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Le village sans nom

Chapitre 2 No.2

Nombre de mots : 1248    |    Mis à jour : 31/10/2023

Jessica, réveille-

tesque maison sur trois étages avec tout autour un énorme jardin avec d’immenses arbres. La lune se reflétait sur les façades de la maison et la vigne cachait les grandes fenêtres des étages. Je ne me sentais pas rassurée, je

ais haïr cette nouvelle maison, je sens comme… un

ntastiques, tu te crois dan

éalité, j’avançais dans la boue gluante du

eux les jeter

re qu’un manoir lors d’un soir de pleine lune, l’angoisse remonta en moi, cette maison ne m’inspirait guère confiance, et ce bruit sinistre ne faisait qu’

inge, viens t’asseoir un moment, di

plein de trous, et quand je m’y suis

as souvent faire le ména

plutôt chercher de

. D’habitude je suis bonne comédienne, mais pour une fois la douleur était vraimen

James ! Tu es le

s ça t’a

ès d

longée sur l’herbe avec un petit chien assis sur les genoux, le tableau donnait de la joie dans la pièce. Il y en avait un autre, qui laissait apparaître le portrait d’un adolescent à peu près de mon âge, qui regardait dans le vide

is sûre que vous allez les adorer ! Elles sont deux f

che des petits feux follets. Un long sommeil ne me ferait pas de mal, mais l’excitation de tout découvrir fit pencher la balance. Au premier étage il y avait un petit salon, les fauteuils étaient jaune moutarde et la poussière s’entassait dans les co

on de déménagement arrivera, on installera notre

! dit mon frère d

sais très bien qu’on

affaires, puis nous continuâmes notre visite. Au deuxième étage nous découvrîmes deux immenses chambres ave

Je l’adore ! Et ce grand lit

ait Jessica, tu, tu vas très vite ad

mais moins spacieuse, et puis elle n’avait pa

s anciens propriétaires l’avaient laissé à ma grand-mère car ils ne pouvaient pas le transporter. J’ét

il y a écrit WILLI

propriétaire de ce miroir, ne t’attarde pas sur des détails, on a

ornait la pièce, du sol au plafond et sur toute la longueur, à en couper le souffle ! Je m’approchais, rêvassant de droite à gauche et j’aperçus un

nait ses plus beaux tableaux,

chelle en plein milieu

. On ira demain, il est beaucoup trop tard, allez vous co

iguait. On voyait au loin les lumières du petit village, ce qui me replongea directement dans la nostalgie. Je repensais à ma vie d’avant, à mes amis que j’avais dû laisser, et à ma très chère maison… Je me remis à pleurer à chaudes larmes, des larmes mouillèrent mon oreiller, m

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