L'EXTRAVAGANCE TABOUE DE LA FRATRIE KOTAN
� ÉROTIQ
AGANCE TABOUE DE
EUR:
PITR
ma petite a
Elma, elle ne va plu
LE
pouces dans mon cul, gémissant pour lui pendant que je m'écarte. Je suis dégoûté de moi-même, je me déteste même un peu, mais je ne peux pas nier la part de moi qui aime ça. La moitié rationnelle de mon esprit me dit que c'est odieux, dégoûtant et mal, mais l'autre moitié, celle qui aime juste un homme contrôlant, se délecte de cette dépravation
mure à mo
a, Lexy, et je te lâchera
te fair
mots interrompus par un flu
sse ses mains d
r de gémir. Dis-le simplement, tu es une salope dé
I:
intenant en gémissements exercés alors que je tor
mure à mo
omme mo
e chatouill
honte à ça si t
des larmes de plais
t-ce que tu
chuc
mais qui participe également aux choses merdiques que je veux faire. Et aussi, l'innocence corrompue est un énorme
lance
ne merde
er de cambrer le dos et de me se
on oreille, sa langu
is une merde malade avec moi, e
a tentation de céder devient écrasante. Je regarde dans les yeux verts et aimants de ma me
chuc
'aime
t avec un s
'étai
gé
e l'ai
mon cul contre l
n m'ébouriffan
peu plus que ça, t
murm
le, je suis une petite salope
e ri
dis-le comme
cr
mon frère ! Maintenant, mang
nu contre la poitrine haletante de mon frère et le regarde avec la luxure gravée sur mon visage. Il me regarde avec un désir possessif q
l conduit sans relâche dan
brasse-moi comme
vore. C'est bâclé, humide et tellement bon. Mon corps s'abandonne à lui ; mes muscles se détendent, mes entrailles se détendent e
noux. Sa bite m'empale à l'impact, et je couine de joie et enfonce le visage d'Elma plus profondément dans mon entrejambe. Son nez s'écrase contre mon bassin, ses lèvres gonflent contre ma fente et sa langue pousse plus loin en moi. Elle étouffe un ton de luxure, me regarde et sourit autour de mon monticule bouclé. Ses lèvres sucent les plis tendres de ma chatte dégoulinante et attirent la chair dans sa bouche tandis que sa langue pousse
hu
oui vas-y oui vas-y oui mmm
en se séparan
a jouir
s visqueux recouvran
tain de soeur s
ge par les joues et for
so
s ? Es-tu ma petit
ant la tête ave
iii
cte de sa d
ta salo
baise le cul dans un gâc
qui veut que son frère lui
ul sur sa queue de conduite al
! Je suis une pute dépra
erre mes seins
ors, tu feras to
souriant avec d
n'importe quoi pour mon frère
so
e t'ordonn
mmmm merc
e et m'abandonne au sent
profondeurs et les deux plaisirs de Tahir et d'Elma se mélangent dans la tempête qui monte de mon bassin. C'est une pression qui grandit et grandit, et ma voix sort de ma bouche avec le sentiment qui monte. Mon corps vacille sous la poussée violente des hanches de Tahir, envoyant mes seins et mes fesses trembler dans un flou chaotique de chair ondulante. Il roule si vite que je pense que je vais me casser en deux, et alors que la douleur atteint son précipice, mon assentiment lubrique aussi. Je crie, me déhanche et douche Elma avec ma libération. Le sentiment éclate en moi, et chaque partie de mon corps se saisit dans une ruine serrée. Tahir écrase son bassin contre moi, rugit et vient dans mon cul. Je sanglote de j
gardant avec sa tête
u c'était
souffle contr
e, soeurette, tu ét
grogne
tu m'as
ndrent de honte, et je ne
ses lèvres, ch
epuis combien de temps pens
ir s
s, longtemps. Av
rrompis av
i faisait des connexions de 'a' à 'b', tu sais? Tahir est un homme, les hommes ont
onçant sa bite encore
ainte
peux pas m'en remettre et je le sais. Cela m'a ruiné, m'a changé
s des gémissements d
ux-tu, putaiiiiin... peux-
Je déverrouille l'écran tactile, accède à mes contacts et séle
Remo à travers le haut-parleu
ment que possible à tr
Remo... Ne m'appelle plus;
y, qu'est-ce
rouvé quelqu
le côté et fixe mon frère avec un sourire
ça répond à
ourit en
di
puie con
connard de
en me regardant
était froid. Et tu m
otte le cul contre m
amis aussi foutus que toi, e
a ri
as si fout
ens de bais
réto
elque sorte forcé, donc ç
t m'éloigne
rie
de son sac, puis pose le bout de ma langue contre sa base. Je l'attire lentement le long de son dessous, goûtant son délicieux sperme et la douce saveur de mon cul sur sa queue. Quand j'arrive au sommet, j'enroule mes lèvres autour de lui et le prends lentement dans ma gorge. Sa tête retombe contre la literie et il gémit de satisfaction. Je ris face à sa perte d'équanimité, et suce fort en baissant la
chuc
me putai
un ravissement ravi alors qu'il se balance d'un côt
aussi, gr
e avec in
s la troisième roue ! M
ue de la bell
érons tous l
oute
l'oxygène avec nous, et auss
glisse son co
tre tous les deux. Je
m'ex
n plan pour
ousse mon prolap
était t
ndant un moment et la regar
mais c'était mon idée
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