Les turpitudes de Sybelle
3 : La
t la big, ne le la
e et ne faites surtout pas de bruit. Grace, tu fermes à clé après
l'approcher car je sais qu'elle doit encore être en
re, il ne te
ement au son de la clé dans la serrure, Grace fe
, j'arriv
cherchait quelque chose ou quelqu'un. Je le laisse tout simplement faire; je m'assois sur le
is pas par hasa
t ce qui s'
, il fait les 100 p
toi, tu me do
lui demandé de me dire ou état situé le d
: no
qui sert d'écriteau, humm. Devant le dispensaire, se trouve une rigole ou plutôt une rivière d'eaux nauséabondes. Je ne sais si cette eau là provien
un monsieur à qui j'ai demandé si c'était lui
l'air de chercher ses mots. On sentait qu'il avai
er la salle ou avait été fait le cu
toi Léandre
blancs malgré le fait qu'ils soient propres, si je peux le dire. A coté de la table, une petite table en f
lui ai demandé tout gentiment, comment il avait procédé. Il m'a dit qu'il a donné un comprimé à ma sœur à mettr
uellement avec des forceps, sans anesthésie. Sybel, imagines la douleur, imagines ! Il a travaillé pendant une demi-heure sur elle, elle était toute seule là-bas. Imagines si quelque chose lui arrivait, si elle
t rentrée de l'école mais j'ai demandé à ma mère de se calmer, qu'ell
uillir les forceps, je crois que c'est comme ça qu'il appelle ça et les quelques autres instruments. Dès que c'est fait, il les ressort et les pose sur la tab
et il m'a dit qu'il a juste fait une formation d'aide-soignant. UNE FORMATION !!! S
ralement un rire nerveux. Il était si énervé qu'il ne se contrôlait plus, il ne
ini, il s'est
surement appel
r sa fille. Léandre, comment as-tu pu la battre jusqu'à la
même tu sais que lorsqu'une petite fille s'engage dans cette voie, il est difficile de la
is-tu pas que le fond du problème, le véritable probl
je ne suis pas son petit copain non plus. S'il arrive que l
devrait avoir peur de toi mais en cas de besoin avoir la certitude de pouvoir se confier à son grand-frère, ce qui n'est malheureusement pas le cas ici. Elle a eu un problèm
pouvons dire merci au Seigneur pour cela, elle aurait pu avoir une infection, cela aurait pu être mal fait et elle serait stérile à tout jamais. Nous avons pu causer avec elle et elle lui a appris comment faire sa toilette intime. Elle lui a prescri
ntion. C'était une dame, ce qui a encore mit ta sœur en confiance. Elle lui a posé des questions sur sa sexualité et la sexu
prenne à nos jeunes filles comment faire l'amour ? Tu veux aussi que l'o
artout ailleurs, les enfants sont de plus en plus précoces. Les jeunes ont leur premier rapport entre 15 et 17 ans. On ne va pas s'en cacher non plus, c'est un secret de polichinelle.
avec son petit-copain ? Sybel, je crois que tu dépasses les
i parler des règles, des menstrues de la vie d'une femme. C'était à elle de faire ce travail, d'instaurer
ois qu'il y a eu un manque de communication alors que c'est la clé de tout. Ta sœur a été obligé d'appr
: qu
grand-frère et il aurait été mieux qu'elle puisse venir vers toi en cas de pépins mais le constat est là, il est amer. Je remercie Dieu que ce so
aire, ce n'était non pas de la féliciter mais de gronder, d'instaurer un dialogue profond avec elle pour qu'elle ait une certaine confiance en toi, qu'elle puisse venir vers toi en cas de problème.
a sœur dont tu parles. Comment puis-je caut
et m
oi ? je ne c
ue chose m'arriverait. C'est facile pour un homme de dire à une femme, va te faire avorter ! C'est facile puisque ce n'est pas votre vie que vous mettez en jeu, c'est facile car vous ne vivez pas avec la crainte de ne pouvoir procréer plus tard. C'est facile car ce n'est pas vous qui supportez la douleur physiqu
uretage. Tu sais ce que j'ai du subir de mes parents ? Les insultes, les brimades, j'ai tout subi, heureusement qu'ils ne m'ont pas violentés. Ils ne m'ont pas demandé d'
e dans un dispensaire comme l'a fait ta sœur ? Elle y est allée car elle ne pouvait supporter, les rires, les quolibets à l'école, la colère des parents, la
! Tu n'es pas un cadeau tombé du ciel non plus ! Tu veux la tuer ? Tu as voulu la tuer ? A qui, à quoi pensais-tu exactement en lui donnant des coups comme si elle était un morceau de bois ? Tu étais content e
nce ? Tes parents te l'auraient-ils pardonné ? Crois-tu avoir su gérer tes émotions ? Nos émotions nous informent certes de nos besoins mais aussi de nos limites. Sur ce cou
ue 16 ans, elle doit déjà vivre avec cela sur la conscience. L'avortement a des répercussions qui ne sont
it la tête baissée. Il se tordait les mains, il écout
Je t'en prie dis-moi
est là mais elle
peux la
rais appeler tes parents pour leu
core pour l'épisode d'il y a quelques anné
ppeler ses parents. Je me lève à mon tour e
t moi. Tu peux ou
es sure
e t'inquiète
restée dans le coin et dans la position ou je l'ai laissée plutôt. Mon Dieu, c'est horrible, elle doit avoir ma partout. Je me suis approchée
essayé de
a refusé et elle ne v
e son grand-
dans la voiture. Direction, Laquintinie après que j'eus donné des instructio
ée. Sa tête était posée sur mes cuisses car j'étais assise sur la banquette arrière e
n de garde. Nous avons essayé de suivre la civière ou était couchée Nathalie mais
nde peine de pleurer. J'aurais aimé vous dire que j'avais pitié de lui mais je n'y arrivais pas, non, je n'
mmène aussi au centre de planning familiale. J'étais dans mes pensées depuis je ne sais combien de
ts de la jeune fille que n
s :
n visage tuméfié, des contusions, elle perd du sang, je veux dire, e
, il n'y a rien d'autre à f
age, il y a environs une semain
d'avoir un diplôme de psychologue ou un do
lle a une hémorragie interne ! Elle est in