L'Héritage Maudit du Professeur

L'Héritage Maudit du Professeur

Gavin

5.0
avis
5
Vues
11
Chapitres

Mon père, archéologue renommé, a disparu sans laisser de trace il y a six mois, laissant derrière lui un silence assourdissant. Puis, ma mère, brillante linguiste, a cessé de parler, figée dans un mutisme total, transformant notre foyer en mausolée. Dans ce chaos, Thomas, mon petit ami et seul pilier, est devenu, après un étrange murmure de ma mère, l' ombre de lui-même, sombrant dans la folie et proférant des mots d' une langue inconnue. On l' a diagnostiqué schizophrène, sa carrière détruite, et son internement m' a laissé brisée, face au scepticisme général et au sourire énigmatique de ma mère que personne d' autre ne semblait voir. Je savais pourtant que ce n' était pas la folie, mais un secret terrifiant lié à un murmure, un secret que ma mère me cachait obstinément, mais que j' étais déterminée à percer, coûte que coûte. Alors que je cherchais des réponses auprès du Professeur Dubois, ancien mentor de mon père, une sonnerie brisa le silence: un appel inattendu de ma mère, sa voix retrouvée, paniquée, m' avertissant du danger de Dubois et de "son piège", avant que l\'appel ne se coupe brutalement. Peu après, son corps fut retrouvé en bas de l' immeuble, étiqueté comme un suicide, le même jour que la mort "accidentelle" de mon oncle maternel, Gérard, à Saint-Clément-sur-Roche, leur village natal. Mais je savais la vérité : elle avait été poussée. La police me traita comme une folle, laissant l' affaire classée. Dubois avait un alibi en béton, une emprise invisible mais mortelle. Mue par une implacable détermination, sans peur, sans alliés, je fis la promesse déchirante d' amener les cendres de ma mère à Saint-Clément-sur-Roche, non pas pour l' enterrer, mais pour déterrer la vérité et venger ma famille. Le voyage fut semé de présages, de villageois méfiants, jusqu' à ce que je me retrouve face à Dubois, maudit par un simplet du village, son sourire cruel trahissant son rôle macabre dans notre tragédie. Il m' entraîna dans la vieille maison familiale, transformée en sanctuaire sombre, où il déversa son monologue délirant sur un langage primordial, un savoir secret transmis par le sang de ma mère, et les motifs de l' assassinat de mon père, de mon oncle et d' elle-même. Mais je n' étais pas venue les mains vides : une application d' enregistrement et un traqueur GPS étaient mon bouclier, mon épée. Alors qu' il s' apprêtait à me frapper, la porte explosa, et la police, ayant tout entendu, se saisit de Dubois et de ses complices. Le cauchemar était enfin terminé. Quelques mois plus tard, la justice fut rendue, Thomas sortit doucement de son enfer, et je commençais mon propre chemin vers la paix, portant l' héritage de force et d' amour de ma famille, prête à écrire un nouveau chapitre.

Introduction

Mon père, archéologue renommé, a disparu sans laisser de trace il y a six mois, laissant derrière lui un silence assourdissant.

Puis, ma mère, brillante linguiste, a cessé de parler, figée dans un mutisme total, transformant notre foyer en mausolée.

Dans ce chaos, Thomas, mon petit ami et seul pilier, est devenu, après un étrange murmure de ma mère, l' ombre de lui-même, sombrant dans la folie et proférant des mots d' une langue inconnue.

On l' a diagnostiqué schizophrène, sa carrière détruite, et son internement m' a laissé brisée, face au scepticisme général et au sourire énigmatique de ma mère que personne d' autre ne semblait voir.

Je savais pourtant que ce n' était pas la folie, mais un secret terrifiant lié à un murmure, un secret que ma mère me cachait obstinément, mais que j' étais déterminée à percer, coûte que coûte.

Alors que je cherchais des réponses auprès du Professeur Dubois, ancien mentor de mon père, une sonnerie brisa le silence: un appel inattendu de ma mère, sa voix retrouvée, paniquée, m' avertissant du danger de Dubois et de "son piège", avant que l\'appel ne se coupe brutalement.

Peu après, son corps fut retrouvé en bas de l' immeuble, étiqueté comme un suicide, le même jour que la mort "accidentelle" de mon oncle maternel, Gérard, à Saint-Clément-sur-Roche, leur village natal.

Mais je savais la vérité : elle avait été poussée. La police me traita comme une folle, laissant l' affaire classée. Dubois avait un alibi en béton, une emprise invisible mais mortelle.

Mue par une implacable détermination, sans peur, sans alliés, je fis la promesse déchirante d' amener les cendres de ma mère à Saint-Clément-sur-Roche, non pas pour l' enterrer, mais pour déterrer la vérité et venger ma famille.

Le voyage fut semé de présages, de villageois méfiants, jusqu' à ce que je me retrouve face à Dubois, maudit par un simplet du village, son sourire cruel trahissant son rôle macabre dans notre tragédie.

Il m' entraîna dans la vieille maison familiale, transformée en sanctuaire sombre, où il déversa son monologue délirant sur un langage primordial, un savoir secret transmis par le sang de ma mère, et les motifs de l' assassinat de mon père, de mon oncle et d' elle-même.

Mais je n' étais pas venue les mains vides : une application d' enregistrement et un traqueur GPS étaient mon bouclier, mon épée.

Alors qu' il s' apprêtait à me frapper, la porte explosa, et la police, ayant tout entendu, se saisit de Dubois et de ses complices. Le cauchemar était enfin terminé.

Quelques mois plus tard, la justice fut rendue, Thomas sortit doucement de son enfer, et je commençais mon propre chemin vers la paix, portant l' héritage de force et d' amour de ma famille, prête à écrire un nouveau chapitre.

Continuer

Autres livres par Gavin

Voir plus
Chloé, l'Ombre Toxique

Chloé, l'Ombre Toxique

Romance

5.0

La soirée annuelle de Lambert Construction battait son plein, et je me tenais en retrait, observant mon mari, Jean-Luc, dans son élément, le roi de sa cour. Dans ma poche, le "Bleu de France", un timbre précieux légué par mon grand-père résistant, fragment de notre histoire et symbole de courage, me rassurait. J'étais prête à lui offrir, en secret, mes projets paysagers novateurs, prouvant ma valeur au-delà de mon rôle d'épouse discrète. Soudain, mon cœur se glaça : Jean-Luc s'approcha de Chloé, sa jeune stagiaire aux allures fragiles, et lui offrit une petite boîte. À l'intérieur, je reconnus le "Bleu de France", le même timbre que je lui avais montré, partageant l'histoire sacrée de mon grand-père. Chloé, d'un geste délibéré, planta une épingle au centre, déchirant le papier ancien, puis, feignant la maladresse, renversa du champagne dessus, souillant à jamais mon héritage. Jean-Luc me saisit, me traitant d'hystérique, balayant la valeur sentimentale du timbre, tandis qu'il consolait Chloé, sa voix pleine de tendresse pour cette manipulatrice. Ma douleur était indicible, mais sa sentence résonna : "Ce n'est qu'une vieille babiole sans valeur… une antiquité poussiéreuse d'un vieil homme qui jouait les héros." Les mots m'anéantissaient : il n'avait pas seulement détruit ma fierté, il avait souillé la mémoire de l'homme que je respectais le plus, l'accusant de "jouer les héros". Il partit avec elle, me laissant à genoux, mon héritage en ruine entre les mains, sous les regards curieux des invités. La nuit suivante, il ne rentra pas, et un appel révéla l'horrible vérité : Chloé répondait depuis son téléphone, se moquant du "timbre ridicule." Puis, la demande la plus monstrueuse : Jean-Luc, en toute arrogance, m'ordonna de donner mon sang à Chloé, prétendument malade, afin de lui sauver la vie. Il m'attendait dans le parking, sa rage explosive, ses mains brutales sur mon bras, sa gifle retentissant dans le silence, la dernière illusion de notre mariage brisée. Kidnappée, droguée dans sa Porsche, j'avais manqué ma présentation cruciale pour les "Jardins Suspendus", mon espoir d'indépendance, volé. À mon réveil à l'hôpital, le pansement sur mon bras confirma l'horreur : ils avaient pris mon sang de force. Chloé entra, radieuse, la parure de diamants que Jean-Luc m'avait refusée à son poignet, se pavanant avec une fausse sollicitude. Ma rage froide devint glaciale. Quand Jean-Luc éclata de fureur contre moi, tandis que Chloé simulait une chute pour l'accuser, mon regard tomba sur son téléphone. Il y affichait le collier que j'avais dessiné pour notre anniversaire, maintenant commandé pour Chloé avec leurs initiales entrelacées et des diamants roses. Cette dernière trahison, intime et personnelle, fut le coup de grâce : avant l'évanouissement, une résolution naquit. Il voulait la guerre, et je serai son champ de bataille, transformant mes projets volés en ses armes.

L'Amour en Faillite

L'Amour en Faillite

Moderne

5.0

Mon mari est tombé amoureux d'une stagiaire de son entreprise, Chloé. Il est parti les mains vides, me laissant la voiture, l'appartement, et tout l'argent, en échange d'un simple certificat de divorce. Il m'a dit : "Amélie, je ne peux pas trahir Chloé, et je ne veux pas te trahir non plus." J'ai juste posé une question : "Est-ce que ta Chloé a découvert aujourd'hui seulement que tu n'étais pas célibataire ?" Son regard est devenu vide, puis il a détourné les yeux. Après le divorce, il a épousé Chloé en grande pompe, diffusant même la cérémonie en direct. Sur internet, j'étais dépeinte comme l'opportuniste, l'héroïne "difficile", tandis que Chloé était la victime innocente. Les gens disaient que l'amour triomphait toujours, et que je méritais mon sort. Je n'ai pas pleuré. J'ai souri. J'ai envoyé un cadeau à leur mariage : quatre-vingt-dix-neuf couronnes mortuaires, la première souhaitant l'infertilité, la seconde une descendance nombreuse. Sept ans plus tard, lors d'une exposition d'art, je l'ai revu. Il était là avec Chloé, qui m'a dépeinte comme une "vieille peau" essayant de récupérer son mari. Ma fille, Petite, s'est alors manifestée : "Maman, qui sont-ils ?" Marc a compris que Petite était son enfant, mais Chloé a hurlé : "Un enfant ?! Tu as secrètement eu un enfant ! Tu veux utiliser cet enfant pour reprendre Marc, n'est-ce pas ?" Elle a appelé la sécurité pour me jeter dehors. "Madame Dubois ?!" L'agent de sécurité m'a regardée, respectueusement. Oui, Dubois était mon nom d'artiste, et j'étais la propriétaire de la galerie. J'ai demandé : "Jetez-les dehors."

Trahison Amoureuse, Vengeance Numérique

Trahison Amoureuse, Vengeance Numérique

Moderne

5.0

J'étais Jeanne Dubois, ingénieure de génie, et avec ma meilleure amie Clara, nous avions tout donné, pendant trois ans, aux frères Marc et Paul Bernard pour bâtir leur empire technologique. Nous étions le cerveau derrière le succès de "Prometheus" , leur projet révolutionnaire. Puis vint le jour du lancement, l'apogée de leurs ambitions. Au lieu de la gratitude, Marc, l'homme que je pensais aimer, nous annonça froidement, Clara et moi, que nous n'étions "pas faites pour diriger" et qu'ils prenaient le contrôle total. Paul exigea nos parts et les codes finaux. Sophie Martin, une influenceuse qu'ils présentaient comme leur nouvelle "consultante en image" , m'adressa un sourire triomphant, me humiliant davantage. Ils nous accusèrent d'incompétence et mirent Léa, notre stagiaire innocente, dans l'embarras en attribuant son projet à Sophie pour la couvrir de gloire. Chaque instant de notre dévouement fut balayé par leur mépris, leur avidité et leur trahison manifeste. La douleur de cette double trahison, amoureuse et professionnelle, était insoutenable. Pourquoi tant de cruauté ? Pourquoi nous jeter comme de vulgaires outils après avoir bâti leur fortune ? Leur arrogance était sans limites, leur ingratitude abyssale. Mais la vengeance est un plat qui se mange froid. Face à leur suffisance, je feignis la défaite. "Je vous donnerai tout ce que vous voulez," murmurai-je, tandis que Clara, mon Phoenix, se préparait à renaître de ses cendres. Ils venaient de signer leur arrêt de mort numérique.

Inspirés de vos vus

Aime-Moi, Hais-Moi

Aime-Moi, Hais-Moi

PR
5.0

Une année auparavant, Eleonora et Quentin convolèrent en justes noces. Ce mariage, qui n'aura duré qu'un an et trois mois, a été pour elle un véritable supplice. L'année suivante, heureusement pour elle, ils divorcèrent. Cependant, elle fut tournée en ridicule dans toute la ville. Elle savait qu'elle faisait office d'objet de vengeance pour une faute présumée commise par son père à l'égard de son ex-a belle-famille. Elle devait en payer les frais par son corps. Lorsque l'accord de divorce fut signé, elle avait cru pouvoir prendre un nouveau départ ; hélas ! Elle devait continuer à souffrir le martyre et assouvir les fantasmes de son ex-mari, qui pourtant eût scellé une autre union seulement deux jours après leur divorce. Quelques temps après, elle fut recrutée par l'une des entreprises dans lesquelles elle avait déposé ses dossiers. Mais contre toute attente, elle eut Quentin comme collègue de travail. Ils devaient alors collaborer régulièrement. Eleonora pensait qu'il la haïssait toujours. Mais elle aura réalisé plus tard qu'il était tout sauf cet être rempli de haine à son égard. C'est ce qu'elle avait toujours perçu en lui, et que lui-même d'ailleurs la laissait voir. Quentin lui disait ouvertement qu'il la détestait. Pourtant certains actes qu'il aura posés envers elle, en témoignaient totalement le contraire : il l'épaulait, l'aidait dans l'accomplissement de son travail, et était plutôt attentionné à son égard.. S'il était vrai qu'au fond il n'avait que de l'aversion pour elle tel qu'il le faisait croire, pourquoi aura-t-il démontré à son égard tant d'affection ? Au fil des jours, Eleonora s'éprit de lui, et renonça à garder ses distances ; mais lui, l'aimerait-il sincèrement en retour ?

Chapitres
Lire maintenant
Télécharger le livre