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Ermitage les Bains

Ermitage les Bains

Auteur: promotion
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Chapitre 1 No.1

Nombre de mots : 1721    |    Mis à jour : 24/05/2023

qui ne deman

ies afin qu'advienne l'amour et à sa suite, tout ce qui n'exist

atteindre le muscle le plus vivant et essentiel de la femme endormie près de lu

aiment. Sauf cette fois où il avait aperçu cette femme. Celle dont il percevait toute la délicatesse

ent tout de l'

e la femme endormie qu'il connaissait à peine. La nuit

coulant de ce cœur qui bat au ralenti. À côté de lui. Couché sur le côté, il attend que sa belle end

i dire que c'était son rêve familier. C

i des cœurs imprévisibles, celui qui se donne sans compter, sans se préoccuper du goutte-à-goutte permanent qui peu à peu remplit

ns une joie après son trou d'épingle dans le

ment parler de vagues, de caresses et de longs temps de paresse à quelques gouttes de sang ? Il voudrait

ge de cette endormie qui se réveillera enfin auprès de moi. L'amour s'écoule et je pleure dans mon grand l

eindre l'écran plat. J'avais choisi l'hôtel après un bel héritage. Tout devenait plus simple pour le maladroit chronique que j'étais. Incapable d'

êve d'aiguille et d'amour pour le mettre dans la cage de son cœur. Ses jambes

sucré sur la langue. Je ne peux approcher la tendresse dans une flaque de sang et fréquenter les coins sombres de mon être. Il n'y a plus r

es. Suis assis sur mon lit, ma tête entre mes mains. Inutiles, désespérément inutiles. Elles ne peuvent même plus mettre un

obiles. Je marche comme un robot. Ça sonne à ma porte. Suis de mauvaise humeur. Un autre coup de

nbon et chaussures de Betty Boo

oisine d'en face ; la Suit

e dans le couloir d'un Palace. Suis surpr

la fermeture éclair de ma robe jusqu'en haut

originale dans un Palace. J'accepte

erc

se de son cou, elle sent la sauge et la cannelle. Le long couloir aux estampes japonaises raffinées e

ées de son hôtel. La nuit, des liserés lumineux prennent un air de fête. Des balconnets arrondis et leurs fenêtres semblent être des coquillages comme suspendus. En ple

la lui donnait le temps de parcourir

aventures d'adolescent. Un honnête homme qui avait divorcé d'une honnête femme, ma mère. Après 10 ans de mariage, ma mère s'ennuyait auprès d'un homme d'affaires. Leur séparation comme un vilain abcès que l'on perce, pour être enfin

veine jugulaire gonflée de son cou et ses cheveux châtain clair. Clara. Elle n'est plus là. Dans mon lit, il n'y a plus Clara. Je t'avais

de la mer. Pour t'épater. Après l'accident, je me suis insta

reconnais plus rien. Je ne vois plus rien : tes yeux, ton visage, ta peau. Oublier ? On dirait que tout est parti. On di

mettait la crème que Clara lui avait offerte. Sur sa peau. Quand elle était là, elle

te. Il se lève et va ouvrir. Elle est face à lui avec ses collants cuivrés et ses longs cils

lle Clémentine et je suis scénariste d'une sér

n boudoir aux lignes épurées

tourner ici ?

qui jaillissent, l'écriture au kilomètre et les nuits

Que lisez-vous

oisième

l ! En

, amusé. Il choisit quant à lui un large fauteuil en velour

Apprécier chaque mot, chaque silence. Je me permets de vous dire cela p

t ? Pourq

t fort les accoudoirs. Il tourne la tête pour ne plus la voir et s'éloigne d'elle, de ses longs cils bleus. Betty Boop. Il est 14 h. Sonnerie de son portable qu'elle prend : « Un appel important !

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