Unfaithful woman
1 du c
Mon homme me laissait indifférente, quand nous faisions l'amour,je pensais à Arnold, Mon mari a ressenti mon éloignement, je ne gérais même plus ses rentrées tardives,je ne l'appelais plus en plein boulot pour lui dire des « je t
Salle,et ce weekend là, Pat devait se rendre à un deuil, normalement je devais l'accompagner, ma
sines,on était vendredi soir,il était arrivé à 18h, embouteillages aidant, à hôtel à 20h,Pat lui partit plus tôt l'après midi de vendredi pour le village avec le cortège juste après la mise en bi
ort primaire, je ferais un effort secondaire, du coup, je pris avec moi, ma tenue de sport et l'équipement q
le retrouver enfin, je vais pouvoir discuter av
ressenti t
toi alors...(gênée,
ue, et çà l'était... Arnold esquisse un pas de danse et se retrouve face à moi, soulève mon menton, m'effleure les lèvres des siennes, me cambre la taille de ses mains,me fait tourner sur moi-même et nous nous mettons à danser un slow langoureux. Je ne sentais plus mes pieds,le sang battait contre mes tempes et mes mains moites glissaient entre les siennes, i
je ne l'avais jamais fait, tout espace apparemment est propice
dans mon dos,mais à l'heure là, je ne sentais plus rien,je n'avais jamais eu le genre de sensation ci, j'étais dans un autre monde je m'envolait et je redescendais sur terre, j'ai commencé à trembler et à pleurer, mon corps ne m'obéissait plus, tous mes muscles ne m'appartenaient plus, j'ai ressenti un liquide chaud m'envahir de l'intérieur,j'ai v
y avait une partie cachée de l'iceberg que je n'avais pas encore vue, et Arnold était prêt à me la montrer... Alors, pendant qu'il me serrait contre lui, j'ai pleuré, pleuré de j
bienvenue,encore dansé,et épuisés, nous nous sommes endormis. Lui il
ITRE
vers des rideaux de la chambre, un coq mal intentionné s'est mis à c
hée dangereusement de moi !!! See me Balock, n'est-ce pas voilà mon téléphone qui son
artout comme une puce, je me tordais les mains,répondre
il ne se décompose pas, il se retourne simplement pour me
déc
nctionne à mille à l'heure, le tour ci, c'est cuit, j'ai du mal à mentir dans le genr
i ? tu as b
non ?) j'ai appelé au fixe de la maison, personne pour répondre, le gardien me dit que tu n'es
utour de moi, je guette Arnold qui me fait signe d'aller vers le balcon, pour le bruit des voitures) ékié qu'est ce qui t'arrive Pat ? (il n'y a pas assez de bruit au balcon, Arnold ouvre la porte
: All
aire genre la commun
le sien sonne aussi, il regarde, je comprends dans ses yeux, c'est sa femme !! il v
me raccroches au nez ?ne t'amuse pas avec moi, j'
, toi-même tu connais MTN non ? (il y avait franchement les bruits de klaxons de quelques voitures qui filtraient,j
, hein ? et pourquoi le gardien ne t'a pas vu de toute la soi
ns la voiture puisqu'elle me dérange depuis hier après-midi, une collègue m'a déposée et je suis entrée avec mes clés, le bon monsieur dormait lui,je l'ai même réveillé est ce que le bili bili des toupouri là voulait alors sortir de ses yeux ? ce matin je s
t à la maison,je rentre à 13h
il racc
es que j'étais encore par rapport à Arnold ? je faisais
lme toi, çà va
e seulement mes deux poignets avec sa main, je ne peux même plus bouger... s'il se doute un seul instant que je
is morte ooohhh !! le gars là ne me crois pas, je te jure...toi qu
u as « vraiment » amenée, fais tes affaires,rentre chez toi, et silence radio pour nous deux, jusqu'à ce que tout se
prend le visage
de m'appeler ? elle voulait savoir si j'ai bien dormi...
va pas s'en sortir à ce rythme là, je préfère qu'
mes yeux coulent, les sanglots coupent ma poitrine, il me tient contre lu
s je ne regrette pas un seul instant passé avec toi, je garderai le contact avec toi, mais je ne te garantis pas que
r, car je pleurais en cachant mon visage, qu'on ne me reconnaisse surtout pas !!! Je march
uverte. Je ne regardais pas devant moi, j'ai juste senti le choc derrière moi, me voici au sol, une belle Yaris bleue vient de me cogner, je suis étalée,
moi mais les curieux étaient déjà autour de moi pour voir
r, ne la laissez pa
ndeuse de pastèques là,on m'asseoit, on me ventile même ! Tsiuppp on vou
yeux pleins de colère, je rencontre ceux, ténébreux
connaissais rien, il a veillé sur moi comme un grand frère jusqu'au jour où, l'intimité aidant, m'a rendue femme. Et là l'amou
père que tu n'as rien de grave... je suis désolé
juste un peu mal à la
t que j'entends
loria,
ête, Gael, le cousin de m
essayé de te faire signe quand tu allais dangereusement vers la ch
signe de Dieu pour que j'arrête mes histoires là avec Arnold hein ? mais est-ce que c'est alors bien, Dieu, quand tu fais tout çà pour me protéger, et que ensuite tu t'arranges maintenant à