PRINCESSE CHOISIS PAR L'ALPHA
ucun cheveu n'était déplacé. J'avais l'impression que c'était joli - depuis mon plus jeune âge, j'ai un comportement obsessionnel vis-à-vis de la propreté et du verrouillage des portes. J'aurais do
imposante que les chalets de la meute, d'une couleur marron clair, avec de grandes baies vitrées qui donnaient sur les
use maison ne pouvait appartenir qu'à un loup aussi important qu'un Alpha. Je me suis penchée en avant, pour attraper l
yeux verts ont transpercé mon corps. Mais j'ai commencé à sortir de la voiture. "Non", a-t-il grogné, me fixant du regard pour m'empêcher de sortir. Une foi
il n'était donc pas surprenant qu'il puisse me soulever sans effort. Mais j'ai poussé un cri, plus par surprise qu'
aines personnes le trouvent attirant, mais c'était sa taille qui le rendait intimidant - et chez les loups-garous, plus ils étaient intimidants pour les autres, plus ils étaient attirants pour
s intimidants. Layton était un bel homme, personne ne pouvait le nier, mais cel
voulait me porter : parce qu'il pensait que j'étais trop faible, que je ne pouvais pas me porter moi-même. Je n'ai pas pu m'empêcher de me blottir davantage dans ses br
ur moi dans ses bras. Ses yeux me regardèrent avec méfiance, tandis que j'étouffai
tre q
alertes. J'étais assise par terre, ma valise vide en lambeaux autour de mes pieds. Ma robe blanche - qui avait encore de petites éclaboussures d
froncé les sourcils en croisant les bras sur sa poitrine en si
-je reniflé, hoquetant
Qu
et m'a jetée de force sur son lit. J'ai gémi de peur, tandis que Layton me suivait sur le lit. Ses mains calleuses s'emparèrent de
son comportement, troublée et effrayée. "Comment oses-tu parler d'un autre homme en ma présence ? Et ne crois pas que je n'ai pas entendu parler de ce loup path
après tout, mais je n'avais jamais pensé qu'il serait aussi agressif. Je gémissais sous son emprise, tandis que ses grif
cils baissés et un profond froncement de sourcils plissant les lignes de son front. On aurait dit qu'il essayait de résoudre l'é
", a-t-i
rmes une fois de plus. "Elle m'a dit que mon copain se moquerait de moi parce que j'ai un ours en peluche, mais c
pendant, il s'est légèrement éloigné du lit. J'eus un nouveau hoquet, et de doux sanglots emplirent ma gorge, m'empêchant de respirer. Je me suis redressée lentement - mes yeux surve
dois rentrer chez moi. Je peux dormir sans D
rtit en trombe de la chambre. J'ai sursauté lorsqu'il a claqué la porte de la chambre, non seulement à cause du bruit, mais aussi à cause de la col