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Duo doux-amer 01

Chapitre 3 Chapitre 3

Nombre de mots : 1488    |    Mis à jour : 01/02/2024

e la tête à cause des griffes inéluctable

gité lorsque ce sentiment familier d’être surveillé revint. Mes yeux s'o

ait un homme montrant une dent de devant

t, avant que la crosse de son pis

assommé. Tout ce que je savais, c'est que je m'étais réveillé dans une chaleur

e plancher du véhicule. Les mains s'enroulèrent autour de mes chevilles et s'accrochèrent brusquement sous mes bras. En quelques secondes, j'ai été soulevé du sol et transporté à l'air

nsporté sur une courte distance, puis traîné sur la banquette arrière d'une voiture. Mes captifs n'y prenaient pas beaucoup de soin et je sentais les boucles de la ceinture de sécurité s'enfoncer br

s l'horrible sensation de claustrophobie. Malgré tous les efforts pour rester dans le présent tout au long

visseurs, un peu de moins qu'auparavant. La dure réalité de ce cauchemar m'a frappé comme un train de marchandise

omme à l'extérieur du véhicule. Même si je ne comprenais pas ce qui se disait, je savais qu’ils n’étaient pas de potentiels sauveurs. D'après les rires occasionnels, leurs plaisanteries rapides

rte, sur mon genou et je me figeai de peur, mon cœur battant douloureusement dans ma poitrine. Alors que la conversation se poursuivait entre les hommes, la main intrusive s'est déplacée lentement de mon genou jusqu'à ma cuisse. La jupe en

e souffle que j'avais retenu, mais cela n'a pas réussi à apaiser l'envie d'être malade. Mon corps tremblait malgré tous mes effor

enait, frappant le haut de ma cuisse tendre. La piqûre incessante m'a fait monter aux yeux un flo

agresseur a frotté la peau enflammée avant de la serrer fermement et enfin de la relâcher. En g

agoule sur la moitié de mon visage et couvrit ma bouche avec un tissu qui dégageait une étrange et légère odeur sucrée. Alors que les vapeurs envahi

*

oignait ma tête ne faisait pas grand-chose pour atténuer les battements incessants dans mon cerveau. Mes bras étaient à côté de moi, indiquant que j'avais au moins été délié ; mes jambes ont

que je pouvais voir dans ma position, j'étais dans une grande chambre. La bande de lumière brillait sur une chaise ornée de broderies à ma droite et, au-dess

ne terreur instantanée a consumé chaque centimètre carré

frayé un chemin entre mes lèvres. "Putain…" Je pouvais à peine respirer. J'étais resté

lors que je cherchais entre mes jambes tout signe de

s pieds. Comme une poupée de chiffon, je me suis effondré au sol, mes genoux incapables de supporter mon poids. Ce avec quoi ils m'avaient drogué me frappait toujours. Je ne pouvais que prier po

is passé une éternité avant de l’atteindre. Agrippant désespérément aux rideaux à motifs, je les ai utilisés pour me stabiliser tout en me levant. En écartant le tissu épais, j'ai été instantanément aveuglé par

barreaux et du verre se trouvait une liberté très belle et pittoresque. J'étais impressionné par le jardin sans fin qui s'étendait à perte de vue avec une variété de flore luxuriante mélangée de verts et de couleurs, entourée de pavés en marbre et

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