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Secrets de colocation

Chapitre 5 Et cela ne fait que commencer...

Nombre de mots : 1893    |    Mis à jour : 15/05/2023

h

iser tandis que j'attends que Charlie me répond

héti

r ma conversation avec Charlie quand je fonce les sourcils en voyant que le moteur de la bâche électrique se remet en route.

d'arrêter le mécanisme, en regar

tous les deux s'imposent à moi, au fur et à mesure que je nage vers elle qui ne semble pas vouloir se décider à remonter. Je l'attrape fermement par le bras, et je pousse de toutes mes forces sur mes jambes qui touchent le fond de la p

-je le souffle haletant d'avoi

dis que je me tiens à quatre pattes, essayant de récupérer mon calme.

e la bouche, hébété de l'aplomb qu'elle a à l'instan

lle en se redressant tout en passant ses mains

mer la bâche moi-même au-dessus de sa tête. Le reflet amusé dans la prunelle malicieuse de son regard ne désemplit pas, et je sens tout mon corps se crisper à l'idée que je la tu

éralement entrain de

pouvoir me tuer toi-même maintenant, ricane-t-ell

dire en passant à côté de moi, tu

je ahuri en la suivant du regard a

n

rquer de ses doigts, comme si j'étais un vulgaire malfrat. Je m'appuie sur l'évier de la s

e tu fous Ania

temps. Et pourtant, mon cœur a eu un raté devant son regard émeraude dans le mien à l'instant. Bien qu'il y avait de la ha

vre Ania, tu div

iscine, et je glisse mon string le long de mes jambes. Une fois totalement nue, je jette un coup d'œil dans le miroir, et je souris à la peste que je suis intérieurement. Ou je souris à cette Anastasia qui est toujours en moi, et qu

t abruti, et je souris de plus belle

s la surveiller, confirme son coéqui

s que son coéquipier a déposé les courses sur la table de la salle

s de supe

! M'écrié-je en sorta

je me retourne vers lui, prenant une expression innoce

e levant, le visage outré comme s

une gêne, et j'hausse les épaules de façon perplexe en mett

t une excuse à son attitude et je penche la

uyamment entre mes dents, affichant un sourire amusé maintenant. Mais quelle b

h

qui m'a rappelé, et je me rends sur la terrasse, reprendre mon calme avant de la rappeler. Honnêtement, je ne sais pas comment je vais tenir avec une nana aussi d

ose le numéro de Charlie en espérant qu'elle me réponde ; je ne sais p

e enfin à s

mes cheveux, entendant bien dans sa voix qu'elle est

signé à la protection d'une tém

oufflé, ton pèr

garder la piscine où quelques minutes plus tôt,

ons pas durant quelques jo

arrangeait pour se voir. Mais avec une colocataire telle que cette "Ania", je n'imagine même pas Charlie arriver ici. Mon dieu, j'imagine déjà le

accrocher, et de rejoindre d'un pas rapide la maison p

ans le calme. Voyant que ces deux-là semblent calmes dans la cuisine, je décide d'aller me changer à mon tour, ne supportant plus ses vêtements mouillés

et je remarque qu'elle a laissé ses v

niche en plus ! Grommelé-je en les

en voyant mon reflet dans le miroir. Je me demande combien de temps, j

souhaite, c'est en

n

e aujourd'hui. La question est tellement stupide que je grommèle en attrapant le T-Shirt long qui m'a servi à me couvrir. Mais en y repensant, je n'ai pas besoin de cela aujourd'hui. Après tout, il a déjà vu les courbes

e souriante, et je me

a porte me confirme que ce beau

d'une pro

depuis une dizaine d'années, mais ce détail ne m'intéresse pas pour l'instant. Moi, ce que je vois, c'est son portable su

st sur le point d'implosé à l'idée qu'il me surprenne son portable en main. Mais cet abruti se contente de se gratter le front, avant de soupirer. Je me dé

porte de sa chambre, et je souris en pensant à

otre colocation ne f

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