Mélodie, jeune lycéenne quitte brutalement sa ville natale à la suite d'un drame familial, pour New York, Manhattan. Mais ce qu'elle ne savait pas à ce moment-là, c'est que sa vie allait complètement basculer en croisant la route de de ce garçon mystérieux, . Parviendra-t-elle à percer le secret sa mère ?
Chapitre 1 Chapitre 1 PROLOGUE
Les rues étaient lumineuses dans la ville de Londres, les gens riaient aux éclats, et aux quatre coins, des petits Food truck de hot-dog et d'autres me chatouiller les narines. Pourtant, mon cœur ce serras de plus en plus fort, et ma tête me faisait si mal, mes larmes continuèrent de couler. Je sentis le vent se poser sur ma nuque et me donnais la chair de poule.
Trainant des pieds jusqu'à la maison, j'arrive devant la façade, la lumière du salon était allumée et je voyais ma mère encore avec son tablier, elle travaillait au coin de la rue dans le restaurant chinatown. Tout le monde l'aimait, elle est si rayonnante et ayant toujours le sourire, une femme si forte ! Chose que je ne suis pas...
Elle me prépara mon plat favori des cannellonis, celle de mon père aussi.
On avait l'habitude de se réunir tous les trois à table, avec une bonne bouteille de rouge. On discuta de la journée, tout en écoutant sur notre tour de disque Something de the Beatles, mon cœur ce serras encore plus fort. Je me précipite dans ma chambre, posant ma tête sur l'oreiller et pleurant en sanglot je repense à ce jour-là.
Nous étions sur le chemin de l'école quand mon père me déposa devant. Je commence à avancer, et papa repartit. Le dos tourné, j'entends au loin un gros bruit à deux rues de l'école.
Mon cœur et mon sang ont fait un bon à ce moment-là, mes yeux commencèrent à pleurer sans les contrôler. Je ne savais pas pourquoi, mais j'ai senti que quelque chose n'allait pas. Je pris mon courage à deux mains et j'ai couru aussi vite sur l'accident que j'ai entendu.
L'Audi de mon père était présent. Soudain, j'aperçois papa sur le volant, la tête pleine de sang, mon corps tremble encore. Cela fait un an qu'il nous a quittées, je n'arrive toujours pas à oublier, j'ai l'impression que c'était hier... Nous étions si complices ... Depuis ce jour, ce flash-back ne cesse de me hanter toutes les nuits, les cauchemars à répétition.
Une heure plus tard, ma mère m'appela, je sursautais. Je me rafraîchis le visage et enfile mon pyjama rock 'n''roll que j'avais eu pour mon anniversaire. Une fois à table, maman me demanda comment ça, c'était passer l'école aujourd'hui, quand soudain, la sonnette de la maison sonna.
- « Dringgggggg »
La porte s'ouvra quand j'aperçois élise, élise, c'est ma meilleure amie depuis le CP.
Maman fait un signe de la main, pour lui dire de venir.
- Bonjour élise, répondit la maman de mélodie,
- Bonjour Solène,
- Solène : Je te mets une assiette ?
-Elise : avec plaisir, ça sent drôlement bon !
- « Mélodie lança un sourire. »
- Solène : je demandais justement à mélo comment se passer l'école en ce moment ?
Élise répond que M. Galois professeur de mathématiques, leurs avez demander de commencer à regarder les écoles pour l'année prochaine, sachant qu'il restait plus qu'un jour avant les grandes vacances.
Le dîner se termine dans le calme, je lance le lave-vaisselle, et tombe sur le livre de recettes de papa. Je me rappelle quand il m'apprenait à cuisiner, depuis toute petite, j'adorais ça, c'était si passionnant et si simple à ses côtés. Ma montre sonna, et afficha 21 h 30, vite un lavage de dents et me coucha, demain dernier jour d'école, faut que je sois en forme.
Le lendemain matin 8 h 00, je me réveille et engloutie mon chocolat, saute dans mes baskets et direction l'école. Les heures défilées à une rapidité quand mon téléphone sonna à 10 h. Surprise en regardent le nom sur mon téléphone, je m'empresse de répondre.
- Mélodie : allô maman, qu'est-ce qu'il se passe ?
- Solène : ma puce, rien de grave ne t'inquiète pas, je t'appelle, car j'ai une bonne nouvelle à t'annoncer, j'ai reçu une lettre me proposant un nouveau travail.
L'air étonné, mélodie s'interrogea sur la nouvelle annonce de sa maman.
- Mélodie : maman, qu'elle travaille, je ne comprends rien,
-Solène : mélo, il y a quelques mois, j'ai postulé sur une annonce, et j'ai été contacté par un monsieur très charmant au téléphone, en me disant, que j'avais du potentiel et qu'il aimerait me rencontrer. Il m'a envoyé une lettre de rencontre.
Mélodie ne savez pas qu'à ce moment-là, sa vie allez basculer très rapidement, et prenant un tout autre chemin.
-Solène : mélo, prend ton sac, je viens te chercher.
-Mélodie : comment ça maman,
- « Le téléphone de mélodie se coupa. »
Une demi-heure plus tard, maman arriva à l'école, et parla avec le directeur pendant mon cours de dessin, Quand subitement, j'entends mon nom aux haut-parleurs de l'école.
« Madame Guilbert est priée de se rendre immédiatement dans le bureau de la directrice ».
Mon cœur ne faisant qu'un bond. Je pris mes affaires, et descend les escaliers pour aller dans la petite pièce du côté de la salle de gym. En grand, sur la porte, était écrit Madame SPILMAN NORA. Alors que j'allais toquet, j'entends des voix se chamailler. Je pris mon courage, et commence à rentrer. J'aperçu le visage de maman furieux. Elle me prit part la main, et m'emmena dans la voiture. Paniquer, je lui demande pourquoi elle réagissait comme ça, que c'était-il passait dans ce bureau ? Maman était silencieuse jusqu'à la maison. Je posai mon sac sur la table, quand maman me regarder avec de drôle de yeux et une grande respiration.
-Solène : écoute mélo, je sais que c'est un peu précipiter, et que tu as des millions de questions en tête, mais je vais être bref, je te demande de faire tes bagages, nous partons dans 2 h.
Les grands yeux de mélodie s'écarquillaient et rentrèrent dans une colère affreuse.
-Mélodie : mais maman, pourquoi je dois faire mes bagages, où allons-nous ?Pourquoi maintenant ? Pourquoi si précipitamment ? Pleins de questions me vient en tête.
-Solène : Mélo tout ce que tu as à savoir, c'est que nous allons déménager à Manhattan, alors prends juste les affaires nécessaires et partons s'il te plaît.
Le visage de mélodie se décomposa, et les larmes commencèrent à pleurer. D'une petite voix tremblante, mélodie répond :
- Mélodie : mais maman! s'il te plaît explique moi, nous ne pouvons pas abandonner la maison de papa, et nous avons tant de souvenirs dedans, c'est tout ce qu'il me reste à lui, je t'en prie ! les larmes aux yeux.
Triste et furieuse, maman me tourna le dos pour aller faire ces affaires.
Posant ma tête sur l'oreiller, en essuyant mes larmes, je me demandais les vraies raisons de ce déménagement si soudain. Qu'est-ce qu'il y avait vraiment écrit sur cette lettre ? Qui elle avait eu au téléphone, pourquoi elle était si bouleverser... Je pris mon téléphone, et j'appelle élise.
-Mélodie : allô élise,
-Elise : mélo ! Enfin, tu réponds, j'ai essayé de te joindre plusieurs fois et tu n'as pas décroché.
Que s'est-il passé ? Pourquoi t'est Parti comme ça ? Qu'a dit la directrice ? ...
-Mélodie : le cœur serré et la voix toujours tremblote, je commence à raconter ce qu'il s'était passé.
-Elise : tu ne peux pas partir comme ça, que va dire tes proches, et la maison ? Et moi, tu ne peux pas m'abandonner !
-Mélodie : je sais élise, je ne sais pas ce qu'ils se passent en ce moment, pour la maison, Je n'en ai aucune idée et tu sais que ça me déchire le cœur, je suis née dedans, j'y ai grandi, et j'ai tous les souvenirs avec mon père, comment peut-elle me faire ça ? élise, je t'en prie, dit moi oui, part avec nous ! Je ne supporterais pas de te perdre aussi.
- « Un silence se fait bref, et un grand soupir se fessa. »
-Elise : écoute mélo, tu sais que je ne peux jamais te dire non, et tu sais très bien que je ne peux pas quitter ma meilleure amie ! Je fais mes bagages, attends-moi, j'arrive !
Dans les minutes qui suivent la sonnette, sonne.
C'était elle, avec un grand sourire, toujours partante pour tout, une telle énergie débordante.
-Elise : alors dit moi tout, où allons-nous chérie.
- Mélodie : Manhattan...
Maman arriva, les affaires dans la voiture , et en route pour l'aéroport. Je n'avais jamais pris l'avion jusqu'à maintenant, nous avons les numéros 266,267,269, je lançais un grand soupir, la tête devant le hublot, c'est parti à 8 h de vol... j'avais pris un bouquin que j'adorais lire, orgueil et préjugé de Jane Austin, une grande femme que j'admirais beaucoup. La tête dans mon livre, élise avez pris ces écouteurs, les yeux fermés bercer part ça musique. Quand ta maman, elle passa tout son temps sur son téléphone. Cette histoire me tracassa toujours la tête. Puis, je n'ai pas demandé à maman, mais où allons-nous dormir ? Je me laissai submerger par la lecture, et m'endormis le reste du trajet, une voix me fait sursauter, et un tremblement de l'avion qui atterrit doucement.
- « Voix : mesdames, messieurs, veuillez détacher vos ceintures de sécurité et descendre dans le calme. »
- "ladies and gentlemen, please unfasten your seat belts and get down in peace"
Nous descendons de l'avion, pour rentrer dans l'aéroport. Rien que dedans était magnifique, les gens étaient tellement chics, élégant, je tourne sur moi-même les yeux brillants.