LE LIVRE DE LAYKOS - l'autre históire du loup-garou
SION D
s extrémistes qui, pour des raisons religieuses, n'acceptaient pas que beaucoup des leurs se convertissent au christianisme. Ils étaient décapités, pendus, brûlés vifs, et ceux qui survivaient avaient les mains mutilées pour qu'ils ne touchent auc
onne ne regarde, ou quand nous pensons que Dieu ne nous voit pas. C'est parce que le Paradis et l'Enfer, autant que nous les étudions et nous les imprégnons de connaissance, ne sont que des états d'âme que no
ue, nous pouvons l'ouvrir et utiliser n'importe quel objet à l'intérieur. Ainsi, quand quelqu'un nous offense, nous pouvons lever le marteau de la colèr
isme que j'ai commencé à vivre le Paradis avec mon âme, mais ma vie est devenue un Enfer charnel, grâce à Christ et pour mon bonheur. Car ce n'est que par notre volonté, dont le libre arbitre nous a été do
disant tout le temps de révéler cette vérité qui était venue et qui vient au scribe Hari Laykos, dont les parchemins sur toutes les persécutions subies par les chrétiens, il avait déjà écrit en secret, pour ne pas être également victime du même sort cruel qui m'avait condamné. L
ger ces révélations cruciales avec l'humanité tourmentée. Les moments qui ont suivi cette connexion transcendantale ont gravé en moi une certitude profo
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à ce moment-là que je fus témoin d'un phénomène céleste, une manifestation qui me fut exclusivement révélée. Dans les cieux de la prison où étaient détenus les traîtres d'Allah prétendant êt
e hâtai vers la prison où étaient enfermés les traîtres d'Allah. Là, je fis la rencontre du non-voyant Ibraim, baigné dans la lumière de Dieu, s'exprimant dans des langues étranges. Étrangement, comm
une amphore vide, remplie par une eau puissante de nulle part. C'est à ce moment-là que la parole du Seigneur s'exprima explicitement à travers Ibraim, fils de Samad, le chef de la garde du roi Ahamnd dans la terre des Perse
our manger et rester en vie, Dieu lui donna le pouvoir d'écrire de ses deux mains. Ainsi, quand il ne voulait
pas être découvertes, certaines se nourrissant de chair et de sang humains. Je lui rendis visite quotidiennement jusqu'à sa mort, notant scrupuleusement chaque révélation. Les gardes étaient informés que ce n'étaient que les élucubrations d'un homme dont l'esprit avait été troublé par le dilemme de choisir e
ournant le regard, je vis un vent tempétueux venant du nord, soulevant un grand nuage de poussière qui obscurcit la vue de tous. Ce nuage me souleva du sol, me tr
uvoir d'écrire a été transmis de son être, es ici protégé. Tu ne connaîtras ni la faim ni la soif, e
nt forme comme s'ils devenaient concrets. Une lueur enveloppait tout, et au cœur des mots émergeait une
ant quatre mètres de haut. Une grandeur naturelle émanait de son corps, principalement parce qu'il possédait soixante-douze ailes, réparties en douze paires d
ages et ailes. En marchant vers moi, j'entendais le son de ses ailes, similaire au bruit d'une grande cascade. Quand il me p