2011
nvier, des re
, 5, 4, 3, 2,
amuse autour de moi et pourtant je me sens seul. Mon téléphone n'arrête pas de sonner et je ne peux répondre. D'abord parce que je n'en ai pas vraiment envie, ça peut attendre demai
is c'est mon nom de baptême. Cette voix qui m'appelle, c'est Judith, une femme très belle, à qui je fais l'amour, presque de façon incestueuse. Nos relations
s mes vieux parents ont quitté la Haute-Normandie et sa banlieue rouennaise pour les pâturages verts du nord de la Manche. En fait, c'est i
est déjà trois heures. Là, il y a quelque chose que je n'ai pas compris : il y a dû avoir
robe moulante rouge pétante mettant en valeur tous ses attributs. Ceux qui ne la connaissent pas pourraient croire que c'est une fille facile tellement elle se déhanche d
à une des chambres de la grande maison des grands-parents du mec qui nous a invités, que d'ailleurs je ne connais même pas. Je vais me coucher en vrac et on verra demain pour les câlins. Elle a l'air de tellement s'amuser que je ne v
compatibles. J'ai pris l'habitude de faire des grands écarts sur mon état de fatigue, mais là, en ce premier jour de l'année 2011, je suis épuisé. C'est peut-être étonnant mais il me manque quelque chose dans cette vie-ci. Je n'arrive pas à mettr
é sur ce coup-là. Ça, c'était de la défonce de qualité. Je
a être à coup sûr très délicat. J'imagine qu'au saut du lit mon cerveau va danser la chamade, que c'
comme je vais avoir la casquette, je ne sais pas si je vais réussir à supporter mes proches. Instinctif, sauvage, j'ai souvent des rapports ambigus avec mes parents. Ils n'ont jamais v
ntée pour voir si j'allais bien. Nous nous échangeons un peu de tendresse, elle s'assure q
lle comme un ver luisant sur un fruit. Je la laisse dormir. Il est huit heures cinquante quand je me lève.
pas nazes, l
! s'écrient les
is boire une bièr
la presqu'île, on se dit que si on se réveille avec une gueule de bois, il faut remettre ça : boire une bière au réveil pour se remettre d'aplomb. J'échange quelques lots de
e pensée pour moi... En vieillissant, l'homme devient égoïste. Ces années ne m'ont pas épargné et je ne suis pas différen