Nelly à la recherche du bonheur
rt
r la semaine prochaine, et comme t
dre à la maison familiale et comme toujours j'étais réticente m
n mariage. Toute la fête s'est passée chez la fille, la nuit la ma
ont venus du village pour
elle s'appelait Anta Ndiay
aménagé, il y'avait aussi sa famille, les époux devaient procéd
époux doivent manger autour d'un bol de "lakh" et la personne q
Anta de l'autre, chacun essayait de supporter son candidat, on essayait
s par-là, finalement mon oncle a pu mang
d'une famille sérère, c'était très agréable e
oit être organiser par la famille du marié, il y
elles sœurs ( femme du frère de mon p
elle la fem
mais il paraît q
ver une bonne pour assurer la maison, c'e
appeler le frère de mon père résident aux États Unis pour lui dire que ma mère était entrain de d
tions incroyables car le frère de mon père, Thiern
pris que c'était ma tante Ast
parce qu'elle devait rentrer dans une semaine en France
urer que j'étais
toujours pas récupérer sa femme; je le suis dis que c'était juste un p
temps que je serai sa femme. Certes les hommes me dégoûtaient mais c'était différent, avec lui, je me sentais en séc
ir parce qu'il devait partir pour l
omme ça ? Hein dis moi , qui va
se reverra dans pas
tu l
s en toi, ne laisses jamais personne même moi
n'oublies pas de m'amener du chocolat
gourma
ère de
us manquer. Il est parti me disant qu'il sera toujours
rrai de son vivant, je ne savais pas non plus que c'est en p
l'avez bi
diaque alors qu'il était dans son
ul ami, celui qui me comprenait, celui qui savait me re
revoir car on se reverr
imais abréger ton nom en sig
ficiles de ma vie, je me remettais tr
ns compter sur dame faucheuse, qui ne prévenait pas, elle vient
tais en classe de 4 iem et
rée, ma mère m'a dit de ranger la maison parce qu'il y'a des invités
nuit, les invité
arriver
lus claire, elle avait les cheveux qui lui arrivaient au dos parce q
le meilleur ami de
té, rigolé
lque chose d'étrange, de l'angoi
ateur à fond, mais cela n'a pas suffit, alors on est sortie dehors pour respirer l'air frais, et c'est allongé
e , non je n'arriv
t juste à coté, j'ai couru à la maison de ma grand mère pa
té transporté
s que je n'avais pas la preuve mais mon mental et mon physique refusaient d'admettre l
premièrement construire un grand établissement pour accueillir les orphelins et les tali
t partie à la
ses genoux, elle me parlait de la vie, elle ne verra jamais mes
e mère, c'est comme si elle était partie emportant avec e
où les mots ne peuvent en rien décrire ce que l'on ressent comme il y'a des jours sans nom, des jours sans clarté, il y'a des
r moi l'enfer, l'enfer d'une jeune orpheline de 15 ans à qui la vi
tima01Sima , merci pour to