre et halete lorsque mes poumons se contractent, refusant de fonctionner normalement. Je
courant. C'est épuisant. Je suis haletant au moment où j'atteins le bord. Il est mouillé et sa peau est glissante, je dois donc l'attraper sous les aissell
des blessures potentielles à la colonne vertébrale dont il faut s'inquiéter. Je m'agenouille à côté de lui, les cailloux s'enfonçant dans ma peau nue, mais je ne les remarque presque pas. Je s
andonner. Je dois
se ma joue contre sa bouche pour sentir si de l'air passe entre ses lèvres ou son nez. Encore rien. En me balançant su
ng coule sur le côté de son visage dans ses cheveux noirs et mouillés. Un examen plus approfondi confirme qu'il souffre de blessures graves. Son a
je peux voir
ommis un tel acte de bravoure, mais toute autre issue s
Mes membres sont fatigués et lourds à force de le traîner à terre. Quoi qu'il en soit, je commence la RCR. Je prie pour que les sirènes qui approchent arrivent ici l
oper sursaute et tousse violemment, s'étouffant et ayant des haut-le-cœur alors que son corps expulse l'eau de ses poumons. Des larmes de soulagem
ses beaux yeux marron foncé, je les regarde s'ouvrir et il regarde lentement autour de lui. J'entends le bruit d'une civi
et je tombe sur les fesses sur le sol dur. Des mains fortes passent sous mes aisselles par der
et le connaît bien, à en juger par l'expression de son visage. À en juger par son expression, il semble bien le connaître. Repoussant brut
jambes en gelée fonctionnent à nouveau et peuvent me tenir debout toutes seules, je m'éloigne, j'enroule mes
corps frissonne tandis que le froid qui s'infilt
épaules, et je regarde bêtement la paire d'yeux bleus la plus brillante que j'ai jamais vue. Il se penche jusqu'à ce que nous soyons face à face et me regarde
s'attendant peut-être à ce que je bouge ou que je formule une réponse, mais je n'arrive pas à faire sortir un mot
trine avant de se retourner pour me porter sur la colline derrière la civière. Un grondement profond nous parvient, ressemblant presque à un grognement, et il relève rapidement la tête pour regarder son ami, avant de me regarder avec une expression curieuse sur le visage. Après
l secoue la tête avant de croiser à nouveau mon regard
iens à demander alors que je suis attac
e ambulance où se trouve Cooper et de sauter à côté de lui avant que les portes ne se ferment. Il y a une foule rassemblée mainten
profil bas et é
t que j'ai tout gâché. Je ferme les yeux et, malgré le fait que l'ambulancier à côté de moi me demande de r