Sa femme indésirable, son véritable amour

Sa femme indésirable, son véritable amour

Gavin

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J'étais le trophée caritatif de la famille de Martel, secrètement amoureuse de leur fils aîné, Damien. Pendant des années, il m'avait promis un avenir, une vie où je ne serais plus seulement l'orpheline qu'ils avaient recueillie pour soigner leur image. Puis, lors du dîner où je pensais qu'il allait me demander en mariage, il m'a présenté sa fiancée, une magnifique héritière de la tech. Alors que je vacillais sous le choc de ce cœur brisé, son jeune frère, Antoine, s'est glissé à mes côtés pour me réconforter. Je suis tombée amoureuse de lui, pour découvrir que je n'étais qu'un pion dans son jeu : il était secrètement amoureux de la fiancée de Damien et se servait de moi pour me tenir à l'écart d'eux. Avant même que je puisse digérer cette deuxième trahison, les parents de Martel ont annoncé qu'ils me mariaient de force à un magnat de la tech handicapé à Lyon pour sceller un autre accord commercial. Le coup de grâce est venu sur le yacht familial. Je suis tombée à l'eau avec la fiancée, et j'ai vu les deux frères – l'homme que j'avais autrefois aimé et celui qui avait prétendu m'aimer – nager droit sur elle pour la sauver, m'ignorant complètement et me laissant me noyer. À leurs yeux, je n'étais rien. Un bouche-trou, un actif commercial, et finalement, un sacrifice qu'ils étaient prêts à faire sans une seconde d'hésitation. Mais je ne suis pas morte. Alors que le jet privé m'emmenait à Lyon pour épouser un inconnu, j'ai sorti mon téléphone et j'ai effacé toute trace de la famille de Martel de ma vie. Ma nouvelle vie, quoi qu'elle me réserve, avait commencé.

Chapitre 1

J'étais le trophée caritatif de la famille de Martel, secrètement amoureuse de leur fils aîné, Damien. Pendant des années, il m'avait promis un avenir, une vie où je ne serais plus seulement l'orpheline qu'ils avaient recueillie pour soigner leur image.

Puis, lors du dîner où je pensais qu'il allait me demander en mariage, il m'a présenté sa fiancée, une magnifique héritière de la tech.

Alors que je vacillais sous le choc de ce cœur brisé, son jeune frère, Antoine, s'est glissé à mes côtés pour me réconforter. Je suis tombée amoureuse de lui, pour découvrir que je n'étais qu'un pion dans son jeu : il était secrètement amoureux de la fiancée de Damien et se servait de moi pour me tenir à l'écart d'eux.

Avant même que je puisse digérer cette deuxième trahison, les parents de Martel ont annoncé qu'ils me mariaient de force à un magnat de la tech handicapé à Lyon pour sceller un autre accord commercial.

Le coup de grâce est venu sur le yacht familial. Je suis tombée à l'eau avec la fiancée, et j'ai vu les deux frères – l'homme que j'avais autrefois aimé et celui qui avait prétendu m'aimer – nager droit sur elle pour la sauver, m'ignorant complètement et me laissant me noyer.

À leurs yeux, je n'étais rien. Un bouche-trou, un actif commercial, et finalement, un sacrifice qu'ils étaient prêts à faire sans une seconde d'hésitation.

Mais je ne suis pas morte. Alors que le jet privé m'emmenait à Lyon pour épouser un inconnu, j'ai sorti mon téléphone et j'ai effacé toute trace de la famille de Martel de ma vie. Ma nouvelle vie, quoi qu'elle me réserve, avait commencé.

Chapitre 1

Léa Colin se tenait près de la fenêtre, son cœur battant un rythme régulier et plein d'espoir contre ses côtes. La grande salle à manger de la famille de Martel était dressée pour deux ce soir. Pas pour un dîner de famille, mais pour elle et Damien. Juste eux deux.

Elle lissa sa simple robe bleue, une robe dont il avait dit un jour qu'elle était assortie à ses yeux. Pendant des années, leur amour avait été un secret, une chose volée dans une maison où elle n'était jamais que le « cas social », l'orpheline que les de Martel avaient recueillie pour la bonne presse.

Mais ce soir semblait différent. Damien avait promis une soirée spéciale, un vrai rendez-vous, une conversation sur leur avenir.

Des pas résonnèrent dans le hall de marbre. Léa se tourna, un sourire déjà sur les lèvres.

Le sourire se figea.

Damien n'était pas seul. Une femme se tenait à ses côtés, sa main glissée dans le creux de son bras. Chloé Tellier. La fille d'un PDG de la tech, belle et posée, le genre de femme qui avait sa place dans ce monde. Léa n'était qu'une invitée.

« Léa », dit Damien. Sa voix était froide, la même qu'il utilisait en conseil d'administration. « Voici Chloé. Ma fiancée. »

Le mot la frappa comme un coup de poing. Fiancée.

Léa regarda le visage indéchiffrable de Damien, puis le sourire poli et curieux de Chloé. Il y avait cependant une autre lueur dans les yeux de Chloé – une brève évaluation possessive qui disparut aussi vite qu'elle était apparue. Elle sentit la comédie commencer, celle qu'elle avait perfectionnée pendant une décennie à vivre selon les termes des de Martel. Elle lui sourit en retour.

« C'est un plaisir de vous rencontrer, Chloé. Félicitations. »

Sa voix ne trembla pas. Elle en était fière.

« Merci, Léa », dit Chloé, sa voix mielleuse. « Damien m'a tant parlé de vous. Vous êtes comme une sœur pour lui. »

Comme une sœur. Les mots étaient d'une cruauté désinvolte.

Plus tard, après que Chloé eut été conduite à une chambre d'amis, Damien retrouva Léa dans le jardin. L'air était froid, mais elle ne le sentait pas.

« Je devais le faire, Léa », dit-il, sans la regarder dans les yeux. « C'est une fusion. Des milliards d'euros. L'avenir de notre famille. »

« Et notre avenir ? » murmura-t-elle, les mots à peine audibles.

« C'est mon devoir », déclara-t-il, la mâchoire serrée. « Je pensais que toi, plus que quiconque, tu comprendrais. »

Il la voyait comme un atout, tout comme ses parents. Une partie compréhensive et pratique de la structure familiale. Pas quelqu'un qu'il aimait. Pas assez pour se battre.

« Je comprends », dit-elle, la voix creuse.

Il hocha la tête, soulagé. « Bien. Je savais que tu comprendrais. »

Il se retourna et rentra dans la chaleur de la maison, la laissant seule dans le noir. La douleur était un espace immense et vide en elle.

Elle resta dans le jardin pendant ce qui sembla être des heures, un fantôme au milieu des rosiers parfaitement taillés. Pendant des jours, elle se déplaça dans la villa des de Martel comme une âme en peine, son cœur une pierre lourde et engourdie dans sa poitrine. Elle mangeait quand on le lui disait, souriait quand on l'attendait, et mourait un peu plus chaque fois qu'elle voyait Damien et Chloé ensemble. Ils avaient l'air parfaits, un couple de pouvoir forgé par l'ambition et la richesse.

Un soir, elle se retrouva sur la terrasse, contemplant les jardins manucurés, quand une voix familière brisa le silence.

« On dirait que tu as besoin d'un ami. »

Antoine de Martel, le frère cadet, était appuyé contre l'embrasure de la porte. Il était l'esprit libre de la famille, un musicien au sourire charmeur et au rire facile qui semblait toujours mettre les gens à l'aise. Il était en tournée en Europe depuis des mois.

Il s'approcha et posa sa veste sur ses épaules. « Il fait froid ici. »

Léa tressaillit à son contact mais ne s'écarta pas.

« J'ai entendu pour Damien », dit-il doucement, sa voix pleine de sympathie. « C'est un idiot. »

Des larmes qu'elle ne s'était pas autorisée à verser brouillèrent soudain sa vision.

« J'ai toujours su qu'il ne te méritait pas », continua Antoine, son pouce caressant doucement son bras. « Je t'observe depuis des années, Léa. Je crois que je suis amoureux de toi depuis le jour où tu es arrivée. »

La confession était si inattendue qu'elle la stupéfia. Elle le regarda, son visage sincère et beau, et une minuscule et fragile graine d'espoir commença à germer dans le désert de son cœur.

Antoine ne ressemblait en rien à Damien. Il était chaleureux, attentif, et il la voyait.

Dans les semaines qui suivirent, Antoine fut son ombre. Il l'emmena faire de longues promenades en voiture, lui joua des chansons qu'il avait écrites « juste pour elle », et l'écouta pendant des heures tandis qu'elle déversait son chagrin. Il la serra dans ses bras quand elle pleurait et la fit rire quand elle pensait ne plus jamais pouvoir le faire.

Il la guérissait, lentement, prudemment.

Un soir, il l'emmena dans un petit observatoire privé qu'il avait loué. Il savait qu'elle aimait les étoiles, une passion qu'elle partageait avec son défunt père.

« Je voulais que tu voies quelque chose de beau », dit-il, son bras enroulé autour de sa taille.

Sous le vaste ciel étoilé, il l'embrassa. Ce n'était pas comme les baisers calculés et possessifs de Damien. C'était tendre, passionné, et cela semblait incroyablement réel.

« Je t'aime, Léa », murmura-t-il contre ses lèvres. « Laisse-moi t'aimer. Oublie-le. »

Et dans ce moment de faiblesse et de désir, elle se laissa le croire. Elle tomba dans ses bras, dans une relation qui ressemblait à une bouée de sauvetage. Elle était imprudente, désespérée, et elle commença à tomber amoureuse d'Antoine de Martel.

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