Chasseuse de primes
ndent pas à ceux diffusés sur les applications pour la simple raiso
pit
ant de donner une impulsion dans ma jambe qui se soulève pour le percuter en plein torse. Il se plie sous l'impact. Son souffle se b
en sentant la douleur de ces côtes cassées devenir plus intense. Il ne s'en sortira pas vivant. Pas maintenant que je lui
n regard qui comprend que rien ne le sauvera. Un long frisson me parcours. J'aime cette sensation. Cet instant où je me fais l'effet d'être u
raque jusqu'à l'anéantissement de ma proie. Le métal touche sa joue, s'enfonçant à peine mais suffisam
dit-il en grimaç
ener dans cette ruelle mal éclairée. Ces yeux changent de couleur. Passant au doré en
-il pour se défendre. J
s là pour le faire juger, pour répondre à un ordre qu'on m'aurait donné. Mais il se trompe. Je ne suis pas une chasseuse, pas dans le sens où il l'entend
ssant. Cet enchaînement. Je le connais par cœur. C'est l'un des premiers que j'ai appris. L'un de ceux que je maîtrise le mieux. S
s ce que je fais. Il faut dire que nous savons nous faire discrets dans notre profession. Tout le monde nous connaît, tout le monde sait
t de son corps recouverte de son propre sang. Mon autre main
-il en posant ces mains sur sa plaie
arque se dévoile sur son torse. Brillante, comme à chaque fois dans ce genre de cas. Il réagit à ma présence sans même le réa
mme si j'allais lui donn
se tenir debout sans voir trouble. Malgré ma victoire assurée, je ne baisse pas la garde. Ces créatures peuvent être capable du pire dans les derniers instant de leur vie, je ne compte pas en faire les frais. Il pousse un soupire empl
bulant, un sorcier, dont une fois la marque retirée, me rapportera suffisamment pour garnir généreusement mon compte en banque. Si je dois être ho
bras, l'angle est parfait, le coup net et précis et sa gorge s'ouvre dans un sourire grotesque, laissant ainsi jaillir un flot de sang q
ut croire que je suis une chasseuse. Mon corps sait ce qu'il a à faire. Je m'agen
en passant ma l
x être là dans c
que tu ne
'attends, ainsi
ail. Tout ce qui compte c'est que je lui ramène. Je me pose rarement de questions sur ce qu'il fait avec tout ça, avec toutes ces marques de différentes créatures. Mais je me doute qu'au pri
, plus maintenant. En la retirant, je perçois l'énergie de sa force, de sa puissance, qui me picote le bout des doigts. Décidément, il va me rapporter un max,
isage, sa voix, son odeur. Je retourne dans le club en souriant. Je peux bien m'accorder un verre avant d'y aller, un seul verre avant de passer à la caisse. C'est comme a
tanément. Il s'approche de moi
n'a pas été
is je suis certaine qu'un petit coc
eux q
rends
nne sans aucune gêne. Je pourrais succomber, sans la moindre hésitation. Il est plutôt beau gosse et ça fait un moment que je n'ai pas eu un mec dans mon lit. Un bon
plusieurs reprise, lui aussi à envie d'un peu plus, je peux le sentir de là où je suis et malgré ça, une fois mon verre vide, je me lève po
e connais le sort, comme tout les miens, comme tout ceux qui n'existent pas aux yeux des autres. Les mots sortent de ma bouche sans même
ornée d'or et d'œuvres d'arts qui auraient probablement plus leur place dans un musé qu'accroché dans une demeure que si peu on l'oc
moi c'est que je suis juste arrivée plus rapidement qu'il ne l'espérait. Il me connaît pourtant depu
cre tracée il y a des centaines d'années. Je n'ai mêm
pas, ils sont trop âg
dre. Une telle œuvre, une telle merveille, si proche tout en étant inac
ît. Douce compensation dans ce monde qui sait à pei
açon de voir
la ma
endre la peine de m'offrir un verre après tout, on
endu un peu nerveux, je l'avoue. Je manque à tou
pas non à de tes petits co