Morts sur le champ
ant seule dans ce
– Sud d'Israë
e installée sur le toit en terrasse de sa maison. La température, devenue
re une belle femme. Grande, brune, le teint hâlé, ses yeux foncés r
re, pourtant intéressante. La tête lui tournai
ui la plongeaient dans une abondante littérature. Mais aussi la poussaient à se rendre à des conférences aussi spécialisé
igieuse catholique, pensionnat de jeunes
sme l'avait terrifiée en proférant : « Mes filles : si une nuit vous entendez un appel de Dieu à le servi
on lit, qu'on l'appelait. Au bout de la troisième fois, force lui avait été de constater que l'appel réitéré ne venait pas du prêt
de bonne sœur dans le contexte cathol
é, dans sa grande naïveté d'adolescente, de se mettre la tête sous l'oreille
e la torpeur qui l'envahissait. En s'étirant, elle eut conscience d'un bruit a
nt seule dans cet
c elle et acheter un de ses tableaux. Elle l'avait invitée à en discuter autour d'un verre. Il a
e garde-fou, pour jeter un coup d'œil en bas. Un sac plastique chahutait dans la bise. Mais ce n'était pas tout à fait le même bruit.
ins, elle l'avait accommodé à sa sauce. Elle avait gardé la foi dans un monde de l'Au-delà, mais où Dieu n'était plus une personne mais une sorte de «
s spirituelles à l'œuvre dans le dernier groupe ésotérique avec lequel elle frayait. Les témoignages
, l'âme et l'esprit de façon positive. Bien plus que ce que la religion chrétienne avait à lui proposer, dans ce qu'elle avait retenu de son catéchisme. En fait, il s'agissait de s'initier enco
que l'Au-delà n'avait pas fermé ses portes et qu'il fallait s'y engouffrer. Mais ça n'avait pas intéressé le curé auquel elle s'était confié qui, d'ailleurs ; semblait tout ignorer des manifestations bizarres dont elle lui par
ne, elle frissonna. Il fallait qu'elle se couvre et
, différent, qui, cette fois
de réfléchir à ce qui
lhouette à contre-jour, qui s'encadrait dans l'ouvertur
a les yeux. Pu
! Vous avez oubli
Ou
roport Ben Gou
Autant, à son arrivée, les formalités avaient été étonnamment vite accomplies, autant les contrôles au départ semblaient redoutables, avec des files d'attente dans tous les sens qui semblaient figées. I
e contenu, et par là même de l'offrir en spectacle à ceux qui s'ennuyaient. Les propriétaires (combien de temps avaient-ils attendu pour e
était au stade où il envisageait avec angoisse que l'aéroport p
sibles à la population ; mais, là, au départ, ils ont peur de quoi ? Qu'on fasse sauter un avion, certainement plein d'étrangers... Question d
à passe plus de temps à regarder autour d'elle qu'à balayer », remar
des agents de ses services secrets parmi le personnel de nettoyage de l'aéroport. D'autant que ce pays af
re d'une exploration de ses bagages, souhaitait j