Real Love
7 septe
L'université
r me réveiller en douceur comme j'avais l'habitude de faire à Washington même si à Washingt
pas encore insulté et ne m'avait pas encore dit que j'étais un moin que rien qui ne savait même plus parler et qui faisait une grosse erreur en essayant de se faire des amis, elle ne me l'avait pas encore dit et peut être qu'elle ne me le dirai jamais mais c'était plus fort que moi, je n'arrivais pas à voir la vie tel elle étai
mes affaires avant d'aller dans la salle de bain pour me doucher. Je posa ma pile sur le meuble près de la douche puis je
grer comme je pouvais et à essayer de paraître normal auprès des plus populaires qui voudraient juste me faire passer pour un moin que rien même si nous étions à la fac... il y avait des abruti partout et ils étaient à chaqu
début mais petit à petit, elles devinrent chaude jusqu'à devenir brûlante, ça commençait à me piquer sur tout mon corps au fur et à mesure que l'eau ruisselait dessus. Mes muscles se raidissaient en sentent cette eau brûlante alors que mon corps commençait à prendre une couleur rouge,
ait rouge, j'eteignis l'eau en respirant profondément puis, en attrapant une serviette blanche, je l'enroula autour de ma ta
lanche... j'étais prêt à aller affronter les couloirs et les jugements
retomber sur mes yeux doucement avant de me mettre mon eau de parfum De Dior qui coûtait super cher mais
en allant devant ma commode qui avait un miroir rond juste au dessus, je pris ma chaise en argent avec une croix au bout puis vint l'accrocher autour de mon cou puis je rajouta une
trop de questions fusaient comme l'éclair dans ma tête et j'avais beau essayer de les rendre muettes, je n'y arrivais pas, je n'y arrivais parce que je savais déjà que cette journée allait être horrible et que j'allais finir la journée dans la chambre à me
jours le même charmant visage qui me faisait sourire quelques instants sans que je ne sache pourquoi je réagissais ainsi. Je suppose que je voulais juste être aussi amicale qu'elle puisqu
t-elle a moitié endor
ivis-je dans
e- bie
tait déjà super belle et avec ses petites mèches qui retombaient sur ses yeux bleus ça n'arrangeait rien. Elle souriait, était toujours assise dans son lit mais elle semblait être de bonne humeur et prête pour la rentrée alors que moi je voulais faire marche arrière et retourner dans les bras de ma mère pour lui faire un câlin et ne pas avancer sans elle. Ça faisait que quelques heures que je n'étais plus près d'elle et pourtant je ressentais déjà un manque immense
rop stressé po
las... ce n'était pas vrai... j'avais choisis de venir dans cette université parce que c'était mon rêve et parce que je le voulais mais je ne pouvais pas me comporter comme une personne normal... je ne l'étais pas, j'étais tout sauf normal, j'étais une sorte d'anomalie qui devait être exterminé de cette planète mais sans savoir pourquoi j
et que j'appréhendais grandement cette rentrée... c'était peut être difficile à comprendre mais je n'étais pas aussi à l'aise qu'on aurai pu le croire, je n'avais pas confiance en moi et n'arrivais même pas à regarder une personne d
problème tu me le dit et je viens! Je ricana tout comme elle et pris place
is même pas à prendre conscience que j'avais été accepté ici et que maintenant j'allais de
carnet et pris une nouvelle page avant d'écrire a son attention. "et
s en moi alors elle ne pouvait que voir qu'entre elle et moi il y avait un énorme fossé, un fossé que rien ni personne ne pourrai combler, j'étais moi et elle était
ciel avant qu'elle ne reprenne la parole à mon attention en ne me quittant pas du regard, je ne savais ni quoi faire ni comment agir mais devant son regard amic
alors? On
ais persécuté..." lui répondis
isse les c'
rle ou non, ce n'étais pas de ma faute si je n'arrivais plus à dire un seul mot et je devais vivre avec maintenant, je n'arrivais à rien de toute manière et puis j'avais 19 ans... qui allait me reprendre à parler à 19 ans? Personne, je devais me débrouiller seul maintenant et choisir les bonnes personnes qui feront partis de ma vie même si... la seule et uni
sa table de chevet, le mien était déjà dans mon sac et a vrai dire je n'y avais même pas jeté un coup d'œil, je préférais d'abord passer à mon casier pou
otre emploi du temps on
s-je en soufflan
'aime pas
xposés..." j'ecrivis ces quelques mo
prof comprendront si tu leur dit
n..." finis-je par écrire
as faire autre chose, je détestais devoir dire au professeur que j'étais incapable de parler à cause d'un... traumatisme parce qu'à chaque fois ils voulaient savoir la causes, ils cherchaient à me meur faire dire pourquoi je ne parlais plus dans les moindres détails et la plupart du temps ils allaient me faire voir une psychologue pour pouvoir "parler" avec e
n replaçant mes cheveux, je l'ecouta reprendre la parole à mon intention avec toujour le souri
a bouche de la mienne et se mit à parler, je sentais un frisson parcourir ma colonne vert
je n'avais pas l'habitude de recevoir des compliments, surtout pas de la part d'une fille que je connaissais à peine. Habituellement c'était plus des insultes et des mots qui me rabaissaient alors entendre dire que j'étais plus beau quand je souriais me faisais sourire davantage non pas poir qu'elle me le redise mais juste pour apprécier le fait que même si nous