Mariage avec un zillionnaire secret
Elle a tout pris, même mon cœur
Retour de l'héritière de la mafia
Le Prince est une fille : Esclave captive d'un roi vicieux
L'héritière de génie brille après le divorce
Reviens mon amour
Divorcée et mariée à un chef de guerre
Les regrets de mon ex-mari
Ex-mari, je ne t'aime plus
L'alpha tout-puissant reconquiert sa compagne
( Tard dans la nuit, dans le manoir de la famille Lance, située dans le quartier résidentiel de la ville A )
Eleonora jeta ses regards de part et d'autre et éprouva une très grande amertume. Le grand salon luxueux et romanesque ! Sa demeure conjugale quelques temps plus tôt !
C'était leur foyer, Quentin Lance et elle. Ils y avaient vécu pendant une année entière. Un sentiment d'impuissance marquait son visage.
Elle trouva un journal qui traînait sur la table, et le rangea avec empressement. Il se trouvait sur la première page du journal, une image de son ex-époux enlaçant une belle femme.
Quand ils étaient mariés, les images de ce genre couraient de temps en temps dans les journaux, les magazines et même les chaînes de télévision, mais elle avait appris à s'y habituer.
Elle s'allongea confortablement dans le canapé, replia ses jambes, et son regard se perdit dans le vide. Un filet de liquide froid glissa inconsciemment des coins de ses yeux.
Tout à coup, des bruits de pas sourds commencèrent à résonner de l'autre côté de la porte. Même s'ils lui étaient familiers, ces pas suffisaient à troubler ce moment d'abattement et de solitude dans lequel Eléonora trouva momentanément refuge. Elle se hâta d'essuyer ses larmes, de crainte qu'en la voyant, il redevînt malheureux. Car, il lui avait dit qu'il détestait les pleurs et l'écoulement des larmes.
Eleonora soigna rapidement sa posture en se redressant.
Puis, la porte s'ouvrit.
Un silence envahit momentanément le salon, et sa respiration s'accélérait.
Eleonora se retourna et vit son beau et hautain visage, mais indifférent. Son regard froid trahissait un état d'ébriété.
Il était à nouveau ivre.
Eleonora ne pouvait s'empêcher de frissonner.
Malgré qu'il eût été son époux l'année précédente, il lui paraissait inconnu, même s'il venait là fréquemment .
À chacune de ses visites, Eleonora souffrait psychologiquement et physiquement. Quand il se saoulait, elle vivait le supplice.
Son arrivée fit que Eleonora sentit monter en elle un ressentiment qui datait de juillet.
« Tu... es de retour ? », demanda-t-elle timidement.
Quentin fronça les sourcils, sans répondre.
Il dépoussiéra gracieusement ses chaussures et déboutonna sa chemise. Sa large poitrine était partiellement exposée.