Les histoires d'amour finissent mal

l’appartement et lança son trousseau de clefs dans le

eaux meubles intégrés subtilement lors de récents travaux, gérés par le brillant ar

alluma instantanément plusieurs lampes d’ambiance, évitant ainsi

rement ouverte, dont les baies vitrées laissaient deviner, la nuit t

saisit un verre à vin et se servit un fond de Côte Rôtie to

ds, elle se laissa aller dans un des tabourets de bar à l’assise

es de son vin, elle s’affaissa quelq

aléas épuisants de sa journée. Elle laissa son esprit divaguer au gr

ue horloge romaine qui pendait ostentatoirement sur le mur du salon. Elle

et prit une douche qui dura peu de temps. S’emm

lampes et s’appuya contre le PVC immaculé de la grande

sa contemplation. Samantha s’arracha de la vue, regarda ce

lut

! Tu as passé un

épondit Samantha ave

avait pourtant quelque cho

t que les fêtes de Noël arrivent, tu vi

oupure est forcée ! lança la jeune femme en sourian

récédant Noël. Avez-vous une id

a. Logiquement, nos congés sont validés, donc nou

uis de vous avoir tous ensembl

édée trois ans plus tôt, quelques semaines après les trente-deux ans de Samantha… Il supportait asse

il avait travaillé toute sa vie. Ses collègues étant devenus des amis,

er que les divertissements

. Samantha ne pouvait malheureusement pas se permettre d’en faire de même aussi souvent. Elle habitait à Lyon de

auras tellement marre au bout de quelques

nchement, se remémoran

s bien ! conc

sorties entre cheminots, ses après-midi hebdomadaires au bridge, ses

lbert annonçant que sa série télévisée

endit le pêne de la porte claquer dans un bruit à pein

? Tu e

ntante de Ian supplant

Ou

rs du plan de travail, déposa une sacoche contenant son ordinateur portable – et sans doute des milliers de notes – dans un

r ses emplettes et les ranger machinalement, avant d’ouvrir la porte d

ène, quotidienne et souv

ion telle qu’elle était vraiment, elle

r complètement, enfiler une tenue décontractée pour

titilla les narines. Ian s’approcha d’elle

n av

le plat qu’il était

revettes est tou

vie depuis plus de sept ans. Les yeux verts de Ian étaient concentrés sur ses gestes, à peine dissimulés par les lunettes qu’il portait. Ses cheveux clairs étaient encore décoiffés, comme toujo

jeune homme plutôt athlétique en homme presque quarantena

uts. La routine s’était immiscée dans leur vie, leurs vies professionnelles p

intérêt, en avaient découvert également l’un avec l’autre, et par-dessus tout, ils se complétaient. Entre eux était né

emblait devenir un pa

enfermait, tandis q

it une « soirée jeu

de sa plaque de

un souci ? Pourquoi

s, on n’entend parler que de Noël, les illuminations fleurissent, la fête des Lumières nous est encore passée sous les yeux sans que

t sembla réfléch

à gérer… Je dois sans cesse avoir les yeux sur l’agence de Lyon et ce