Au delà de la vie
pit
ne Os
nt, au début Zoé avait fait des siennes, je n'arrivais à la prendre dans mes bras que dans son sommeil. Toutes les tâches liées
Marlène et trouvait toujours quelque chose à faire avec moi. Je savais qu'il fallait êt
e m'a accepté et m'a i
ures avec moi et rentrait tôt pour survei
rps et je me retrouvais le soir dans mon lit et à la douche rêvant de ce qu'il pouvait me faire ou me faire faire. Ça devenait dé
eint luisait tel un silure et invitait aux caresses, j'avais des
lorsque j'avais vu le nombre de voitures qui s'arrêtaient e
e et mes grands frères n'avaient cessé de me mettre e
onner encore matière à me détester et à me traiter de tous les noms d'oiseaux et à accuser les p
mon monde tournait autour de mes parents, seule Madeleine m'avait fait de la
70 et n'était ni mince, ni grosse, juste ce qu
rands frères que j'avais, il m'était impossible de mettre des produits défrisant sur ma tête, c'étai
r ça il me fallait être indépendante. J'avais appris à vivre avec mes cheveux et m'étais abonné aux tresses, aussi bien au fil qu'à
er combien ils étaient beaux. On était pour la plupart à l'école abonné aux jeans, moi je mettais des pantalons en tissus. Ayant presque toutes la même corpulence, j'héritais de
t de son fier nez à l'arrête bien droite, nous étions
ards insistant de William Owanlélé afin qu'on ne dise pas que j'avais allumé le patron. J'avais bes
rement à un homme. Avec toutes les menaces des visites chez le gynéco de mes grands
être déçu. J'ai eu deux petits amis, ils m'ont laissé tomber lorsqu'ils ont
ssy » qui les intéressait et non moi, parce que si ça
je devais le garder précieusement jusqu'à ce qu'elle-même s'a
ns la maison ne marquait sa présence, et William m'avait fait savoir qu'il élevait seul
cuper des fleurs pas parlé avec vous. Monsieur William n'aime pas les papotages et n'hésite pas à arrêter le
petites à ouvrir mes cahiers et réviser mes cours, his
jusqu'à ce que mon monde soit un jou