Turnover
a déjà racontée, je n'ai quasiment droit de ne rien faire, si ce n'est: sourire et écouter! Cette situation est ubuesque! Jamais, je n'accepterai une telle existence! Je
c des draps pour sortir par ma fenêtre. Il y a un rebord au premier étage qui me permettra de ne pas tomber et d'atteindre le sol sans embûche. Je sors de mon lit et enfile ma robe que je p
pied d'une commode gigantesque ( j'ai essayée de la pousser et cela m'a été impossible). Je jette le reste des draps par la fenêtre et entreprends sa descen
des roses, j'entends des gardes crier et commencés à bouger un peu partout... j'ai l'impression qu'ils ont constatés mon subterfuge. Un son de clairon retentit et je comprends que je suis recherchée. Je cours pour m'enfoncer dans le jardin, afin qu'ils ne puissent déceler ma silhouette. J
.
otée d'un lit à baldaquin et d'une bibliothèque. J'attends, entourée de quatre gardes, qui m'observent avec colè
partir. " dit-il, ne me
s êtes sûr vo
ent, je me sentais plus en sécurité avec eux à mes côtés que maintenant. Il marche dans ma direction d'un pas lent et déterminé. Je m
raper, mais je pars dans l'autre sens pour m'échapper. Il
encerai! Je partirai à
passe d'un autre côté mais en réalité, il passe de l'autre. Alors que j'atteins la porte, il m'attrape par le bras et saisi mes épaules pour me se
défendre et il me jette à terre si fort, que je
.
. Quelqu'un est assis à côté de moi, mais je ne vois encore trouble... On me sert d
" Vous al
ez-moi. " dis-je
orce pour me repousser, c'est que
Je n'ai pas p
e quoi je suis capable... À cause de vous, les appartement
: " Où so
: " Au
Vous êtes...
ntion! Je peux faire p
ouvez épouser qui vous voulez? Une femme consentant
et il s'est porté sur vous. Mon délai de sélection prenait fin et je vous ai vus, vous m'avez donn
train de me dire que tou
rais plutôt dit
e veuilles pas de vou
ous apprendrez que ce que vous pensez
vous êtes tombé sur la mauvaise proie! Je n'aurais de cesse que de vous mettre des bâtons dans les roues, je ne sui
glaçante de désir qui m'a fait frissonner dans l'écurie hier. C'est
e moi. " Je vais prendre ce qu'il me revient de droit... " dit-il, avant de coller sa bouche sur la mienne. J'essaye de le repousser mais il me tient bien fermement. Je mords sa lèvre et il crie avant de me regarder. Sa bouche saigne un peu, mais pas assez à mon goût. Il lèche son sang, et lorsqu'il comprend ce que je
ma respiration. Il se lève et sort de la pièce en furie. Les gardes