LA PUISSANCE DE L’AMOUR ( Princesse Brenda)
RICK *
s des petits oiseaux annonçaient le début d'une nouvelle journée, leurs mélodies résonnant harmonieusement dans l'atmosphère. Je me souvenais de la joie qui m'envah
nts de mon cœur pour remercier l'Éternel de m'accorder le souffle de vie qu'Il ne cesse
j'ai réalisé qu'il ne me restait que quelques minutes avant que ne sonne sept heures du matin.
ce, qui me donnait la force de faire face à tous les problèmes auxquels j'étais confronté. J'ai reçu ses bénédictions, qu'elle ne cess
qué ma présence à ses côtés, elle m'a salué et j'ai répondu en commençant par la taquiner afin qu'elle me rempl
fois qu'elle a rempli mon seau, j'ai pris
e côté. (
R DES SE
BREN
contre moi. Tout cela est dû au fait que je me suis couchée tard,
es-tu dé
is descendre dans
je t'attends
en, mon c
je me suis dirigée vers le salon pour rejoindre mon père. E
e, elle a posé son regard
bien ma petite chérie ?
à toi que je ressemble. Tu vois
dire par là ? Que je suis
ce que j'ai dit
mal si c'est bien ce que tu as dit. Madame doit ac
ai compris, mais malgré cela
vie, et il est impossible que je partage ma vie avec quel
h ! Comme
a, pouvons-nous p
papa, je s
uis sortie à l'extérieur en la laissant d
tion de John
Aujourd'hui, c'est samedi et vous me dit
er. La réunion était prévue pour lundi, mais hier soir j'ai reçu un appel de monsi
mon chéri. Je vais au moins
'accord,
BREND
u me rejoindre et nous avons pris la route pour nous rendre à ce
igning, un grand homme d'affaires, et de Maria Seigning, une femme d'affaires. Ainsi, comm
u mannequinat. En effet, outre mes études, je suis également attirée par les arts. Je suis donc actrice et mannequin. Ces deux univers sont d'une grande importance pour mon existence, et parfois je me demande si mes diplômes d'études servir
parce que ce n'est pas trop mon truc, ce qui signifie simplement que ma vie amo
re côté
RIC
a mère assise aux côtés de ma sœur, plongée dans ses cahiers. En effet, Ernestine doit composer une épreuve
ir sinon je serai en retard. Tu sais
rieur, ne voulant pas déranger ma sœur qui était en train de ré
ds, tu es au travail. Avec tout ce que tu fais, tu risques de tomber malade. Que Dieu ne
ra exclue de la salle d'examen si elle ne paie pas. Je sais que ton commerce ne fonctionne plus comme avant et que cela devient de pire en pire. Je me demande même ce que nous ferions si monsieur KAKPO ne nous avait pas demandé de rester dans cette maison
a raison pour laquelle toutes ces choses nous arrivent. Tu n'es pas un paresseux, tu conti
ient de cela, et avec Dieu à me
as bien parl
an, je vais de
mon garçon. J'esp
sûr que o
soin de toi et que le bon
erai de retour dans la soirée, je ne sais pas encore à
Très bien
n. Une fois au portail, j'ai pris un taxi-m