Crimes à Avignon: Corinne ma p’tite chouette Broché

sente Brigi

ig

qu’elle est très riche, ayant touché l’héritage

ore la vie, les fêtes

contrés à Paris, et comme Éric voulait vivre prè

et sortir des

ui a payé

e elle et lui je crois qu

va souvent dans des soirées et elle ai

e, c’est le sexe, et cela, j

r

il a une vie de pépère, il ne p

ne le connais pas beaucoup, je

rir Éric quand je travaille

ent car il part plu

di 15

dirige vers la cuisine et là je

me

jour,

vers moi et

en nuisette transparen

ui d

a, car là c’est très chaud

ourit

ours en nuisette et souvent dans la journé

u’elle es

épon

avait pas Éric je crois

re plus et va ch

ée, je pense qu’elle a besoi

se met pr

e d

faire aujour

re des courses avec Corinne, je voudrais

à il est trop tard, en plus elle n’est pas l

rire en me reg

avec moi à la douche tu

egarde,

e d

ore au lit, Éric est à son boulot e

d

is je te frott

t de nouve

ous verr

café en fum

me regard

pas un petit

en

Ou

un joint et

tête j

’ennuyer, je crois

nt le pétard et je me sens déjà dans le

main et elle m’emmène dans la sal

bille-t

mais je ga

enlevant s

s prendre ta d

je me

garde e

t elle me tire dans

e d

dos, Hugo, et pa

esse partout, je pince ses tétons, elle a des seins m

main et la pos

e d

ugo, je veux qu

mour et vraiment

, j’entends du bruit da

rinne doit

ambre, je m’habill

utes, nous revenons et

e d

je peux pre

tte r

i et tu as tout ce qu

gardons, je vois dans son r

à Cor

us irons faire les magasins et tu

gentil, mais je

plaisir. En plus, Brigitte m’a

pas et ne veux pas

-toi,

itte

e ne fais pas à manger, nous

ord, Br

Brigitte me regarde et me fait

le

Elle prend mon sexe dans sa main, me masturbe et d

e d

es à moi et

, ma

un bon moment et re

e d

s deux, cela se voit, mai

temps je vais quitter Éric, car il n’y a plus r

épon

’en fais pa

sou

mes près et nous allons

, les deux femmes vont faire des courses,

reviennent,

u que je m’achète

ol, merci,

me regard

é quelque chose po

c’es

erras

s ce que c’e

s je ne di

« Ah, le

à la voiture

ture, je di

tte et maintenant je va

u veux, j

ons, il es

itte

sique, tu sers l’apéro, Corinn

u veux boire quoi

nne

y a mais pa

itte

bière, tu vois je me souvie

je vo

la musique et je

arent des pizza

uvons l’apéro, Brigitte sort un p

itte

n, Éric ne rentre que dimanche. Hugo et moi on va a

d

aire quoi

e veux juste passer

nne

ler à la gare, j’ai laissé des affaires

ais tu fais a

ui

nos verres

itte

ssers des verres

cord m

le est en peignoir, mais je vois sur ses jambes du

itte

là, j’ai une surprise pour Hugo, ma

d

ma p’tite chou

nne

o, rien ne me

us ses vêtements. Je fais l

foutue, dommage qu’e

ui d

te, s’il te plaît va

dans le salon en short et

, nous mangeons en racontant des blagues, en

mais comme c’est bon, cela faisait lon

es cafés et deux armagnacs. Nous allons nous asse

ore très ch

itte dit qu’elle est fati

chose et moi je me se

s minutes, je vois

me

oi un ve

e moi et sort deux sachets,

e d

, on va être

ela fait depuis Paris q

u vas en pren

s pour elle et deux autres plus petit

deux rails e

de et enlève

d

tu es superb

es bas et le tout est rouge, elle sait que j’adore, elle

e d

ugo, enlèv

oke sur ses gencives puis elle prend mon

verge devenir très vite énorme, comme c’

garde et

ma bite comme elle

s me baiser très longtemps,

sucer, se met à qu

fort devant et derrière,

rande partie de la nuit, c’est un pur bonheur. Vraiment

fumons une clope et Brigitte refait des rails de

tout et comme

nous allons dans la chambr

e d

, je dors av

lle, mais si

s, il ne rentre q

sse, surtout sur les seins, elle adore, je pince s

e d

-moi enc

son clitoris, nous jouissons très vite