Le violon des amours perdues
vie ne fut
rs enfouies au plus profond de soi-même. On en
l'amour et de son infini auxquels a
é de
as Fo
il éprouvait une grande tendresse, ce n'était pas de l'amour, mais il était heureux en sa compagnie. Son décès le laissa longtemps désemparé. Il venait de perdre tout ce qui lui faisait encore aimer
cœur qui s'attache, et qui souffre depuis qu'il est né, ce cœur sans tache que ses parents
t aimé avoir, spontanément, malgré les kilomètres qui les séparaient, vint le rejoindre. Il resta de
rofondes, dont les cicatrices ne se fermeront jamais. Malgré les épreuves que les aléa
lace à la douceur des fins de journé
los, laissa son esprit vagabonder dans des pensées plus ou moins conf
Éden perdu de sa jeunesse. Avec ses meubles familiers, aux odeurs de cire ancienne, dont il a si souvent caressé leurs bois patinés
roche et lointain à la fois. Il comprit soudain que ce monde dans lequel il vivai
nfance remplie d'amour, et de tendresse, mais ce fut é
bruit. Un reste de vent vint lui frapper le visage. L'épais rideau de nuages s'étai
le sommeil qui ne vint que très tard dans la nuit. Au petit matin, de guerre lasse, il comprit que le moment était venu, afin d'apaiser son ma
n se fendillant au fil du temps. Les pages se teintaient à l'encre bleue,
à un instant précis. Et laissez faire, le reste doit suivre... Et puis vogue la galère, le récit de ma vie, je le dédie avant tout, à ceux que j'aim
'il mena pour ne pas sombrer dans le désespoir. Atteindre, sans remords, ni regret, l'homme qu'il est aujourd'hui, fier de ses chev
que fut sa vie. C'est ainsi que ses doigts, tel un pianiste qui cherche à composer sa plus belle partition, se mirent à pianote