Une nuit avec L’Alpha
❤
traiter son oméga ou...les omégas, c'est ça...s'il ne les tue pa
la porte et sort tout de suite, s'attendant à ce que je le suive dans le couloir menant à la porte du sous-sol. Je continue du mieux que je
discernement que je ne le laisserais peut-être pas me ba
rtie
'est évidemment de ma faute et
derrière nous. Je jette un coup d'œil à la cuisine et je peux sentir tellement de saveurs différentes que non seulement cela attire mes s
plus que probablemen
i je peux penser...mais Diccan me pousse vers la porte d'entrée. Lorsque nous sommes sur le porche, des rangées de membres de la meute attendent l'ar
n bois pendant que je m'accroche à l'un des poteaux de support. Diccan se tient légèrement
ité tandis que la lune offre sa bénédiction de lumière. Les nuages sont introuvables ce soi
a meute. Je fais partie d'eux pendant un moment, l'unité ne s'est réalisée que lo
nce est a
ion régulière, regardant au moins dix véhicules s'arrêter et entrer dans l'aire de stationnement désignée. Les phares coupent à travers
icules. Ils sont grands et forts, leurs yeux sont durs comme ceux de leurs mâchoires. Ils marchent vers la zone de
st
lors de la der
Alpha
e clair de lune scintille de ses yeux noisette. Je ne savais pas que je pouvais les voir si bien
qu'elle s'éloigne autour de moi, m'attirant comme un piège. C'est une i
amar
es plus tard, saluant officiellement Alpha Zenon...cependant, Alpha Zen
er: "Sa présence vous off
ne, mon sang dans mes veines se
l me murmure: "Je t'ai dit de garder la têt
r un instant plus tard, Al
stre sur le haut de mon bras, me promenant dans la partie arrière du porche et sur les marches en retrait jusqu'à ce que nous atte
pour regarder Deccan me jeter au sol. Ce n'est pas seulement notre meute, mais les individ
s. Il me frappe le ventre encore et encore, et quand j'ai finalement laissé tomber les larmes silenci
t. Il y a quelques membres de la Meute des Rôdeurs de Morelle qui s'attardent quelques instants de plus, leurs yeux tenant
e bavardages. Le rire est l'un des nombreux sons qui s'élèvent au-dessus de l
, tenant mon ventre avec un bras pendant que mon autre main tend la main pour toucher le mur de la l
J'ouvre la porte et la referme derrière moi, sortant entre deux cellules de détention alors que je me dirige vers le coul
ma chemise. Grimaçant, j'entre dans la salle de bain avant de mieux me regarder dans le miroir. Plusieurs contours et
aussi mal nourri