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Vrai amour

Vrai amour

wk

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Chapitres

Deux jeunes qui vivent un amour vrai malgré les difficultés des prochains

Chapitre 1 Chapitre 1

Elle s'appelle Isabelle ,jeune fille issue d'une famille trĂšs riche.

Son pÚre #Jérémy est un grand entrepreneur,il a des entreprises partout dans le monde et investi dans presque tous les secteurs. Toutes ses affaires fonctionnent à merveille.

Sa mĂšre s'appelle #Angeline ,aussi belle qu'un ange. Elle ne travail pas sur la demande de son mari.

Isabelle est une fille trĂšs belle, n'importe quel homme aurait rĂȘvĂ© de l'avoir comme femme ou de l'avoir dans son lit. Sa beautĂ© est incomparable, elle est plus belle qu'une dĂ©esse, elle fait 1m70. En plus de sa beautĂ©, elle est trĂšs intelligente,Ă  20 ans,elle obtint sa licence en ingĂ©nierie et revient dans son pays pour travailler. Elle vivait avec ses parents dans une grande villa constituĂ©e de plusieurs chambres et une piscine dans la cour. Ce soir Isabelle vient de rentrer, elle est attendu au salon par son pĂšre. Elle donna un bisou Ă  son papa.

Isabelle : bonsoir papa.

Jérémy : bonsoir ma fille, comment était la journée ?

Isabelle : trĂšs bien papa.

Jérémy : bien assied toi,j'aimerai te parler.

(Elle s'assoit)

Isabelle : de quoi veux-tu me parler pĂšre ?

JĂ©rĂ©my : tu sais, tu as 20 maintenant et c'est le meilleur moment oĂč tu dois songer Ă  te marier.

Isabelle : je sais papa,mais je ne suis pas encore prĂȘte, quand je le serai,je te tiendrait au courant.

JĂ©rĂ©my : tu n'es pas encore prĂȘte, et qu'est-ce qui t'empĂȘche d'ĂȘtre prĂȘte ?

Isabelle : c'est que aucun homme ne m'attire papa.

Jérémy : n'est-ce-pas que je vois beaucoup d'hommes te courir aprÚs ?

Isabelle : oui mais papa,il n'y a aucun que mon cƓur dĂ©sire, l'homme de ma vie reste encore Ă  trouver et moi je ne veux pas me presser de peur de gagner l'os.

Jérémy : ne t'en fait pas ma fille, tu n'auras plus à chercher parce que l'homme de ta vie est déjà là.

Isabelle : comment ça il est déjà là, je ne comprend pas ?

Jérémy : en clair, j'ai déjà trouvé un homme parfait pour toi.

Isabelle : quoi ?

(Elle se lĂšve brusquement)

Isabelle : tu veux m'imposer un mariage ? Ça jamais.

Jérémy : calme toi et rassied toi ma fille. C'est un jeune trÚs gentil,trÚs intelligent et trÚs beau. Son pÚre et moi sommes amis depuis l'enfance et nous voulions éternisée notre relation par le mariage de nos enfants. Alors fait moi honneur.

Isabelle : ne compte pas sur moi pour ça papa,je ne vais jamais épouser une personne que je n'aime pas,ça jamais. Nous ne sommes plus à ton époque papa,c'est moi qui choisirai la personne que je vais épouser.

Jérémy : Je suis entrain de t'aider ma fille et je suis sûr que tu vas aimer ce garçon sans hésiter.

Isabelle : c'est quoi cette histoire, ne me dit pas que tu vas me pourrir la vie papa,s'il te plaĂźt.

Jérémy : mais pas du tout,je t'aime beaucoup Isabelle,c'est pour ça que je fais ça.

Isabelle : dis simplement que tu vise ton intĂ©rĂȘt oui.

JĂ©rĂ©my : non,c'est d'abord ton intĂ©rĂȘt avant le mien. D'ailleurs demain lui et son pĂšre viendront ici,ne soit pas absente.

Isabelle : je te prĂ©vient papa,peu importe sa beautĂ©, mĂȘme s'il est un dieu,je n'Ă©pouserai jamais une personne que je n'aime pas, ça tu peux me croire.

(Elle se leva,alla se changer puis rejoigna sa mĂšre dans la cuisine).

Isabelle : maman, tu savais que papa voulait me donner en mariage au fils de son ami ?

Angéline : non je l'ignorait mais si tu n'es pas d'accord, tu peux compter sur moi, je serai toujours là pour t'aider.

Isabelle : merci maman. J'ai tellement faim.

Angeline : j'ai presque fini.

Isabelle : non,je veux ma part.

Angeline : ok,sert toi ma fille.

(Isabelle se sert et alla dans sa chambre pour manger pendant qu'Angeline apporte le dĂźner Ă  son mari. En mangeant...)

Angeline : dis moi que ce n'est pas vrai ce que Isabelle me raconte.

Jérémy : wahou,ton plat est vraiment délicieux.

Angeline : ne change pas de sujet s'il te plaĂźt.

Jérémy : oui,elle va épouser le fils de mon ami et alors ?

Angeline : laisse l'enfant choisir l'homme avec qui elle fera sa vie.

Jérémy : n'essaie pas de me couper l'appétit Angeline.

Angeline : pardon,mange mon chéri.

Jérémy : ils viendront ici demain donc tu dois les préparer quelque chose. C'est compris.

Angeline : oui j'ai compris.

A suivre...👇👇👇👇

#ScĂšne2

Demain donc,Jérémy revient tÎt du travail,vers 12h.

Angeline : chéri, pourquoi tu rentre si tÎt aujourd'hui ?

Jérémy : je dois me préparer pour l'arrivée de mes invités. Tient ces 200 000f,prépare nous un repas inoubliable et dis à Isabelle de ne pas sortir, ils vont arriver bientÎt.

Angeline : elle est sortie depuis le matin.

JĂ©rĂ©my : oĂč est-elle allĂ©e ?

Angeline : elle cherche du travail.

Jérémy : appelle la,son problÚme de travail sera bientÎt résolu.

(Angeline pris l'argent et parti faire des courses. A 13h,Isabelle rentra et Angeline revient quelques minutes aprÚs. Elles commencÚrent à préparer de 14h à 16h pour terminer. AussitÎt les invités de Jérémy arrivent dans une range rover noire. Le garde les laisse entrer et Jérémy vient les accueillir dans la cour puis les conduit au salon. Angeline leur apporta de quoi rafraßchir la gorge. Les deux invités sont en fait #Géraud et #Francis .

#Géraud est le pÚre de Francis et l'ami intime de Jérémy depuis l'enfance. En effet ils ont grandit ensemble, fréquenté ensemble, ils ont eu le bac ensemble. AprÚs l'examen, Géraud à choisi de faire la douane pendant que Jérémy a opté pour la gestion. Aujourd'hui, Géraud est chef de la douane et cela facilite la transaction des marchandises de Jérémy au niveau de la frontiÚre. C'est pour cette raison, pour garder intact cette relation qu'ils veulent établir entre eux des liens d'alliance par le biais du mariage de leurs enfants Francis et Isabelle.

#Francis,c'est un homme trĂšs riche et trĂšs charmant,beaucoup de filles rĂȘvent de l'avoir, mais il est un peu arrogant. Il a 25 ans et ses affaires sont trop floues. Lui,il Ă©tait mĂȘme dĂ©jĂ  amoureux de la photo d'Isabelle.

Que les discussions commencent).

Jérémy : alors Géraud, comment a été le voyage ?

Géraud : ça s'est bien passé merci.

Jérémy : ha,Dieu merci. Comment tu vas Francis ?

Francis : je vais trĂšs bien papa.

GĂ©raud : comment vont les affaires ?

Jérémy : tout roule mon vieux.

GĂ©raud : que c'est merveilleux.

Jérémy : j'allais te demander les nouvelles de ta femme.

Géraud : cava entre nous maintenant, on s'est réconcilier et tout va bien.

Jérémy : ok,voici ma femme Angeline.

GĂ©raud : je comprend maintenant pourquoi JĂ©rĂ©my n'arrĂȘtait pas de faire autant votre Ă©loge. EnchantĂ© madame.

(Il donna un baisé sur sa main).

Angeline : enchantée.

Jérémy : et voici ma fille Isabelle dont je te parlais.

Géraud : wahou,qu'est-ce qu'elle est belle ta fille ! Enchanté mesdames,ravi de faire votre connaissance.

(Il prend sa main et lui donna un baisé).

Isabelle : enchantée.

(Isabelle ne parlait pas,quand ses yeux croisĂšrent ceux de Francis, elle baissa la tĂȘte. Francis Ă©tait habillĂ© comme un prince mais cela ne faisait aucun effet Ă  Isabelle. Francis ne l'intĂ©resse pas du tout. JĂ©rĂ©my fait signe Ă  sa femme et celle-ci leur apporta le repas et ils mangĂšrent tous ensemble tout en discutant).

JĂ©rĂ©my : mon ami,tu sais dĂ©jĂ  ce pourquoi vous ĂȘtes ici ?

Géraud : bien sûr mon ami. Alors comment on procÚde ?

Jérémy : on doit fixer ensemble le jour du mariage non ?

Angeline : quoi ?

Géraud : non,ça sera trÚs brutal. Je propose qu'on les laisse un peu le temps de se connaßtre avant le mariage.

Jérémy : d'accord, c'est une bonne idée.

Géraud : alors faisons comme ça.

Jérémy : je précise que le mariage sera obligatoire. Vous avez compris les enfants ?

Francis : oui papa et je pense que le plutÎt sera le mieux. N'est-ce-pas ma chérie ?

Isabelle : ?

(AprÚs le repas et prÚs à retourner chez eux,Jérémy les raccompagna à leur voiture).

Jérémy : alors tu vas retourner à ton domicile ?

Géraud : non,je vais encore passé une semaine ici,on aura le temps de discuter.

Jérémy : ok,bonne route.

GĂ©raud : merci,bonne nuit.

#ScĂšne 3

(Jérémy laissa son ami et rejoigna sa famille).

Jérémy : alors, comment vous avez trouvé le jeune Francis ?

Angeline : je le trouve beau et trĂšs charmant.

(Jérémy se tourne vers Isabelle)

Jérémy : n'est-ce-pas l'homme qu'il te faut ma fille, seul un tel homme mérite ton amour.

Isabelle : Ă  moi,il ne me plaĂźt pas du tout.

JĂ©rĂ©my : arrĂȘte ça immĂ©diatement, vous ne vous connaissez pas encore et il ne te plaĂźt pas comment ? N'essaie pas de m'Ă©nerver.

Isabelle : papa,ce n'est pas parce qu'on fréquente une personne qu'elle nous plaira mais c'est parce qu'elle nous plaßt qu'on la fréquente.

JĂ©rĂ©my : ça peut aussi ĂȘtre le contraire, parce que Ă  force de frĂ©quenter,on peut aimer rĂ©ellement alors taie toi et n'essaie surtout pas de me dĂ©sobĂ©ir. Ce jeune homme, tu vas l'Ă©pouser, met toi bien ça dans le crĂąne.

(Isabelle quitta ses parents et alla dans sa chambre pour pleurer parce que quand son pÚre décide quelque chose, c'est ça ou rien).

Angeline : tu ne trouve pas que tu vas un peu trop fort avec elle ?

JĂ©rĂ©my : non,pas du tout. Bon je suis fatiguĂ©,je vais me reposer alors arrĂȘte de me casser les oreilles.

(Ainsi,ils allĂšrent se coucher. Le lendemain vers 16h,Francis arrive seule dans une V8 noire, sa propre voiture. Isabelle lisait un journal Ă  la terrasse. Francis gara sa voiture et s'approcha d'elle.

Francis : bonsoir ma chérie.

Isabelle : un peu de respect M.,qui est ta chérie ?

Francis : désolé, bonsoir Isabelle.

Isabelle : bonsoir, prend place.

Francis : merci,comment tu vas ?

Isabelle : cava, merci ; et toi ?

Francis : je vais trĂšs bien. Tes parents sont lĂ  ?

Isabelle : non,ils sont sortis.

Francis : ça tombe bien,c'est toi que je venait voir.

Isabelle : ah bon,et pourquoi ?

Francis : tu sais, tu es une fille vraiment trÚs belle, ta beauté est semblable à celle d'un dieu. Quand je te regarde...

Isabelle : oĂč veux-tu en venir ?

Francis : bon,tu sais c'est vrai que tu ne me connais pas encore mais moi je te connais assez longtemps. Mon pĂšre m'avait envoyĂ© tes photos et je t'assure, je suis tombĂ© amoureux de toi dĂšs l'instant oĂč je les ai vue. DĂšs lors je pense Ă  toi sans arrĂȘt, je rĂȘve de toi toutes les nuits et mĂȘme pendant la journĂ©e. Je ne cherche qu'Ă  te voir un jour pour que mon cƓur soit en paix, pour que mes yeux trouvent satisfaction et pour que mon Ăąme se rĂ©jouisse d'avoir trouver sa bien-aimĂ©e. VoilĂ  ce jour est arrivĂ© et te voilĂ  devant moi,j'avoue que tu es encore plus belle que sur la photo, ta beautĂ© s'Ă©lĂšve au dessus de tout l'univers, je...

Isabelle : ça suffit, tu veux quoi ?

Francis : je t'aime Isabelle.

Isabelle (rire) : tu m'aimes ?

Francis : oui je t'aime.

Isabelle : t'en ai sûr.

Francis : bien sĂ»r, j'en suis sĂ»r et certain,tu es la femme que je recherche depuis si longtemps et je t'ai trouvĂ©,je t'aime de tout mon cƓur.

Isabelle : dis moi sincÚrement, c'est ma beauté que tu aimes ou c'est moi que tu aimes ?

Francis : euh... ? Ça veut dire quoi,oĂč est la diffĂ©rence entre toi et ta beautĂ© ?

Isabelle : cherche Ă  le savoir et revient me voir.

Francis : c'est toi que j'aime Isabelle.

Isabelle : vraiment, tu ne trouve pas que tu précipite trop les choses là ?

Francis : je ne peux pas supporter de vivre encore loin de toi Isabelle, j'ai tellement envie de te prendre dans mes bras,te sentir l'odeur de ton parfum, de sentir la chaleur de ton corps et de sentir la douceur de tes lÚvres. J'ai envie de voir ton sourire à chaque fois que je me réveille le matin, te prendre dans mes bras et te dire combien je t'aime. Tu...

Isabelle : ça suffit, laisse moi un peu le temps d'y réfléchir, l'amour n'est pas un jeux,il ne faut pas précipiter les choses.

Francis : d'accord, mais sache que je suis trĂšs impatient.

Isabelle : l'amour, ça demande de la patience alors tu doit ĂȘtre patient, je ne vais quand mĂȘme pas forcer l'amour.

Francis : prend tout ton temps, j'attendrai ta réponse.

Isabelle : tant mieux.

Francis : je vais devoir partir.

Isabelle : d'accord, merci d'ĂȘtre passĂ©.

Francis : merci Ă  toi de me recevoir. Salut moi tes parents.

Isabelle : je n'y manquerai pas.

Francis : je peux avoir un baisé ?

Isabelle : non.

Francis : bon je m'en vais. Au-revoir.

Isabelle : Bye.

(Francis entra dans la voiture et rentra chez lui).

A suivre...👇👇

AIMER APRÈS LA LECTURE ET COMMENTENT

#ScĂšne4

Une semaine aprĂšs, Francis revient encore.

Francis : alors ma belle,tu t'es enfin décider à sortir avec moi ? J'aimerai qu'on se marie le plus vite possible parce que je ne peux pas supporter ton absence plus longtemps.

Isabelle : laisse moi encore le temps de réfléchir.

Francis : tu n'imagine pas combien je souffre loin de toi Isabelle.

Isabelle : je dois laisser mûrir ma réflexion, ce n'est pas une décision à prendre à la légÚre.

Francis : bon d'accord, je te laisse encore un temps de réfléchir.

Isabelle : c'est gentil.

(A chaque fois que Francis revient, il repart toujours avec la mĂȘme rĂ©ponse de la part d'Isabelle. Ceci jusqu'Ă  un mois).

Francis : Isabelle, ça fait un mois que je rĂŽde ici et tu veux toujours rĂ©flĂ©chir, aujourd'hui, dis-moi sincĂšrement ce que t'as dans le cƓur.

Isabelle : laisse moi encore quelques temps avant de me décider parce que je ne veux pas m'engager dans une relation et rompre plus tard.

Francis : je n'en peux plus d'attendre Isabelle, tu me fais tellement souffrir, donne moi la rĂ©ponse afin que mon cƓur ne se trouble point.

Isabelle : ok,si tu veux une réponse, je vais te la donner. J'ai pris tout ce temps parce que j'espérais ressentir quelque chose pour toi mais j'y arrive pas.

Francis : qu'est-ce que tu veux me dire par lĂ  ?

Isabelle : honnĂȘtement, je ne t'aime pas.

Francis : quoi ?

(Francis a la tĂȘte qui tourne, il met sa main au front et commence Ă  tourner sur lui-mĂȘme. Il n'espĂ©rait jamais obtenir une telle rĂ©ponse).

Francis : pendant tout ce temps que j'ai attendu tu viens me dire que tu ne m'aimes pas,comment tu peux me dire ça ?

Isabelle : je suis désolé mais on ne force pas l'amour.

Francis : non mais tu blagues ?

Isabelle : est-ce que j'ai l'aire de blaguer ? On ne blague pas avec ses choses.

Francis : accorde moi au moins une chance de te prouver combien je t'aime.

Isabelle : je suis désolé Francis,mais je ne peux pas m'engager dans une relation avec toi tout en sachant que cet amour n'est pas réciproque, ça te fera encore plus de mal et c'est ce que je voulais éviter.

Francis : non,non,non,dis-moi que ce n'est pas rĂ©el, dis-moi que je rĂȘve.

Isabelle : non,c'est la réalité, je ne suis pas la femme qu'il te faut, tu dois chercher ailleurs.

Francis : non,ça ne se passera pas comme ça.

(Francis Ă©tait en colĂšre, il cria si fort qu'Angeline pouvait entendre depuis la chambre).

Francis : écoute moi trÚs bien Isabelle, que tu le veille ou non,tu seras ma femme, nos parents sont déjà d'accord. Tu n'as pas voulu la voie libre et pacifique alors on va employer la voie contraignante. Je n'ai pas encore dit mon dernier mot.

(Il sorti et pris sa voiture pour rentrer trĂšs en colĂšre. AprĂšs, Angeline descendit pour voir sa fille).

Angeline : qu'est-ce qui se passe avec Francis ?

Isabelle : je ne l'aime pas maman et je le lui ai dit.

Angeline : oh ma fille, tu dois ĂȘtre forte parce que tu viens de dĂ©clarer la guerre Ă  lui et Ă  ton pĂšre. Tu sais quand un homme veut quelque chose, il l'obtient mais ne t'en fait pas, je suis lĂ  pour te soutenir.

Isabelle : je sais maman.

(Isabelle tomba dans les bras de sa mĂšre et celle-ci lui caressa les cheveux.

Quelques minutes aprÚs, Jérémy revient du voyage, il est épuisé. Il prend un bain puis il alluma la télé. Angeline apporta le dßner et ils mangÚrent tous ensemble. AprÚs le repas).

Jérémy : Isabelle.

Isabelle : oui pĂšre.

JĂ©rĂ©my : oĂč en es-tu avec Francis, j'espĂšre que vous vous connaissez dĂ©jĂ  bien parce qu'il faut prĂ©cipiter les choses ?

(Isabelle et Angeline se regardaient sans dire un mot).

Jérémy : c'est à toi que je parle Isabelle.

Isabelle : je ne l'aime pas pĂšre, je ne vais pas l'Ă©pouser.

Jérémy : quoi,tu peux répéter ?

Isabelle : je ne vais pas l'Ă©pouser.

Jérémy : Isabelle, ce garçon tu vas l'épouser et je n'ai pas besoin de ton avis alors n'essaie pas de me désobéir.

Angeline : mais chéri...

Jérémy : taie toi,c'est toi qui l'encourage n'est-ce-pas ?

Angeline : tu ne peux pas l'obliger Ă  se marier ,ce n'est plus une enfant.

Jérémy : ma décicion est irrévocable.

(Il se leva et alla dans sa chambre. Isabelle pleura dans les bras de sa mĂšre et celle-ci la consola).

# ScĂšne8

AIMER APRÈS LA LECTURE ET COMMENTENT

(En chemin, Isabelle était remplie de joie, la présence de Krist la rendait tellement heureuse, elle était pressée de le revoir. Elle s'est rendue sur les lieux et elle constate que les données de son travail sont exactes. Elle appela son pÚre pour l'en informer. Elle s'est ensuite rendue à l'hÎpital central pour retrouver Krist et sa mÚre. Pendant que Krist attendait dans la salle d'attente, elle arriva.

Isabelle : comment elle va ?

Krist : elle est encore au soins,mais espérons que ça ira.

Isabelle : Dieu est grand, ça ira.

Krist : je peux te poser une question ?

Isabelle : oui vas y,je répond à toutes tes questions.

Krist : pourquoi tu as fais ça pour moi alors qu'on vient à peine de se rencontrer ?

Isabelle : je ne sais pas, peut-ĂȘtre que je voulais rembourser ma dette de t'avoir projeter de l'eau sale dessus ou peut-ĂȘtre que ça me plaĂźt te t'aider,ou peut-ĂȘtre que tu me...ou alors que telle Ă©tait la volontĂ© de Dieu ?

Krist : peu importe la raison, je te suis reconnaissant et je te remercie pour ton aide.

Isabelle : ce n'est rien. J'ai une proposition de travail à te faire si t'es intéressé ?

Krist : bien sĂ»r, je suis prĂȘt Ă  tout travail. Il s'agit de quoi ?

Isabelle : en fait mon pÚre veut construire une entreprise ici,donc tu peux travailler comme maçon ou...

Krist : c'est bon,je suis partant.

Isabelle : ok,c'est cool.

Krist : la construction commence quand ?

Isabelle : j'attends seulement la confirmation de mon pĂšre.

Krist : d'accord, ça pourrait me permettre de te rembourser.

Isabelle : je t'ai dit que tu n'as pas besoin de me rembourser.

Krist : mais moi je veux le faire.

Isabelle : ok,c'est comme tu veux mais je t'y oblige pas. Tu sais que tu es trĂšs tĂȘtu ?

Krist : ça fait partie de mon ĂȘtre.

Isabelle : j'adore ça.

(En ce moment, le docteur vient les trouver).

Krist : docteur, comment va ma mĂšre ?

Docteur : vous avez beaucoup de chance de l'amener à temps, elle développe un cancer de l'utérus.

Krist : cancer de l'utérus, comment est-ce possible ?

Docteur : je pense que lĂ  n'est pas la bonne question, la question qu'il faudrait poser est est-ce qu'il peut ĂȘtre stopper ? Et je dis oui,mais cela nĂ©cessite une opĂ©ration qui coĂ»te cher.

Krist : une opération ?

Isabelle : docteur, utilisez tous vos moyens pour la sauver.

Krist : Isabelle, je...

Isabelle : ne t'en fait pas Krist, je m'occupe de tout.

Docteur : l'opération se passera demain et le coût s'élÚve à 1 million. En attendant, vous pouvez passer la voir.

(Krist et Isabelle entrent)

Krist : comment te sens tu maman ?

ClĂ©mence : je ne sais pas trop,mais un peu soulagĂ©e quand mĂȘme.

(Elle s'adresse Ă  Isabelle).

Clémence : merci beaucoup ma fille pour ton geste,Dieu te le rendra.

Isabelle : ce n'est rien maman, reposes toi.

(Clémence sens que Krist est un peu inquiet).

Clémence : qu'y a-t-il mon fils,pourquoi es-tu inquiet ?

Krist : je ne suis pas inquiet maman, tout va bien.

Clémence : je te connais Krist, tout ne va pas bien.

(Krist voulait pleurer mais il tente de garder son sang froid).

Krist : ils ont diagnostiquer un cancer de l'utérus maman, et ils vont t'opérer demain.

Clémence : cancer de l'utérus ? opération ?

Isabelle : sois tranquille maman,tout va bien se passé, je m'occupe des frais,ne t'inquiÚte pas.

Clémence : oh ma fille, je...mais qui es-tu ?... tu...

Isabelle : repose toi maman, garde tes forces, tu seras opéré demain.

Krist : oui ne dis rien maman, tu la remercieras aprĂšs mais maintenant, repose toi.

A suivre...👇👇👇➖

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# ScĂšne9

(Isabelle rejoint le docteur dans son bureau et lui signe un chÚque d'un million puis elle regagna la chambre de Clémence).

Isabelle : tout est réglé, vous n'attendez que l'opération. Pour ma part,je vais vous laisser.

Clémence : merci beaucoup ma fille,merci.

Isabelle : je t'en pris maman,ne me remercie pas,je suis heureuse de vous aider.

Clémence : que Dieu vous bénisse ma fille.

Isabelle ; merci maman.

(Krist raccompagna Isabelle et retourna pour veiller sur sa mÚre. En chemin, Isabelle reçoit un appel de son pÚre qui l'informe que le travail va commencer dans une semaine précise. Elle rentra chez elle trÚs heureuse et cela a suscité la curiosité de Julia).

Julia : qu'est-ce qui te rend si heureuse aujourd'hui Isabelle ?

Isabelle : tu ne va pas y croire, j'ai retrouvé le jeune garçon dont je te parlais.

Julia : et c'est ça qui te rend si joyeuse ou t'as autre chose à me dire ?

Isabelle : honnĂȘtement, je suis trĂšs amoureuse de lui Julia,j'ai tellement envie d'ĂȘtre dans ses bras. Je crois que l'homme de ma vie c'est lui Julia.

Julia : alors félicitations mais ne t'emporte pas trop.

Isabelle : oui j'ai compris.

(Demain matin,Isabelle s'est rendue à l'hÎpital pour assister Krist durant l'opération de sa mÚre. AprÚs quelques heures, le docteur vient les informer que l'opération a été un succÚs et que Clémence est hors de danger. Mais ils pourrait la voir que dans deux jours juste pour voir s'il n'y aura pas d'effet secondaires ; alors Isabelle informa Krist qu'elle va rentrer chez elle à la capitale pour revenir une semaine aprÚs).

Isabelle : Krist, je vais rentrer chez mes parents et je ne reviendrais qu'aprĂšs une semaine pour commencer les travaux. D'ici lĂ ,prend bien soin de ta mĂšre.

Krist : merci pour tout Isabelle, finalement ma mĂšre avait raison de demander qui tu es.

Isabelle : je suis un bon samaritain qui est tombée amoureuse de...

Krist : amoureuse de quoi ?

Isabelle : amoureuse de... de...de la...de la charité et je ne supporte pas de voir une personne souffrir et ne pas l'aider alors que j'ai de quoi l'aider.

Krist : tu es bénie de Dieu Isabelle, vraiment, merci infiniment.

Isabelle : arrĂȘte de me remercier encore et encore.

Krist ; bon d'accord, merci beaucoup.

(Elle sourit).

Isabelle ; tu es vraiment une tĂȘte de mule.

Krist : je n'y peux rien,c'est dans ma nature.

Isabelle : bon Ă  trĂšs bientĂŽt.

Krist : ok merci et bon voyage.

Isabelle : je vais finir par te baptiser « M. Merci ».

Krist : humm,c'est cool comme surnom.

Isabelle : tu es trÚs drÎle aussi,et j'aime ça.

(Elle rit et se blottie contre Krist, il Ă©tait surpris mais il l'embrassa trĂšs fort quand mĂȘme. Isabelle sentie que son cƓur avait trouvĂ© son Ăąme-sƓur et son Ăąme est Ă  cet effet en paix. Elle ne voulait pas se retirer de Krist jusqu'Ă  ce qu'il racle la gorge et lui dit).

Krist : merci pour tout et que Dieu sois la lumiĂšre sur ton sentier.

Isabelle : merci,je suis sûr que ton esprit veillera sur moi,pardon, j'allais dire son esprit.

Krist : au-revoir Isabelle.

Isabelle : Bye.

(Elle lui donna un baisé sur la joue puis elle lui laissa un sourire envoûtant et s'en alla. Krist était resté perplexe mais il oublia vite ce qui vient de se passer pour penser à sa mÚre.

A suivre... 👇👇👇👇

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#ScĂšne10

(Isabelle arriva chez elle,Demain, Jérémy était sorti trÚs tÎt, vers midi il est revenu et Isabelle lui montra les plans de son travail).

JĂ©rĂ©my : ma fille, ton travail est excellent, les maçons sont dĂ©jĂ  prĂȘt,reste Ă  voir s'ils vont mettre ce plan en Ɠuvre.

Isabelle : s'ils sont expérimentés,ils vont réussir papa,ne t'inquiÚte pas. J'ai aussi trouvé un employé de plus papa.

Jérémy : d'accord ma fille, il n'ya aucun problÚme.

Isabelle : merci pĂšre.

(Elle lui donna un bisou sur la joue et regagna sa chambre,Ă  sa grande surprise, Francis y Ă©tait).

Isabelle : qu'est-ce que tu fais dans ma chambre ?

Francis : bonjour mon amour.

Isabelle : je ne suis pas ton amour ok,fait attention aux qualificatifs que tu utilises.

Francis : ne te fñche pas mon cƓur, je ne veux pas que ma future femme soit nerveuse pour rien du tout.

Isabelle : arrĂȘte de rĂȘver Francis,parce que je ne serai jamais ta femme, ça je peux te le jurer,tu n'auras aucune chance avec moi.

Francis : c'est bizarre mais moi aussi je peux te jurer que tu seras ma femme.

(Francis s'approcha d'elle et elle recula jusqu'Ă  se coller au mur de sa chambre. Francis se tient devant elle et met ses deux mains au mur pour l'empĂȘcher de s'Ă©chapper).

Francis : tu n'as aucune issue ma chérie,tu es sans défense, tu ne peux pas échapper au destin,que tu le veille ou pas,nous nous marierons.

Isabelle : pour ça il faudra d'abord me tuer,comme ça t'auras la chance d'épouser mon cadavre.

Francis : ne m'Ă©nerve pas ok,c'est ce qu'on va voir.

(Il l'embrassa de force et rejoint Jérémy au salon. Ils prirent le déjeuner ensemble).

Jérémy : j'ai appelé ton pÚre hiers et on s'est convenu que dÚs que la construction de mon entreprise sera achevée, le mariage pourra s'en suivre.

Francis : cette nouvelle est la plus belle de la journée papa et je suis trÚs heureux de l'entendre.

Jérémy : alors prépare-toi en conséquence.

Francis : merci papa.

(AprÚs le repas,Francis rentra chez lui. Angeline se rendait dans la chambre d'Isabelle pour voir pourquoi elle n'est pas venue chercher sont repas. Isabelle était en pleur parce que Francis l'avait embrassé de force).

Angeline : ma fille, qu'est-ce qui ne va pas ?

Isabelle : tu te rend compte maman, ce salaud de Francis m'a embrassé.

Angeline : oh merde,il a osé faire ça, il exagÚre vraiment hein ?

Isabelle : maman, il me harcĂšle tellement, je ne le supporte plus.

Angeline : mais que pouvons-nous faire ma fille ?

Isabelle : je crois que j'ai trouvé quelqu'un qui peut me donner de la force et d'espoir. J'ai trouvé l'homme de ma vie à Adalia durant mon séjour làba maman.

Angeline : tu as durĂ© si peut, comment peux-tu ĂȘtre si sĂ»r que c'est l'homme de ta vie ?

Isabelle : parce que je n'ai jamais ressenti un tel amour pour quelqu'un avant maman, dÚs que je l'ai vue le premier jour que je suis parti làba,je suis tombé amoureuse de lui et je l'aime.

Angeline : dans ce cas ma fille tu as mon soutien mais tu vas devoir faire trĂšs attention.

Isabelle : je sais maman, merci beaucoup.

Angeline : aller mangeons maintenant.

(Jérémy frappe à la porte et Isabelle ouvre,elle sursaute à la vue de son pÚre).

Isabelle : papa !

Jérémy : pourquoi tu as si peur,vous comploter quoi ?

Isabelle : non rien.

Angeline : nous discutons de Francis.

Jérémy : c'est justement pour ça que je suis là. DÚs que la construction sera achevée, tu vas te marier. Je sors.

(JĂ©rĂ©my s'en alla et Isabelle retourna en pleur dans les bras de sa mĂšre, l'appĂ©tit s'est envolĂ©, la joie s'est envolĂ©e, les pleures et la tristesse prennent place chez Isabelle. Pourquoi ne peut-elle pas ĂȘtre heureuse dans la maison de son pĂšre ?).

A suivre...

#ScĂšne11

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(A l'hÎpital, aprÚs les deux jours prévus).

Docteur : M. Kristian,votre mÚre a beaucoup de chance,elle ne présente aucun effet secondaire, vous pouvez la voir.

Krist : merci docteur.

Docteur : elle pourra rentrer dans une semaine.

Krist : merci encore.

(Krist rejoigna sa mĂšre).

Krist : comment te sens tu maman ?

ClĂ©mence : je viens d'ĂȘtre opĂ©rĂ©e,je me sens fatiguĂ©e.

Krist : tu n'as plus à t'inquiéter maman, le docteur a dit que tu es hors de danger.

Clémence : Dieu merci.

Krist : oui,on peut remercier le Seigneur et remercier Isabelle.

Clémence : en parlant d'elle, ou est-elle ?

Krist : maman,tu ne va pas encore recommencer ?

Clémence : je veux simplement la remercier.

Krist : elle est repartie chez elle pour voir ses parents.

Clémence : ça veut dire qu'elle n'est pas encore mariée.

Krist : mamannnnnn.

Clémence : cette fille est trÚs généreuse et trÚs belle, je te prie de l'épouser.

Krist ; on t'as dit qu'une femme marier ne rend pas visite à ses parents ? Je suis sûr que son mari est un homme trÚs riche et qu'il voyage beaucoup. Et si elle n'est pas mariée, c'est que ses parents sont trÚs riches et si tel est le cas,à ce que je sache,les riches ne laissent jamais leur fille épouser un pauvre donc en conclusion, elle est déjà mariée ou alors elle a déjà un prétendant aussi riche qu'elle.

ClĂ©mence : tout ce que tu racontes pourrait ĂȘtre vrai mais tout ça n'est rien face Ă  l'amour, la richesse, la pauvretĂ© ne sont rien si elle t'aime,si toi tu l'aime et que vous deux vous vous aimez.

Krist : mamannnn,pourquoi tu es tant obsédée à l'idée que je l'épouse ?

Clémence : parce que je t'aime beaucoup mon fils et je veux et je sais ce qui est mieux pour toi et cette fille sera la femme parfaite pour toi.

Krist : tu ne vas jamais me lĂącher han ?

Clémence : si tu ne sort pas avec cette fille, c'est que tu n'es pas mon Krist que je connaissais.

Krist : maman,tu viens Ă  peine d'ĂȘtre opĂ©rĂ©e, repose toi, on en reparlera plus tard.

Clémence : mon fils, toi Krist, tu ne veux pas sortir avec une si belle fille, franchement je ne te reconnais plus.

Krist : je n'ai pas changĂ© maman,je suis ton fils,le mĂȘme Krist mais chaque chose a son temps. On va en discuter plus tard.

A suivre....👇👇

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#ScĂšne12

(Dans la capitale, aprÚs 5 jours chez ses parents, Isabelle décida de revenir à Adalia).

Isabelle : maman,je ne supporte plus Francis,je vais retourner Ă  Adalia demain.

Angeline : d'accord ma fille.

Isabelle : maman j'ai quelque chose trÚs délicate à te dire mais s'il te plaßt, ne m'en veut pas.

Angeline : je t'Ă©coute ma fille.

(Elle lui raconta tout ce qu'elle avait fait pour Krist).

Angeline : oh ma fille, je ne t'en veux pas,c'est bien que tu puisse aider ton prochain en situation.

Isabelle : merci de me comprendre maman, je t'aime.

Angeline : je t'aime aussi ma chérie.

(La nuit tombée,Jérémy revenait de son voyage d'affaires. AprÚs quelques minutes de repos(bain,dßner), Isabelle vient lui parler).

Isabelle : papa,je dois retourner labĂ  pour ĂȘtre prĂȘte avant que les travaux commencent.

Jérémy : d'accord ma fille,mais quand les travaux vont commencer,il ne faudra plus revenir réguliÚrement ici.

Isabelle : je sais papa. Je quitte demain samedi puisque le travail commence lundi.

Jérémy : d'accord ma fille, soit prudente.

Isabelle : merci pĂšre.

(Demain Isabelle a quitté ses parents. Elle s'est rendue à la boutique pour acheter un téléphone pour Krist. Elle arrive la nuit donc étant fatiguée, elle attend dimanche matin pour se rendre à l'hÎpital).

Isabelle : bonjour Krist, bonjour maman.

Clémence : bonjour ma fille.

Krist : comment tu vas ?

Isabelle : je vais bien merci.

Clémence : et ton voyage ?

Isabelle : ça s'est bien passé maman.

Clémence : oh ma fille....

Isabelle : je ne veux plus de merci,c'est déjà assez,à quoi sert d'avoir la richesse si je ne peux la partager ?

Clémence : si tous les riches étaient comme toi, il y'a longtemps qu'on entendra plus le monde parler de pauvreté.

Isabelle : il y'en a maman, et mĂȘme si tous sont ainsi,il y aura toujours la pauvretĂ© parce que Dieu crĂ©e toujours une chose et son opposĂ©.

Clémence : c'est vrai,mais la situation sera plus améliorée.

Isabelle : oui t'as raison mais bon... sinon comment tu vas ?

Clémence : je vais mieux maintenant grùce à toi.

Isabelle : non c'est grùce au docteur parce que c'est lui qui t'a sauvé et non l'argent.

Krist : oui mais sans argent, il ne le fera pas.

Isabelle : là n'est plus important,disons que c'est les deux sinon on va rester sur ça comme mon pùre et ma mùre qui discutaient sur qui vient le premier entre la poule et l'Ɠuf.

(Ils Ă©clatent tous de rire).

Krist : et qui arrive Ă  convaincre l'autre ?

Isabelle : personne, ils discutent jusqu'Ă  pour s'endormir ensuite.

Clémence : et toi, tu fais comment quand ils commencent ?

Isabelle : je les observe et si je suis fatiguée, je rentre me coucher.

Krist : et d'aprùs toi,qui vient le premier entre la poule et l'Ɠuf ?

Isabelle : moi non plus je n'en sais rien puisqu'eux-mĂȘme ne parviennent pas Ă  une solution qui pourrait m'aider.

(Ils continuaient de rire pendant un bon moment avant de s'arrĂȘter. Ils Ă©taient comme une vraie famille, Isabelle n'Ă©tait jamais si heureuse avant).

Isabelle : Je peux te voir une seconde Krist ?

Krist : oui bien sûr. Excuse nous maman.

Clémence : allez-y.

(Arrivés dehors, Isabelle sauta dans les bras de Krist).

Krist : pourquoi tu as fait ça ?

Isabelle : je suis contente de te revoir, tu m'as tellement manqué.

Krist : je suis content aussi.

Isabelle : ferme les yeux, j'ai une surprise pour toi.

Krist : c'est quoi ?

Isabelle : j'ai bien dit une surprise, aller ferme les yeux.

Krist : ok,ça y est,ils sont fermés.

(Elle prend sa main droite et lui remet un petit carton).

Isabelle : ça y est, tu peux les ouvrir.

(Krist ouvre ses yeux et surprise, c'est un téléphone Android).

Krist : quoi,un téléphone pour moi ? Non Isabelle, tu as déjà....

Isabelle : c'est un cadeau pour toi, j'ai aidé ta mÚre et ça c'est pour toi et je ne te demande pas de refuser ni de me remercier, parce que si tu refuses alors alors je m'en irai définitivement.

Krist : finalement tu es ma grande sƓur mystĂ©rieuse ou quoi,non je ne peux pas accepter ce cadeau,tu as dĂ©jĂ  beaucoup fait pour nous.

Isabelle : ok, dans ce cas je m'en vais,dis bonjour à ta mÚre et donne le téléphone à qui tu veux.

(Isabelle pleurait Ă  l'intĂ©rieur, son cƓur ne supportera jamais d'ĂȘtre Ă©loignĂ© de Krist,elle se retourna toute triste pour s'en aller. Mais par miracle, Krist se disait en lui-mĂȘme : si je la laisse partir, ma mĂšre va me tuer... ? Bon comment elle le saurait.... ? Non mais je ne serais pas tranquille, en plus cette fille nous a beaucoup aidĂ©, je ne peux pas la laisser s'en aller dans la tristesse comme ça pour un simple cadeau... ? Mais pourquoi elle fait tout ça pour moi,que veut-elle, je dois le savoir. AprĂšs ces rĂ©flexions,il rĂ©agit).

Krist : non attend.

(Le cƓur d'Isabelle s'apaise et elle retourna vers Krist).

Krist : bon d'accord j'accepte mais pour la deuxiĂšme condition je vais la violer parce que tout ce que je peux te donner en retour, c'est merci. Vient dans mes bras.

(Il prend Isabelle dans ses bras en lui disant encore merci et elle lui répond).

Isabelle : voilĂ  une autre chose que tu peux me donner en dehors de merci.

Krist ; quoi ?

# ScĂšne13

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(Krist prend Isabelle dans ses bras en lui disant encore merci et elle lui répond).

Isabelle : voilĂ  une autre chose que tu peux me donner en dehors de merci.

Krist : quoi ?

Isabelle : je veux dire que me prendre dans tes bras est beaucoup mieux que me dire merci.

(Il la lĂącha).

Krist : en tout cas,moi je ne cesserai jamais de te remercier.

Isabelle : et moi je dis arrĂȘte de me remercier parce que je fais tout ça par amour, euh...non,je veux dire par amitiĂ©.

Krist : par amitié, mais on est pas amis ?

Isabelle : quoi,pour moi on est ami depuis le premier jour donc tu ne veux pas ĂȘtre mon ami ?

Krist : si, je le veux,ça serai un honneur d'ĂȘtre ton ami.

Isabelle : alors amis ?

Krist : amis.

Isabelle : maintenant que les choses sont claires,en tant qu'amis je peux louer une chambre chez vous ?

Krist : tu me prend pour un ingrat ou quoi, ne compte pas sur moi pour ça. On est ami donc si tu veux une chambre, c'est gratuit pour toi.

Isabelle : non,je veux la louer.

Krist : et moi je dis non,tu l'occupe gratuitement ou tu l'occupe pas du tout.

Isabelle : bon d'accord, toi tu ne vas jamais changer d'avis. M...

(Krist met son doigts sur les lĂšvres d'Isabelle).

Krist : non,non,non,je ne veux pas de merci.

(Il retire sa main).

Isabelle : ok,c'est comme tu veux M. Merci,je vais aménager dÚs que vous serez rentrer.

Krist : j'allais te le dire,on va quitter cet endroit d'ici mardi.

Isabelle : c'est génial. Mais dis-moi, ta mÚre va-t-elle accepter que je vive chez vous ?

Krist : ma mĂšre, peut-ĂȘtre que ce sont ses priĂšres qui t'ont amenĂ© Ă  demander Ă  vivre chez nous ? Pour elle,tu es comme la fille qu'elle n'a pas pu avoir et que Dieu t'a envoyĂ© pour combler ce vide. Elle va t'accepter Ă  bras ouverts.

Isabelle : ok,c'est cool. Allons,je vais la saluer avant de rentrer.

Krist : ok allons-y.

Isabelle : attend que je te prenne quelques photos.

Krist : dans cet hĂŽpital ?

Isabelle : aller ça ne fait rien.

Krist : ok vas-y.

(AprĂšs les photos, ils retournaient dans la chambre).

Isabelle : maman, je vais vous laisser, bon rétablissement.

Clémence : merci et merci encore pour tout ma fille.

Isabelle : tu m'avais déjà remercié, ce n'est plus la peine.

Krist : maman, Isabelle va habiter avec nous,si t'es d'accord bien sûr.

Clémence : oui je suis d'accord, tu es la bienvenue ma fille.

Isabelle : merci maman. Bon Krist, je m'en vais mais je reviens encore le soir.

Krist : ok je t'accompagne Ă  ta voiture.

(Le soir vers 19h,Isabelle revient avec de la nourriture).

Isabelle : bonsoir maman.

Clémence : bonsoir ma fille.

Isabelle : voici de la nourriture pour toi.

Clémence : merci ma fille. Mangeons ensemble.

(Isabelle sert le repas et ils mangent ensemble)

Isabelle : en fait Krist, j'ai oublié de te dire ce matin que les travaux vont commencer demain.

Krist : ah bon ? (S'adressant à sa mÚre) A propos,maman,j'ai oublié de te dire qu'Isabelle m'avait proposé un travail et comme ça commence demain, il faut que je sois là le premier jour.

Isabelle : non ce n'est pas la peine, reste avec ta mÚre, quand elle sera rétablie, tu pourras commencer.

Krist : oui mais le premier jour est important,je veux y ĂȘtre.

Clémence : tu peux y aller mon fils.

Isabelle : tu ne lĂąche jamais rien toi.

Krist : ça fait partie de moi.

(AprĂšs le dĂźner Ă  21h,Krist raccompagne Isabelle Ă  sa voiture).

Krist : Bon passe me prendre demain matin et merci pour le repas, c'Ă©tait excellent.

Isabelle : d'accord.. M. Merci.

(Isabelle rentra chez elle et Krist retourna à l'intérieur).

Clémence : mon fils, j'ai l'impression que tu plais aussi beaucoup à cette fille.

Krist : arrĂȘte de te faire des idĂ©es et des impressions maman. Bonne nuit, je vais me coucher.

A suivre...👇👇

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# ScĂšne14

(Demain matin à 6h30mn,le docteur vient pour donner à Clémence ses premiers soins).

Docteur : comment te sens tu ce matin ?

Clémence : je me sens beaucoup mieux.

Docteur : c'est bien,vous pouvez rentrer chez vous demain.

Clémence : merci docteur.

(A ce moment, Krist entre).

Krist : bonjour docteur, comment vois allez ?

Docteur : je vais bien merci.

Krist : docteur, je voudrais vous confier la garde de ma mÚre pour la journée d'aujourd'hui parce que j'ai un travail urgent à faire.

Docteur : d'accord, je vais charger une infirmiĂšre de s'occuper d'elle.

Krist : merci docteur.

(Le docteur s'en alla et Krist s'adresse Ă  sa mĂšre).

Krist : comment tu vas maman ?

Clémence : je vais bien mon chéri.

(Peu de temps aprĂšs, l'infirmiĂšre arrive).

InfirmiĂšre : bonjour M.

Krist : bonjour infirmiĂšre. C'est vous qui ĂȘtes chargĂ© de veiller sur ma mĂšre ?

InfirmiĂšre : oui M.

Krist : ok alors faites votre travail jusqu'Ă  ce que je revienne.

InfirmiĂšre : d'accord M.

(A ce moment, Isabelle arriva)

Isabelle : bonjour maman,comment tu te sens ?

Clémence : bien ma fille.

Isabelle : M. Merci, on y va ?

Krist : oui,maman,sois sage,je t'aime.

(Il lui fait un bisou et part avec Isabelle. Quand ils sont arrivĂ©s sur le chantier,tous les travailleurs Ă©taient dĂ©jĂ  prĂȘt, ils Ă©taient une cinquantaine mais il en reste encore. Isabelle commença Ă  leur dire comment tracer les plans mais Ă  sa grande surprise, la majoritĂ© des maçons ne bougeaient pas. DĂ©passĂ©e, elle demande au garde.

Isabelle : mais pourquoi ces gens restent là sans bouger,ce sont tous des sourds ou quoi, pourquoi ils me regardent comme ça ?

Garde : je n'en sais rien madame.

Krist : moi je crois que je sais pourquoi.

Isabelle : ah bon,et pourquoi donc.

Krist : aller vient.

(Ils s'Ă©loignent un peu).

Isabelle : alors ?

Krist : peut-ĂȘtre que tu ne le sais pas Isabelle mais tu es une femme trĂšs belle et lĂ , je parie que chacun est entrain de t'imaginer dans son lit ou entrain de faire n'importe quoi avec toi.

Isabelle : (choquée) vraiment ?

(Elle prend un fer par terre et essaie de les frapper mais Krist la retient).

Krist ; non,non,non,ça ce n'est pas une bonne solution, je crois que j'en ai une meilleure.

Isabelle : alors je t'Ă©coute parce qu'il faut qu'on travaille lĂ .

Krist : oui je sais. Est-ce que t'as une casquette, une paire de lunettes et un cache nez dans ta voiture ?

Isabelle : oui y'en a,c'est pour faire quoi ?

Krist : vient je vais te montrer.

(Ils montaient dans la voiture).

Krist : porte tout ça sur toi et allons-y.

(Isabelle fait tout ce que Krist lui dit et ils reviennent devant les maçons,Krist frappe trÚs fort les mains).

Krist : eh oh,rĂ©veillez-vous les gars,le rĂȘve est terminĂ©, il y'a du travail qui nous attend.

(C'est ainsi qu'ils sont revenus Ă  eux. On pouvait entendre des murmures par ci et par lĂ  disant) :

-wahou,quelle belle femme !

-moi je donnerai tout pour l'avoir comme femme.

-mĂȘme s'il faut que je braque une banque pour pouvoir la toucher simplement, je le ferais.

-vous croyez que ce garçon est son petit ami ?

-non,un petit comme ça peut conquĂ©rir le cƓur d'une telle fille ?

-toi tu es en retard hein,l'amour n'a pas d'Ăąge.

-si j'Ă©tais son petit ami,je ferais tout ce qu'elle voudra.

-je crois que le travail sera délicieux si elle vient tous les jours.

-d'ailleurs oĂč est-elle passĂ© ?

-je crois que c'est elle qui s'est cachée le visage là.

(Un sensé pouvait réagir).

-vous allez vous taire oui,vous ĂȘtes tous des enfants ou quoi, vous ĂȘtes mariĂ©s ou pas,pourquoi vous rĂȘvez comme des jeunes insensĂ©s,mettez-vous au travail au lieu de discuter des choses inutiles.

(C'est ainsi qu'ils commencent les travaux en suivant les recommandations d'Isabelle. Certains s'occupent de creuser les fondements des murs,d'autres ceux du bĂątiments en question.

A 10h,Isabelle et Krist rentraient chez Krist. Isabelle a choisi une chambre à cÎté de celle de Krist et ils sont commencé le lavage de la chambre. AprÚs ils ont passé à l'hÎpital et Isabelle rentra chez elle.

Le mardi à 6h30mn,Isabelle aidée par Julia déménagea de chez sa grand-mÚre pour venir vivre chez Krist. Vers 09h,elle passa à l'hÎpital et ils ramenaient Clémence à la maison).

Continuer

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Prologue : Dans la pĂ©nombre de la vieille demeure Smith, le silence pesant semblait s'Ă©tendre, presque palpable. La grande table du dĂźner brillait encore des Ă©clats des couverts en argent et des verres de cristal, tĂ©moins d'une soirĂ©e ponctuĂ©e de murmures et de regards en coin. Au centre de ce tableau familial, Edward Smith, patriarche et chef de la lignĂ©e, trĂŽnait en silence, le regard sombre fixĂ© sur les visages de ses fils et petits-enfants. L'annonce de la visite inattendue de la famille Anthony avait laissĂ© un goĂ»t amer dans l'air. Cette famille dĂ©chue, autrefois proche alliĂ©e, venait rĂ©clamer l'application d'un accord de mariage ancien, comme une dette oubliĂ©e, qu'Edward espĂ©rait ne jamais voir resurgir. En observant ses petites-filles, Stellah et Stacey, qui tentaient de dĂ©fendre leur avenir, il ne pouvait s'empĂȘcher de ressentir un mĂ©lange de frustration et de dĂ©sarroi. Leur rĂ©volte Ă©tait prĂ©visible, lĂ©gitime mĂȘme, mais l'accord ancestral Ă©tait inĂ©luctable. C'est alors que la tension monta d'un cran, lorsque Richard, son fils cadet, dĂ©signa froidement Sandra, la plus jeune petite-fille, pour honorer ce mariage imposĂ©. Sandra, la fille d'Andrew, celle que tous avaient dĂ©nigrĂ©e en silence, celle dont l'existence dans la famille n'Ă©tait que tolĂ©rĂ©e. Son retour aprĂšs dix-huit ans d'absence n'avait fait qu'amplifier le mĂ©pris Ă  son Ă©gard, comme si elle reprĂ©sentait Ă  elle seule les erreurs et les hontes de la lignĂ©e. Les regards se tournĂšrent vers Sandra. Cette derniĂšre, d'un calme glacial, Ă©couta les injures et le mĂ©pris qui fusaient de toute part. Les reproches, les mots cruels de ses grands-parents et oncles pleuvaient, tentant de la rĂ©duire Ă  l'ombre qu'ils s'Ă©taient Ă©vertuĂ©s Ă  voir en elle. Mais au milieu de cette tempĂȘte, elle se leva, silencieuse, et marcha lentement vers eux. Son visage impassible cachait une dĂ©termination que nul n'avait anticipĂ©e. - Je vais Ă©pouser Levy Anthony, dĂ©clara-t-elle d'une voix implacable, coupant court Ă  toutes les protestations. L'effet fut immĂ©diat : la piĂšce entiĂšre plongea dans un silence choquĂ©. Et dans ce calme soudain, Sandra posa ses conditions, son regard dĂ©fiant la famille entiĂšre. Elle avait acceptĂ©, oui, mais elle n'Ă©tait pas sans armes. Les mots froids de Sandra firent frĂ©mir l'assemblĂ©e, rappelant Ă  chacun l'ultimatum inscrit dans l'accord ancestral : si une des petites-filles refusait de s'unir aux Anthony, la fortune des Smith s'Ă©vanouirait dans des Ɠuvres de charitĂ©, anĂ©antissant la vie de privilĂšges Ă  laquelle ils Ă©taient accrochĂ©s. Ce soir-lĂ , la maison des Smith fut tĂ©moin d'une scĂšne qui changerait le cours de son hĂ©ritage, oĂč un simple accord allait sceller les destins et rĂ©vĂ©ler l'inflexible volontĂ© d'une jeune femme longtemps rejetĂ©e, mais qui allait, contre toute attente, renverser les rĂšgles de cette famille.

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