À l'infini
: A bout d
rien d'honteux. Il ne cherche pas son intérêt, il ne se met pas en colère, il ne se souvient pas du mal. Il ne se réjouit pas de l'in
je n'ai cru qu'un jour je serais dans une situation dans laquelle ces mots me parleront, dans une situation où ces mots résumerons ce que je vis et même encore plus. Et pourtant c'est le cas. Aujourd'hui 13/0
fiques petits enfants avec un énorme trou dans le coeur dû à l'ignorance, l'ignorance sur le fait de ne pas savoir où il est. Je fais une dernière fois le tour de la maison pour vérifié non seulement que tout est bien fermé et aussi qu
ns lesquelles ont retrouve une orchidée mauve. Je suis installé un peu en retrait sur l'une d'elle. Parce que ce n'est pas une heure de pointe j'ai la possible non seulement d'admirer le flow continue des gens qui passent qu'ils soient à vélo ou à pied mais aussi de capter tou
lques couples sont assis autour de moi et que derriere le comptoir que j'aperçois au loin il y'a au moins un serveur mais c'est tout. Je ne saurais les décrire ni de manière concrete
urne légèrement la tête vers la voix et mes soupçons s'avère vrai: c'est lui. Et comme à chaque f
blanc avec les deux premiers boutons de sa chemise ouverte. Parlant de ça je porte aussi une longue robe blanche tout comme tous ceux autour de moi: est-ce un dress code pour une soirée? Mais si c'est le cas pourquoi je ne reconnais personne? Je n'ai pas le te
us à nouveau, il n'y plus personne. Le vent souffle plus fort j'entend le tonnerre grondé et les petites pique de sables et des feuilles qui se lèvent. « J'ai besoin de toi » sa main se resserre sur la mienne, son ton devient plus urgeant je ne sais pas pourquoi mais j'ai la désagréable sensation qu'il vas partir sans moi alors de ma main libre je m'accroche à son bras et d'une voix que je ne reconnais pas: « on rentre ensemble à la maison. » Mais je sais après avoir pro
rt Lui, le Vivant, Celui qui su
ni sommeil ne
ce qui est dans les
r auprès de Lui sa
eur passé et
ils n´embrassent
cieux et la terre, dont la ga
Très Haut, le
ha 'Illā Huwa Al
uhu Sinatun
-Samāwāti Wa
Yashfa`u `Indah
na 'Aydīhim Wa
hay'in Min `Ilmihi
māwāti Wa Al-'Arđa Wa
l-`Alīyu
ns le noir sanglotant et répétant la même phrase « Ya alla
is haute: « Ya Allah je n'y arrive plus. » A l'instant où je dis ces mots tout leur sens me frappe et je m'e
ves en
xiste trois t
e véri
sentant un dé
rovenant
ah choisi pour communiquer avec nous pour nous annonc
appelé cauchemar n'est qu'un moyen supplément
dans lesquels l'on revit des événements qui nous marqué durant not
ève. le ciel a pris des teintes oranges teintés de touche de lumière qui le rende magique mais je ne l'apprécie qu'
omment me suis-je levée chaque matin? Où ai-je tr
de moi. Je suis déjà en route vers leur chambre qu'une autre petite voix fluette ne m'appelle aussi
n? » je regarde par la fenêtre le jour n'est pas encore complètement lève et reporte mon regard vers lui. « Non c'est l'heure du fajr. » je souris et me tourne ve
rire rassurant, « Absolument allez debout c'est l'heure du fajr, » quand ils sortent de leurs lits et courent vers moi je sens la