Vesna est un médecin sexologue et psychologue . Jeune dame magnifique, très attirante est celle chargée de me suivre afin de m'aider à contrôler mes pulsions sexuelles et surtout à contrôler ma performance sexuelle qui s'est démultipliée depuis quelques années. Je baiserais très volontiers Vesna mais la jeune dame semble effrayée par ce que je lui présente. Elle me fait savoir que pour souffrir d'un tel trouble il faudrait avoir connu plusieurs expériences sexuelles tendant vers un nombre infini . Vesna veut donc connaître ma vie sexuelle, les expériences vécues dans les détails . Cela est un lourd défi car des expériences sexuelles à l'infini je ne pense pas mais en grand nombre je le reconnais. Quant à me souvenir de tout cela, cela reste un défi dont je m'efforcerai à relever en expliquant ma vie sexuelle non seulement à Vesna, que j'espère baiser à la fin de cette thérapie , mais aussi à vous qui me suivez et qui êtes pour moi ma famille.
Vlasta était une magnifique petite fille de 16 ans que son père adorait a l'extrême. Elle était beaucoup réservée et très intelligente. À cet âge, Vlasta avait déjà les atouts physiques d'une adulte, une poitrine pointue et des fesses rebondies. Elle adorait s'est petit tocs qui exhibait ses tétons encore purs. Le problème, elle était fille unique et vivait avec son père qui s'était séparé d'avec la mère de Armenia. Aleksei Marjanović était chef d'entreprise, richissime homme d'affaires et père de Vlasta. Il était mon patron et aussi mon meilleur ami, mon ami d'enfance.
Il s'absentait 11 mois sur 12 et me confiait à chacun de ses déplacements sa maison et sa fille. Je ne vivais pas dans sa maison parce que j'ai ma femme et mes deux enfants. La gouvernante Zora et le chauffeur de la maison Alexandr étaient eux aussi sous ma surveillance en l'absence de mon ami.
J'avais joué ce rôle pendant déjà plus de trois ans sans bavure et cela ne me gênait pratiquement pas. Vlasta était comme ma fille, j'étais son parrain à sa naissance et je l'ai vu grandir. Seulement Vlasta grandissait un peu trop vite à mon sens.
Le soir de l'anniversaire de ses 16 ans, Vlasta avait invitée tous ses amis et tout avait été préparé par mes mains d'expert puisque son père n'avait assisté à cela que par FaceTime. J'avais donc la responsabilité de rester et veiller sur les jeunes adolescents afin qu'aucune bêtise ne se produise.
Cependant, après quelques heures d'inattention au moment où les invités étaient tous partis à part Bogdán, mes yeux tombèrent sur une scène qui bien qu'excitante m'avait foutu sur les nerfs.
- Eh bah dis donc, ne vous gênez pas. Faites comme si je n'étais pas là.
Les jeunes gens sursautèrent.
Vlasta était plaquée dans le divan jambes écart tandis qu'un jeune garçon était agenouillé à côté d'elle la tête entre ses jambes lui léchant brutalement son minou.
- Qui es-tu ?
- Bogdán, monsieur.
- Dégage d'ici.
Le jeune Bogdán ne se fait pas prier, prit ses affaires et prend sa jambe à son cou.
- J'espère que j'arrive à temps. Ce p'tit con ne t'a pas baisé j'espère.
Vlasta avait la tête baissée, sûrement très gênée de s'être fait surprendre dans cette situation.
- Je me demande si je devrais le dire à ton père. Il n'aimerais sûrement pas entendre ça.
- Je vous en prie, ne dites rien à mon père. Il sera certainement furieux et surtout déçu de moi.
- Tu ne m'as pas répondu. T'a-t-il baisé ?
- Non.
- Tu encore vierge ?
Elle devint toute rouge. Elle baissa la tête et me fit signe que oui.
Vlasta n'était plus cet enfant de toutes les façons, elle avait déjà des rondeurs que ses aînés n'avaient pas. Je me mis à réfléchir pendant un instant.
- Rallonge toi.
Je me mis à côté d'elle ma main droite sur son ventre . Les yeux ne quittait pas son corps.
- Enlève ta robe.
Après quelques hésitations elle retira sa robe et se rallongea.
- Qu'est-ce que vous faites ?
- Une chose que tu aimeras certainement.
Une énorme bosse déformait déjà ma braguette ce qui troubla la jeune fille. Ma main caressait tendrement son ventre, effleurant de temps à autre son pubis. Elle se détendait petit à petit et fermait ses yeux, le souffle court. Sa chatte était déjà humide et je glissais ma main experte entre ses cuisses entrouverte que je forçais de mon autre main à écarter un peu plus. Je glissai mon indexe dans sa fente et le fit bouger de bas en haut titillant à chaque passage son clitoris.
- Que penses-tu de ça ? Tu aimes ?
Je continuait pendant un moment, son souffle se faisait de plus en plus court et sa chatte était bien trempée. Ensuite je retire ma main. Surprise et déçue, elle me demanda à mon plus grand étonnement de continuer. Je penche alors ma tête vers sa chatte mouillée et ma langue prit la place qu'occupait mon indexe précédemment. Je me mets à la lécher tendrement . Elle gémissait sous les assauts de ma langue qui fouillait chaque recoins de son sexe, qui aspirait son clitoris et qui le faisait rouler. Je durcis ma langue et la rendis plus incisive, essayant de la pénétrer. Pendant que je la léchais , j'écartais doucement sa chatte avec mes doigts, tentant de l'introduire dans sa vulve. Je la branlais en la suçant. Elle poussait des gémissements qui se transformait en petits cris. Elle se mit à jouir sous la double action de mes doigts et de ma langue experte. Je ne me gênais pas a aspirer sa mouille.
- Tu aimes ?
Sa voix se faisait entendre à peine.
Je me remis sur mes pieds et descendis ma braguette puis enleva mon troisième pied qui était dur à éclater. Je me suis approché de son visage pendant que je caressais tendrement ma longue queue bien tendue. Je fis, pendant quelques secondes, passer ma queue dure sur son visage avant de forcer sa bouche avec ma bite dure qui laissait déjà couler son liquide transparent.
- Suce ma bite tu vas aimer je te jure.
Elle semblait étonnée à la vue de mon joyaux bien élancé.
Dans la situation déjà gênante qu'elle était elle semblait n'avoir pas le choix, et après quelques instants d'hésitation, elle passa timidement sa langue sur ma longue et épaisse bite veinée et tendue.
Elle essayait de se dégager par moment mais ma main libre se chargeait de la guider avec délicatesse. Elle passait encore et encore sa langue puis ses lèvres sur mon gland. C'était à ma grande surprise génial, une petite experte. Ses lèvres étaient douces et satinées. Je la laissais tout faire en l'observant et en me branlant par la même occasion, puis elle fit glisser sa langue le long de ma hampe alors que mes doigts fouinaient dans ses cheveux qu'elle avait lissé pour sa fête. Elle explorait magnifiquement ma bite avec sa langue et ses lèvres pendant un moment mais je commençais à m'impatienter sérieusement ne pouvant plus supporter cette excitation qui me rendait un peu brutale.
Ma main poussa sa tête en avant et mon chèvre glissa entre ses lèvres.
- Prends la dans ta bouche maintenant et suce moi comme une malade.
Soudainement, elle se mit à me pomper. Elle me faisait un effet fou quand ses lèvres coulissaient sur les nerfs tendus de mon pénis.
- Ahh oui, j'adore. Continue, ne t'arrête pas.
Au bout d'un long moment, elle se retira alors j'en ai profité pour l'allonger dans le divan et me coucher sur elle. Ma bouche prit la sienne et ma langue s'enroulait autour de la sienne, lui coupant presque le souffle, étouffant ses gémissements. Mon corps lourd était collé contre le sien et ses mains parcouraient mon corps. Mes jambes écartaient les siennes . C'est alors que mon pénis dur comme un roc prenait position a l'entrée de son vagin essayant de forcer le passage.
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