Folie meurtrière
ires et sans vie, du moins de l'extérieur. Même les fenêtres des appartements sont soit cachées par des volets fermés, soit ne laissent transparaître aucune lumière puisque les pièces y sont plongé
e ne (re) connaît pas –, ainsi que des membres de la police scientifique. Les murs de l'intérieur de l'immeuble sont également dépourvus d'un
que Patricia, de corpulence mince, les cheveux noirs courts, les yeux marron. Elle et Marc ont une relation amicale, ils se connaissent dep
arc. Où es
irecte, répond sar
perd pas
numéro six. Je ne l'ai pas encore vu, mais
rsonne en laquelle Patricia a le plus confiance. C'est avec plaisir que les deux femmes se retrouvent à l'étage, en face de la porte entrouverte de l'appartement numéro six. Claire ne sourit pas à Patricia, mais son expression fa
ible que ça ? d
elle a été étranglée. Pas de surprise de
tout de
un long couloir obstrué par quelques meubles et rempli de portes toutes fermées, à l'exception de celle de la salle de bains et du salon. Il y a en effet quelques policiers dans l'appartement, mais Patricia analyse visuelleme
laire pénètrent dan
l'air anxieuse, et adresse à nouveau
tte surprenante scène, e
ntion le spectacle macabre
étrangement
ses autour de son cou, puisque ces dernières sont camouflées par une corde en nœud coulant. Celle-ci trouve son maintien dans une attache de son
ntrer, ou pourquoi elle et Marc la regardent avec compassion désormais. Tous les trois
ce doucement
. J'ai conscience que ça te r
coïncidence. C'est trop... ressembla
lique Marc sans ré
r désapprobateur, avant d
obligée de res
ice que Claire n'ait jamais vu de toute sa vie. Mais Claire se dit que son amie, à qui l'affaire du Tueur à la Main Rouge tient à cœu
ensent qu'il s'agit d'une manière pour le tueur de représenter sa supériorité sur ses victimes : en effet, la main ensanglantée contre une surface représenterait l'appel au secours, l'ultime espoir, la dernière chose qu'est capable de faire une personne lorsqu'elle se fait attaquer... D'autres experts ont également avancé l'hypothèse comme quoi cette main rouge était une référence aux menstruations, toutes les victimes du tueur étant jusqu'ic