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Mascarade

Chapitre 2 Un nouveau départ

Nombre de mots : 1251    |    Mis à jour : 03/06/2023

cueil ne sachant pas trop ou la vie la mène. Dans un système brisé entouré de gens qui s'efforce de nous rendre la vie plus facile. Des travailleurs sociaux j'en ai eu énormément. Je changeais de

un moment déjà, j'encaisse et avec le temps sa passe. Les blessur

t épuisée mentalement de ce moment précieux. Sandrine semble être une maman formidable, elle a toujours un splendide sourire sur le visage. Je crois que ça m'affecte un peu de voir que je n'ai jamais eu le privilège d'avoir une maman, une famille. Avec mes quelques heures de sommeil en banque, cette nouvelle place et ces nouveaux visages, je me sens comme une bombe à retardement qui attend d'exploser. Je ne comprends pas, trop d'émotions émergent instantanément, j'ai envie d'hurler et de tout fracasser. J'ai envie d'être seule dans ce monde fou dans lequel je vis. Je m'écrase dans le fond de ma chambre et je regarde tout attentivement. Cette chambre a déjà été habitée bien certainement. Je vois ces marques de stylo-bille sur le bord des murs, ces grafignes que cause le lit après l'avoir déplacé un nombre incalculable de fois sur ce plancher en bois et le loquet de la fenêtre qui semble celée pour une raison que j'ignore. Je ne dois pas être la seule adolescente complètement dégénérée qu'ils ont eu le malheur de recevoir. J'ai l'impression de comprendre la frustration et le désespoir de cette personne qui était là avant moi. Ce besoin de changer la chambre de tous les côtés possibles pour ne jamais se sentir chez soi, qui veut se sentir chez soi sachant que le départ n'est jamais loin. Ce besoin de

s yeux s'ouvrent et mon mal de vivre recommence. Je vis dans mes rêves enfaite, l'espoir qu'un jour je ne me réveillerai jamais de se bonheur. Je me relève, je prends un grand respire et je ramasse ma sacoche accrochée sur la porte de ma garde-robe. Je redescends puis je demande la permission à Sandrine d'aller faire un tour plus loin dans le village. Elle acquise et je pars. Je prends mon skate et je fonce, une fois de plus je me perds dans mes pensées puisque c'est bien la seule chose de permanente dans ma vie. Je me demande combien de temps je serais ici, probablement une quest

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mes yeux s'ouvrir peu à peu. Les paupières lourdes, je peux percevoir cette fumée se rependre un peu partout. Je ne peux reconnaître l'endroit. Je peux

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