TORRID COLOC !
ar
à la première rencontre de l'année des gars, juste parce que l'un d'entre eux, tout juste sorti du banc de pénalité, malmène mon cœur sans même s'en rendre compte ? Si j'avais envie qu'il arrête, je saurais très bien quoi faire : lui avouer mes sentiments. Le
serait ridicule. Surtout que je
le de fois avec des ecchymoses aussi grosses que mon poing, placardées sur sa peau blanche. L'idée de savoir que ce soir Nolan aura le corps endolori m'app
filets adverses, faisant mener Boston d'un point. Le bruit strident annonçant la fin de match résonne
rt
l'équipe se ruer avec joie sur mon frère avant qu'il patine jusqu'à moi. Il cogne son poing sur le mien à tr
était un matc
épaules et me secoue comme u
uce. J'explose de r
e Page en applaudissant. Cette semaine de
e, nous dégageant des tribunes pleines à craq
Scar ou tu at
dgar. Il va certainement vouloir que j'ail
ccompagne ? propose
de prendre aussi que
oi à la voiture.
ant les vestiaires l'an dernier, il ne me demande même plus ma carte étudiante et se contente de me faire un signe de tête poli. Je longe les couloirs vides, attirée par les bruit
es. Les coups secs en font crier certains et la tête de mon frère passe l'embrasure. Ses cheveux trempés de sueur,
lèvres fines, Edgar hausse les sourcil
n, je n'ai qu'
n de dire qu'on
ialise dans le dos d'Edgar et je
ey. Tu vas choquer Sca
llons dans mon ventre en voyant la silh
ta voiture. Je vais aller faire
s un
te. Il manque de faire tomber la serviette qui tient à peine autour de ses hanc
re en
endre une boute
lan. Debout près de la porte, il n'est pas plus vêtu qu'Edgar. Pour le coup, a
o
nde pour empêcher mes yeux de glisse
ta
véniles, puis peu à peu, le corps de Nolan s'est dessiné. Raffermi. Pour devenir
s de ho
t marqué
s, largement supérieur à ce qui est
este pour payer le
bloque contre ma poitrine. Il me fait un dernier signe de main, laissant les
abitude : chercher les clés de mon frère, sér
copine de
lacée sur ma gauche. Les mains prises par un gobelet et une boutei
ard
opain e
i pas de
ur celle-ci de manière nonchalante. Ses yeux perçants m'
r, admet-il. Je m'ap
ans la mienne. Un peu déroutée par cette entrée en matière loin d
lett M
ses doigts dans ses chev
'est pas un mec
sceur du capitaine
bien m
, rigolant tout en
e manière aussi peu subtile, tu vas plier dès que
t bondé, aucun débordement n'est à prévoir ce soir. Les premiers arrivés sont les premiers servis chez le capitaine et dès que la limite acceptable est atteinte, plus pers
œur de ce joueur es
lâché-je d'un
in, du moins. Au lieu de partir, il reste planté devant moi en me souriant. II se rapproche doucement et pose presque la bouche sur mon oreille. Son souffle chaud provoque une
e-t-il. Tu me plais beaucoup et je serais ra
son torse en gloussant,
que nous sommes
rêt non dissimulé brille dans ses iris. Il y a quelque chose chez lui d'attir
st pas
aime ça ! Vous éveillez ma c
liquide froid mouille mon debardeur. Je sursaute en sentant l'alcool s
arlett, je
de biais cette grande tige, cheveux coupés court, carrure épaisse et nez légèrement cassé. Je ne reconnais pas le jou
faire atte
nana en face de lui. Corey se précipite vers le meuble derrière lui pour récupérer de l'essuie-tout. II me tend les
dis-je en essuyant le sur
abites
ement la tête
m'att
isage et il lève son verr
bouge p
n les voyant se déhancher avec entrain. Je me faufile parmi la foule qui s'est amassée dans l'appartement et passe la porte qui mène aux
pieces son
ers la commode. J'ai à peine le temps de retirer mon débardeur q
de sur ma poitrine presque nue et me
Sc
ace aux deux silhouettes allon
la
e copine dans une situation pareille. Dans ma chambre, alors qu'elle est tout enchevêtrée dans la robe qui remonte au-dessus de ses hanches. Elle se re
ce que tu fous
maudis la chaleur que son regard provoque dans ma poitrine, puis il se lève et attrape son tee-shirt noir par
monte dans
ous étions entrés dans m
n qu'il a de se tenir tout en regardant tout autour de lui d'un œil hagard, je sais qu'il
ez, cra
ir, ses chaussures à talons dans les mains. Je reste debout p
car
se sur sa langue comme s'il lui avait toujours
nter dans ma chambre pour baiser t
ers la porte en silence, il pose une main
ée deux minutes plus tard, tu m'aurais v
donne lascivement des coups de reins. Ses dents mordillent s
lui balançant le premier t
déba
der qu'il me fait un clin d'œil espiègle et quitte la chambre. Il referme la porte, laissant son rire grave briser davantage les derniers morceaux de mon cœur, à vif. En moins d'une seconde, je me retrouve seule dans la chambre. Les draps de mon lit sont défaits et
jamais dû qu
jamais dü em
amais dû part