Ultime vision
quel droit lui soumettrait-on une
r les besoins de demain. Vos intentions ne sont pas trè
la voix de Dieu sur notre avenir. Ne l'oubliez pas, voulez-vous bie
prêtre se leva sans brusquerie mais avec
ureau. Vous avez là, toutes les informations pour mieux faire. Et ne me remerciez pas, continua-t-il d'un air espiègle. Dieu n'a jamais été aussi proche de nous. Il rassemble les
és à copier notre modèle économique, au-delà de ce qu'ils ont préconisé depuis tant d'années, jugea-t-il bon de se dire pour se rassurer. Il tendit la main, hésita encore puis s'empara l'enveloppe avant d'en sortir le contenu. La lecture lui demanda des lunettes. Concentré, il crut bon de se lever et de se diriger vers la fenêtre avec sa lumière du jour en appoint. Après quelques phrases, il leva le nez, un brin circonspect, puis
ché De Lebardin
Eu
iste des représentants
l'archevêque de Paris et son préposé pour suivre les tr
ls tr
glise catholique. N
m'en contrefous.
les puis fronça les yeux d'
est entré sans qu'on a
pas méfié. Il était bienveillant et...
soire. C'est honteux ! Convoquez-moi Castel et Valmont, qu'il
t sur la naïveté de son service de sécurité. Intolérable, en conclut-il de rage. On cogna, l'empêchant de cogiter davantage. Valmont, son conseillé particulier mais aussi expert de l'évaluation et de la prospective géopoliticienne du monde, entra le premier. Grand et sec, le regard doux de ce quinquagénaire contrastait avec le sérieux qui lui collait toujours au visage. Dans sa foulée Castel, plus âgé, au physique
astel ! Le prétendu moine qui vient de sortir, je veux tout savoir de lui ? Pour qui tra
à tous les PC de surveillance de la capitale pour le repérer, et si possible, connaître sa destination et occasionn
le professionnalisme de son homme de confiance qui
reurs. Vous me ferez aussi le plaisir de faire le nécessaire auprès du planton de surveillance de notre
rochainement un rapport détaillé sur les erreurs commises. Les sanctions, qui
tolère aucun laxi
èrent par de simples cl
de sécurité ont été respectées et ce
nistère ! Les tensions internationales sont déjà à même de nous d
, Castel allongea les lèvre
Markov ? demanda le ministre point
ea son homologue qu
vous, monsieur le Ministre. Pourq
gnement, ou plutôt, de
t puis trafic d'influence et fraude fiscale. À sa sortie de prison, il s'est exilé en Principauté de Monaco avec femme et enfants. Les autorités monégasques sont embarrassées, c'
gieuse
vainement une réponse
thodoxe, finit-
comme doit l'être un homme aspirant
moralité d'être en osmose avec la pratique spirit
les plus brefs délai
iescèrent, les regar
ait-on
a mort de son milliardaire de père. Mais la famille aurait été prudente, dit-on dans la sphère économique et bancaire. En possession d'une fortune, il se serait occup
ée de son profi
généreux avec les gens qui lui sont fidèles. D'ailleurs, toute une cour parmi différentes personnalités influentes du spectacle, de l'industrie verte et d'une finance qui se veut plus respectable d'une économie garantiss
de maî
nnaissance, mons
itiqu
yeux. Il veut changer la Russie, insuffler des idées nouvelles, ou plutôt porter un nouveau modèle planétaire, plus paisible, plus égalitaire, plus juste selon ses termes ou l'économie inflationniste
Il est Russe,
s'éteindre face à la mine soucieuse d
gent révolutionnaire et intéressant. Tout dépend sur quel point de vue on se place sur l'échiquier politico-économique. Difficile de se faire une
llement. Tout est calculé pour que la mise en œuvre de son programme soit simple pour tout le monde, monsieur le Ministre. Mais chac
tôt conservateur et nostalgique de sa grandeur passé. Le confit Ukrainien en est un exemple. Enfin, d'après une note de la CIA, il se dit, certainement par opportunisme
la mine sombre. Il décrocha son téléphone et appuya sur
Président... No
e d'incrédulité se dessina sur les visages de ses assistants. Le Mi
politique à la France. Pfffff... quelle merde ! Veuillez excuser l'expression
son prétendu pedigree ? Il ne sert à rien d'affoler tout le monde, mons
davantage. Puis nous aviserons le Président avec tous les aboutissants e
allait être long et difficile, craignant le court-circuit avec une
t n'allait pas si mal. C'était rageant et quand la rage s'immisce dans les esprits, la
jamais d'un calendrier établi à l'avance, mais bien de la conjuga
rt de son collègue pour s'entret
re De Lebardin, je le connais même très b
e en resta
pas un coupable, c'est moi qui l'aie fait entrer. Je me tiens à votre disposition pour en discuter
sidérant. Je ne peux
f monsieur le Ministre et écou
us voulez un état régi par la religion ? Je ne vous reconn
rétienne telle que nous l'avons connue. Je voudrais juste vous faire partager le programme mis en place par toute une communauté
asourdi mais dominé quelque par