Prisonnier Du Cheikh
e vue R
notre vie a radicalement changé. En regardant la photo de mon épouse sur le bureau, je suis nostalgique. C'est une photo d'elle, de no
pertinemment qu'elle a sombré. La perte de notre enfant lui a laissé une désagréable impression, c'est comme si on lui avait enlevé toute joie. Pendant ses
n n'y fait, j'ai perdu tout espoir. Durant les deux premières années, je recevais des coups de fil anonyme
qu'à de bref instant. J'ai l'impression que la seule personne qui puisse la guérir soit notre fils Salem. Si ce dernier ne nous av
avons pu faire très haut pour subir une chos
été arraché mais elle vit dans le passé. À présent ma reine n'est plus que l'ombre d'elle-mê
plus a s'aimer comme avant, nous partageons la même chambre et le même lit mais c'est comme si nous n'étions que de simples colocataires
ande aussi souvent à Aziz sur comment m'y prendre avec ma femme, je l'aime et je ne souhaite pas la perdre. Duran
it prince passer la porte de mon bureau en m'appelant
Pa
der de frapper avant d'entrer dans mon bu
, il ressemble beaucoup à Salem.
levé et sait se comporter en public mais il a souvent tendance
it-il en s'arrêtant de l
tu me dire ? Lui demandais-je en l'aya
nte Amina, tonton Zaïr mes cousi
s-y alors. Lui di
ux dans son royaume et ils viennent très souvent nous rendre visite afin que nos enfants se côtoient. Amina et Zaïr ont accueilli l'arrivée de Ismé e
e en venant embrasser m
m sala, ré
suite mon nev
vous mon oncle ?
de voir comment il est bien élevé. Et toi ma fille ? Tu d
e, me répondit-e
rejoint et nous dis
leska ? Demande Amina en
ardins du palais, lui répon
ien, je
'ac
ait à quelle point ma femme est touchée. J'espère qu'en lui parlant elle va lui faire c
e vue d
ué. Je descends de la voiture après que je me suis garée devant les marches d'escalier qui mènent à la villa. Je monte ses derniers avec joie,
mment vas-tu ? Comment
re à Dieu et tout s'est tr
tastique nouvel
rd de différentes pièces. Maman est aussi venue me prendre dans m
ent manquée, tes frères étai
ire en regarda
r notre mère, elle n
ous n'avons pas besoin d'être répriman
Demandais-je en remarqu
lé faire une course pour
me fâche tu as intérêt à ne pas red
fait de mal. Je répondais juste
oir Chafik dans son bureau et
-je en regardan
etour en ville, ne t'inquiètes pa
ers le bureau de oncle Chafik afin de
après que j'ai s
lui dis-je une fois à l'
fille, dit-il en me regardan
teuil en face de son bureau et je