UN CHANGEMENT INATTENDU
ur intense que j'avais ressentie à chacun de leurs mouvements de vas et viens. Je me suis assise a même le sol et je me suis mise à pleurer, je me sentais sale et dégoutante. Je m
'abstinence pourquoi si c'était pour me faire déflorer à que
ui avait laisser des briguant lui faire ce qu'ils voulaient ? pourquoi avait-il attendu si longtemps si c'était pour que je me livre aux premiers venus ? j'aurais dû me battre ! ré
et impure. J'ai laissé couler l'eau et je me suis assise a même le sol dans l
courage pour me lever et l'affronter, je me sentais sale j'avais tellement peur qu'il me regarde avec dégout quand il allait savoir la vérité. Je l'ai entendu m'appeler plusi
our qu'est ce
ercher une serviette et m'avais sortie de la
s'il te plait ! qu'est-ce que tu faisais sous
e...sens
qu'est-ce que
héri... j'aurais dû plus me ba
quoi tu
ouviens
...q
e que j'avais de plus chers. L
de quoi tu
ns un souffle avant de
loge fixer au mur marquais 10 heures et 30 minutes j'en
ernière fois mais hélas, Tous mes souvenirs étaient bien présents e
qu'elle n'éprouverait plus que de la pitié et du dégout à mon endroit. Elle s'est rapprocher de moi et m'as regardé avec sollicitude et j'ai compris qu'el
assise avan
u te sens
ste tournée mon visage pour ne plus voir son regard remplis
Mais ce n'est pas en restant murée dans le silence que tu vas rés
le ne me regarderait plus jamais avec les mêmes yeux, qu'elle ne v
arents, ma réaction avec eux a été la même sinon pire car je me sentais coupable de les avoi
t bien la dernière personne que je voulais voire, jetais sure qu'il ven
e sens tu
e que j'étais devenus dégoutante à ce point ? je m'ét
due te protéger...c'est à ça que sert l'homme dans la vie d'une femme
.
es plus me parler... je vais
sorti de la cha
ecin et encore moins à la thérapeute que mon père avait fait venir de côte d'ivoire pour mes soins. Si bien que le quatrième jour la thér
ire que je ne veux voir personne. Arnold m'avait acheté un nouveau téléphone en remplacement de celui qui avait été voler. Mais je ne l'avais jamais touché, il m'appelait toujours au moins 5 fois l
l'hôpital. Mes parents avaient donc décidé d'un commun accord avec mon fiancé que je devais retournée dans le domicile familiale car retournée chez moi pou
i de cette maison a peine un mois plus tôt pour une destination que je pens
er dans ma chambre. Mes parents m'avaient suivie en courant mais lorsqu'ils sont
en prie ! tu ne dois pas r
je m'étais vite ressaisie car je ne voulais pas causer plus de peine à ma famille, à mes amis
ni par craquer et ouvrir la porte, ils m'avaient serré dans leurs bras et je m'étais remise à pleurer de plus belle. J'aimais tellement mes parents ça me faisait de la peine de les voir dans cet état. Mais je me sentais tellement faible pour
ma démission dans la clinique dans la qu'elle je travaillais. Je ne supportais pas de me retrouver au mil
ersonne posais le regard sur moi, j'avais l'impression que toutes ces perso
lpabilité envers mon fiancé. Je faisais peine à voir j'étais devenus l'ombre de moi-même. Mon visage faisait pitié à regarder, en un mo
n J'étais devenus l