Secrets de colocation
sta
i même de mon corps en entier. Je me sens vraiment nulle à cet ins
st en train de prendre une chaleur intense que je n'aurais jamais pensé ressentir. Son regard posé dans le mien n'a rien de so
'est pas une raison pour ne pas me faire des amis, ou encore mieux, ne pas tomber amoureuse. Mais là dans cette c
mes lèvres, et je détends un peu mes jambes pour le laisser se glisser ent
paume de ses doigts sur ma joue, tout en plongea
s yeux. Il esquisse un sourire, embrassant mes lèvres tendrement, et je sens son membre pénétrer à l'
vient en chercher une pour glisser ses doigts dans les miens, et son bassin commence à bouger doucement sur moi. Chaque mouvement de son membre en moi est étrange, et m
...
ccélère ses va-et-vient et je finis par resserrer mes cuisses contre so
pport sexuel avec un des plus beaux mecs du lycée. Je ne rêve vraiment pas, et ses doigts
r contact est bien réelle. Chaque baiser de sa part, réchauffe mon cœu
tes après. La vidéo de ma première fois sur les réseaux sociaux me brisera pour toujours, et me forcer
ix ans plus ta
longe les endroits les plus chauds de Las Vegas. Bien entendu, je ne parle pas des casinos, mais des endroits où ses hommes sortant avec leur richesse, viennent assouvir leur euphorie les plus coquines avec nous qui ne sommes que des prostituées. Je ne m'en ca
t là, nous reluquant derrière leur portière, la vitre ouverte. Mais aucun d'
evada. Un endroit propice pour se faire arnaquer en ce qui me concerne, mais qui semble plaire à tous les pigeons qui en sortent et qui nous rejoignent. Je m'all
oses pareilles. Me fait remarquer Ch
paraitre. Me fait-elle remarquer, tandis que je vois, effec
tte, sachant qu'il n'aime pas les femmes qui fument. Je prends le spray dans mon sac au
ée. Me fait remarquer Chanel, tandis
onne partie de jambes en l'air. Lui
rquoi se priver ?! Lancé-je alors que la M
surpris, je me dirige vers la Mercedes aux vitre teintés. Une vitre de l'avant se baisse, et
ns me regarder, et je souris, en me redr
t ma ceinture. Mon métier est déjà assez dangereux pour que je meurs bêtement par manque de sécurité. Je décide comme à mon habitude, de me remaquiller. Je sors mon miroir portable de mon sac, et mon rouge
un peu faisant apparaitre mes dents blanches ; mon regard se
en passant mon rouge à lèvre sur ma lèvre inférieure avan
m'amuser ce soir, de plus son patron n'est pas marrant du tout et j'ai le ventre en feu ce soir. Je tire donc sur ma ceinture pour
nt sur ma ceinture, et je ramène mon autre main la passant de l'autre côté pour caresser sa nuque, glissant dans son cou. Sa glotte me fait comprendre qu'i
ts à rire tandis qu'il pile sur les freins derriè
dans le fond de mon siège, avant de passer ma langue sensuellement sur mes
rine tandis que nous arrivons devant Le Hilton ; un hôtel de luxe comme tous les clients qui y séjournent. Dans le cas de mon client semainier, c'est plutôt une garçonnière en ce qui le concerne, puisque ce n'est autre que son hôtel. Je retire ma ceinture,
ui fais-je en léchant son lobe d'oreilles, et il recule express
urs regards hautains ne m'atteignent pas. Je ne suis pas là pour me faire aimer
ia que j'étais il y a dix ans. Car tous les jours en me regardan
enfin pour toujours de ma mémoire, lai