Combattre le destin
PIT
r au sol avec ses mains derrière lui, elles semblaient être attachées, comment aurait-il pu les attacher dans cette pluie? Ter
dans un endroit pire que la terre, avec Gustavo qui l'attendait. Sa tête lui faisait très mal, ainsi que le reste de son corps, étant quelque chose de vertigineux
corps lui faisait mal et petit à petit elle se souvenait de l'ordre des événements, se souvenant que son ex beau- frère avait ses vêtements déchirés, elle avait l'air effrayée sous le drap en constatant qu'elle avait été changée, mais par qui ? Elle se souvint du « croyant », se leva énigmatiquement, alla aux toilettes, regarda chaque partie de son corps, constatant que le
derrière la porte. "Merci de m'
je me suis un peu perdu, j'ai changé de vêtements mais je ne t'ai pas touché, j'ai pris le liberté de te changer, tu étais
rie, passez la nuit ici, il est tard, je ne peux pa
pourquoi les choses s'étaient passées. Parfois les larmes apparaissaient, elle essayait de le cacher, mais elle ne pouvait pas, elle ne comprenait pas pourquoi elle devait traverser tant de mauvaises chose
la mort de Gustavo, il a demandé à l'église de l'aider comme si elle était veuve de la maison, car pour lui par la foi, elle faisait déjà partie du corps depuis longtemps. Paulo était toujours calme, il a nourri cette passion platonique pour elle toute sa vie et c'est pourquoi il ne s'est jamais impliqué avec personne d'autre, comme il est né dans un berceau évangélique, il ne s'est jamais senti libre de parler d'elle à qui que ce soit, mais tout le monde dans le l'église s'est rendu compte qu'il avai
fermé les yeux et en silence a commencé à demander à Dieu l
enfants, elle aurait fui n'importe où, mais elle ne pouvait pas l
ité parce qu'il était là, elle ressentait au fond d'elle une envie de câliner et l'embrassant, elle sentit le goût du sang dans sa bouche, le sang de son ex -beau-frère, des larmes coulèrent sur son v
querait son corps, son parfum, il la remercia, pria avant de manger, la to
tuerait vraiment, tu es vulnérable ici, nous savons tous les deux que même la police et les habitants interfèrent dans un endroit comme celui-ci ». Son cœur battait, lui plus que quiconque
efforts j'ai réussi à construire, même si je suis prêt à commencer ailleurs, m
ez leur droits, ils seront également au courant du rapport de police. Et cherchez la paix dans votre vie, et la protection divine car si Dieu ne vous protège pas, comme il l'a fait hier en m'envoyant chez vous, personne ne pourra vous protéger. Si vou
nct avec son parfum « s'il te plait aide moi, je ne sais pa
je t'accompagnerai tous les jours après le service jusqu'à ta maison, mais fais ce que j'ai di
s de téléphone, et il a donc
e police et a ensuite rapporté ce qui s'était passé à l'assistante sociale, qui lui a conseill
ui faisaient peur au point de sentir son corps trembler. Il arriva devant le por
é faite pour ta mèr
tant à son petit-fils, elle prit une profonde inspi
n, papa est revenu du cie
toutes assises et elle a raconté ce qui s'était passé, omettant la tentative de viol. Le père était horrifié, mais il savait qu'il n'avait pas la force de faire quelque chose, il se sentait impuissant, la mère était un peu plus jeune, mais elle ne pouvait rien f
a tenu sa fille endormie dans ses bras et a écouté attentivement la parole prêchée, à la fin elle a reçu des câlins de certaines personnes, ce qui pour elle était étrange, puis elle a attendu que Paulo fermer l'église pour les prendre, il était content, il a aidé Geov
nt de son charme en croisant et décroisant ses énormes jambes, Paulo s'étonnait mais essayait de ne pas le montrer, au fond de lui
it tard, je do
ez ici, s'il
et lui avait sucé délicatement le cou, elle trouva ses lèvres dans un long baiser, suivant son instinct il lui tint la taille en la serrant, les baisers devinrent plus serrés et plus intenses, Paulo lui serra le cul, lui faisant lâcher de légers soupirs cela ressemblait à un
tirant vers le haut
nerveuse, elle ne pensait pas qu'il était possible qu'il soit vierge
e atteignit son cou en le suçant et en l'adoucissant, elle aimait son odeur, le goût des lèvres qu'elle mordait légèrem
e monde où je vis, elles ne le sont pas" il s'est approché et lui a donné un bai
pas les mots pour s'excuser, mais elle se sentait mal de le voir part
est allongé sur le canapé et s'est
" pensa-t-elle
de nuit, tourna sa culotte sur le côté et commença à faire glisser son doigt du clitoris au vagin, pénétrant et revenant au clitoris. Elle soupira doucement en pensant curieusement à la façon dont le pénis de Paulo devrait être, elle commença à bouger son clitoris et avec l'autre main elle p