Transforme ses larmes en diamants — Tome 1
ption. Il était vrai qu'une fois tous les invités partis, j'avais un peu forcé sur le rhum. Mes parents et Nomiko avaient dû
is-je demandé en l
remiers boutons de sa chemise et avait pris pla
et après quelques bouteilles de vin et plusieurs paquets de cigarettes, n
plus d'une nausée diablement persistante. Je n'eus pas le temps de me plaindre davantage, il était presque hu
apa en tout genre et de princesses gâtées jusqu'à la moelle, l'établissement me dégoûtait. Évidemme
addy en balançant m
désolée de ne pas avoir pu venir, j'étais coin
fais pas
tait mon amie et dans ce lycée merdique, c'était l'une des
peu de courage. Je vis à ses yeux inquisiteurs qu'elle voulait des détails de la soi
été publiées dans les journaux et dans les magazines et comme à chaque fois, seuls quelques élèves avec un bon statu
dans le pays entier. Je m'arrêtai dans le cloître de l'établissement et
e la Fresnay. Dommage qu'on
e russe, Alek Voronov. Celui-ci passa le dos de sa ma
filles et aux garçons. Il faisait un tabac dans l'équipe de hockey et était
'avais été mon cavalier. Mais peut-être la prochaine
s'éloigner. Je l'avais vaguement aperçu en accueillant les invités et je l'avais royalement ignoré. L
ns, mon père me faisait prendre des cours d'anglais avec la meilleure professeure britannique qui puisse exister. À huit ans, il y eut ensuite le mandarin, le russ
e monde maîtrisées, je serais enfin tranquille. Eh bien non : j'étai
ées, peut-être même quelques mois, je prendrai les rênes de l'entreprise familiale
s royalement chier. Alek et Maddy m'encadrant et tous deux participant ave
rs commençaient à me taper sur les nerfs. De plus, entendre mes deu
a devant l'entrée du domaine, il faisait déjà noi
tre destiné aux enfants et adultes de la haute bourgeoisie. Après la mort de mon grand-père, mon père
t les quelques hectares de terrain derrière le domaine étaient occupés par la dizaine de chevaux que nous possédions
l'étrier quand la sonnerie de mon portable retentit si fort q
n fut brève, il me demanda simplement de rentrer immédiatement. Évidem
t nous nous rendions ensuite tous les deux faire une balade dans la forêt derrière les champs. Le fait qu'il ne me donne aucun dét
doucement l'épaule. Lui aussi avait l'air inquiet. Ses cheveux poivre sel
mettre mes parents dans un tel état. Je ne l'avais pas vu tout de suite à
e sa lèvre, de son nez et de son front. Il était trempé de sueur, sa poitrine montait et descendait à un rythme irrégulier et saccadé. Nom
qu'est-ce qui