L'ESCLAVE COMPAGNON DE L'ALPHA
i était éclairée par le clair de lune, aucune autre lumière. J'ai fermé les yeux de joie et quand je les ai rouverts, j
e. En quelques secondes, je me suis tenu sur une branche, ma main enroulée autour d'une branche plus hau
t. Un seul loup traînait derrière, reniflant l'air. Il avait attrapé mon odeur et je me suis pen
travers les bois. J'ai attendu. Une seconde, deux et plus, jusqu'à ce que j'entende des cris. J'ai
ise idée! mon l
r. Je ne peux laisser personne d'
ntinue. Tu sais de quel paquet il s'agit. Tu sais.
fondément de co
seuls! Il n'y a aucun moyen de
uelque
s! On doit part
fait quelques pas en arrière, avant de me retourner et de courir à travers les bois, aussi loin que possible du
ements faciles, j'ai sauté de branche en branche jusqu'à la trappe par laquelle je me suis glissé. La cabane dans les arbres était
n'aurais jamais fait de mal à personne comme certaines personnes me l'avaient fait. Le soleil se leva
dormi le jour et voyagé la nuit. Je me sentais plus en sécurité de cette façon. Si je dormais le jour, dans m
ssayé une fois de la rompre, en restant éveillé toute la journée. J'ai fini par
entir des larmes s'accumuler sous mes paupières. Hommes, morts. Femmes, mortes. Pauvres chiots innocents, morts. Il
ce et j'essayais de continuer à me rappeler, de
blie tout ça. Tu sauras sur
avais pas pensé à ma famille pour la dernière fois. J'essayais de toujours m'occuper de tout ce que je
vais habituellement m'échapper et c'était comme ça aussi cette fois-ci. Je rêvais rarement, ou du moins je me s
mmeil maintenant. Je me suis assis, laissant tomber les couvertures autour de moi et j'ai frisso
se de la meute qui était là. Les autres
tu penses et je t'interdis d'
ns ma tête, mais je suis toujours celui qui prend
ne me prends pas en considérati
avais juste besoin de savoir ce qui s'était passé. Ça m'a fait de la peine. Je n'ai jamais su ce qui était arrivé à ma propre meut
le savoir, mon
eut-être seulement moi-même, mais
quel
l l'est, il est probablement content de sa vie, car
ait-il te ch
savoir. En q
orter d'en entendre parler, alors je le laissais généralement tomber co