Femmes fatales
RE 1 :
mais, il n'y aurait pas eu la mort et surtout, il n'aurait pas perdu de nouveau un patient. Perdre un patient qu'on croyait convalescent, pour un médecin c'était le comble. Aujourd'hui quelqu'un avait rendu
eule chose en tête, assouvir leur désir, prendre plus de l'homme et surtout le laissé tomber bien après en piétinant son cœur sans aucun regret. Les femmes n'avaient pas de regret, elles étaient toutes hypocrites et voulaient diriger le monde. Il voyait de l'exemple partout autour de lui. Elles ne se privaient pas d'utiliser leurs charmes pour obtenir ce qu'elles voulaient. D'autres comme sa mère, ne se cachaient même plus
t le seul dans son entourage à remettre sa mère à sa place sans battre de cils. Il l'aimait, c'était sa mère, mais il ne supportait plus sa tyrannie. Il ne supportait aucune tyrannie féminine de toute façon. Les
était qu'un monstre et rien d'autre. L'hypocrisie incarnée, malgré la douceur qu'elle manifestait
père était un grand homme d'affaire, sa mère était sénatrice et lui, il était médecin, à vingt-sept ans. Son frère cadet Jack était ingénieur, sa sœur Nancy était étudiante e
cette fille revenait sans cesse dans sa tête. Le téléphone dans la chambre se mit à sonner. Tout en prenant son temps, il entra, puis soupira en voyant le numéro de sa mère. Il ne ma
fit-il d'une v
u allais me sortir une excuse plus tard que tu n'avais pas ton téléph
écrocherai pas tes appels. Seulement, je
te pour te demander d'être près, je s
je ne s
econdes. C'était bizarre. A ce moment, il se souvint de ce qu'elle venait de lui dire, elle arrivait chez lui ! D'un geste rapide, il prit sa veste sur le lit, mit ses téléphones dans ses poch
mande, je ne suis pas là.
a porte d'entrée. Une femme qui paraissait à peine âgée d'une quarantaine d'années descendit de la voiture. En réalité, elle en avait cinquante-cinq ans, mais la chirurgie et les produits cosmétiques lu
ne te retrouverai plus chez
sèrent chale
t tord maman, je vais d
'invente pas d'histoire. Entrons plutôt, je meurs de chaud. Et dis à ta bonne de nous app
ine, Odile n'avait pas perdu une miette des ordres de sa mère. Tous les deux passèrent par le jardin et prirent place
mère n'était pas là par hasard. Ell
u sais bien que dimanche je serai venu p
trop de temps. Et pour voir mon fils,
es boisons, et repa
dire ? demanda
t. Avec la présence de sa mère quelqu
ille qui était venue déjeuner un dimanche avec nou
arc. Miss Cameroun ? Oh
auf une miss. Et tu n'as personne en vue en ce moment ? Je ne
personne en vue
mieux
nd sourire, qui comme
? Et depuis quand mes
plus en plus u
ais te léguer la présidence de la clinique, m
ut cela n'était autre que les bébés de sa mère, ses joyaux précieux. Il avait toujours rêvé de travailler dans la fondation humanitaire de sa mère, celle qui venait en aide aux orphelins, handicapés et pauvres du Cameroun. C'était une grande fondation i
reux. Seulement, je me dema
el p
ser à cette retraite anticipée. Je sais à quel p
m'occuper de certaines affaires. Toi tu es jeune, et je sais a quel point
seulement, je suis de ton
u vas hériter de tout cela, et tu sais bi
st-à-
chercher à fond
il se calma quelques instants plus
ant que tu étais sérieuse. C'est une bonne blague je l'avo
omme tu viens de me dire à l' instant que tu n'as pas d'histoire sérieuse dans ta vie, j'ai pris les devants pour toi, et je suis allée voir Blaise Odom. Tu te souviens de lui ? Cet ami de ton père... év
re exactement ce qu'elle disait. Sa tête avait cessé de réfléchir à l' instant que le nom de Blaise Odom avait é
s maman ? demanda-t-il en ret
e parlais de mariage cinq ans plus tôt. Seulement, vous étiez si jeunes à
a mère, et ne
ser personne ! Tu entends ça ? Personne. Surtout pas cette...Cette fille ! Jamais. Tu devras te trouver quelqu'un d'autre qui décidera de te suivre, moi il n'en est pas quest
a, elle plia soigneusement ses lunett
non plus quand on s'est rencontré. Je suis ta mère, et sur toi, j'ai tous les droits que tu le veuilles ou non. Tu penses que tu peux jouer à ce jeu avec moi ? Tu te crois grand, mais tu n'es qu'un égoïste. Quand je te regarde, je ne vois en rien le fils que tu as été autrefois. Je vois juste un gros idiot qui se croit déjà tout permis simplement parce qu'il se dit déjà médecin. Tu te tr
t plus que sérieuse. Et même s'il demandait de l'aide a son père, il savait bien qu'il ne ferait rien pour lui venir en aide. Pour son père, Geneviève avait le contrôle de tout. Elle se contentait juste de lui rendre
UIV