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Mes mains étaient brisées, et l'odeur du sang se mêlait à l'air salin de Marseille. Dans l'obscurité d'une ruelle, la voix claire et glaciale de celle que j'aimais résonnait dans un téléphone : « Léo, mon cher Léo. Tu n'étais qu'un obstacle. » Chloé, ma muse, celle avec qui j'avais créé "L'Âme de Duval", mon chef-d'œuvre, me condamnait à mort pour les ambitions de son empire et les caprices de son cousin Antoine. Leurs mots résonnaient : mon talent salué, mon amour bafoué, ma vie sacrifiée pour une alliance avec des investisseurs russes et le contrôle de la Maison Duval. J'ai senti la lame. La douleur fut brève, avant le grand noir. "Si seulement j'avais une autre chance," fut ma dernière pensée, "je la détruirais d'abord." Et puis, dans le doux parfum de tubéreuse et de jasmin, au cœur de la chambre de Chloé, mes yeux se sont rouverts. Mes mains étaient intactes. J'étais revenu. À la nuit fatidique, celle où je créerais le parfum de ma mort. Cette fois, le jeu venait de commencer, et ce ne serait plus moi, le pion, mais elle, la cible.
Mes mains étaient brisées, et l'odeur du sang se mêlait à l'air salin de Marseille.
Dans l'obscurité d'une ruelle, la voix claire et glaciale de celle que j'aimais résonnait dans un téléphone : « Léo, mon cher Léo. Tu n'étais qu'un obstacle. »
Chloé, ma muse, celle avec qui j'avais créé "L'Âme de Duval", mon chef-d'œuvre, me condamnait à mort pour les ambitions de son empire et les caprices de son cousin Antoine.
Leurs mots résonnaient : mon talent salué, mon amour bafoué, ma vie sacrifiée pour une alliance avec des investisseurs russes et le contrôle de la Maison Duval.
J'ai senti la lame.
La douleur fut brève, avant le grand noir.
"Si seulement j'avais une autre chance," fut ma dernière pensée, "je la détruirais d'abord."
Et puis, dans le doux parfum de tubéreuse et de jasmin, au cœur de la chambre de Chloé, mes yeux se sont rouverts.
Mes mains étaient intactes.
J'étais revenu.
À la nuit fatidique, celle où je créerais le parfum de ma mort.
Cette fois, le jeu venait de commencer, et ce ne serait plus moi, le pion, mais elle, la cible.
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Xuanhuan
La douleur était la dernière chose dont je me souvenais, une douleur si intense qu' elle déchirait mon âme. Ligotée sur une chaise en fer dans le froid mordant du désert barbare, mes poignets et mes chevilles à vif, je me mourais. Mon propre fiancé, Louis, m' avait trahie. Mon frère, Henri, avait murmuré que c' était pour Sophie, ma propre assistante, avant de me livrer à cette fin horrible. J' avais été envoyée ici en mariage forcé, un sacrifice "politique" masquant une sordide vengeance. Mon crime ? Avoir modestement réprimandé Sophie le jour de mon anniversaire pour avoir volé ma robe impériale et s' être pavanée avec. J' avais crié de rage, j' avais supplié qu' ils me sauvent, mais leurs rires cruels résonnaient comme le glas de ma mort. Tout le monde me dénigrait, m' accusait d' être capricieuse. Jusqu' à mon dernier souffle, une pensée brûlait en moi : si seulement je pouvais revenir en arrière, je ne leur montrerais aucune pitié. L' obscurité m' a engloutie. Puis, une lumière. J' ai ouvert les yeux pour me retrouver dans le grand salon de mon palais, ma peau intacte, vêtue d' une simple robe en soie. Une servante s' est inclinée : « Joyeux anniversaire, Votre Altesse. » C\'était le jour même. Le jour où tout avait basculé. Je n' avais pas rêvé de ma mort ; c' était un avertissement. Une seconde chance. Alors, quand j' ai vu Sophie, au centre de la pièce, danser sous le lustre en cristal, portant MA robe impériale, le même sourire triomphant sur ses lèvres, la rage qui montait en moi était froide, précise, mortelle. Cette fois, elle n' allait pas s' en tirer.
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Nouvelle
La tête me lançait, le soleil aveuglait mes yeux, et l' odeur de renfermé ne m' était que trop familière. Ce n' était pas ma chambre luxueuse, mais celle de mon adolescence, dix ans en arrière. Mes mains tremblaient en lisant la date du réveil : le 15 juin, le jour de mes 18 ans. Les souvenirs de la veille de mon mariage me percutèrent comme un train : Chloé, ma sœur jumelle, sussurrant à Lucas, mon fiancé, « Lucas, chéri, tu es sûr que tu veux vraiment l' épouser demain ? C' est moi que tu veux. » Le silence de Lucas fut un poignard. Le bruit du plateau de champagne brisé les fit sursauter, et je m' enfuis dans la nuit pluvieuse. Puis, une douleur fulgurante, le noir. J' étais morte. J' en étais certaine. Mais me voilà revenue, dix ans plus tôt, pour affronter la même trahison. La porte s' ouvrit, et Chloé apparut, souriante, son sac à dos sur l' épaule. « Manon ! Tu es enfin réveillée ! Joyeux anniversaire ! » Elle s' attendait à mes larmes, mes supplications, comme la dernière fois où je l' avais suppliée de ne pas partir, inquiète pour ma "fragile" sœur qui reviendrait deux ans plus tard, auréolée d' une fausse histoire d' enlèvement. Cette fois, mon visage resta vide. J' avais vu la perfidie derrière son sourire, la jalousie qui la rongeait. « D' accord, » dis-je d' une voix calme, la surprenant. « Quoi ? C' est tout ? Tu ne vas pas essayer de me retenir ? » « Pourquoi je ferais ça ? C' est ta vie. Fais ce que tu veux. » Elle hésita, puis haussa les épaules, essayant de paraître détachée. « Bon, euh… très bien. Je suppose que c' est plus simple comme ça. » Elle attrapa son sac. « Alors… au revoir, sœurette. » « Au revoir, Chloé, » répondis-je froidement. Je ne la retins pas. Cette fois, je ne la sauverais pas. Je la laisserais marcher vers son destin, bien moins glorieux que celui qu' elle avait inventé. Et moi ? J' allais vivre. Vraiment vivre. Et me venger.
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Moderne
Le jour du divorce de mes parents, dans le bureau de l'avocat, ma sœur Chloé a orchestré une scène déchirante, se jetant dans les bras de notre père pour choisir sa nouvelle vie de luxe. Dans mon existence précédente, j'avais fait exactement le même choix, pensant échapper à la pauvreté avec eux. Mais cette quête de la richesse n'avait été qu'un long calvaire de solitude et d'humiliations à leurs côtés. Pire encore, Chloé, dévorée par une jalousie insoutenable en voyant ma façade "parfaite", m'avait assassinée d'un couteau dans le dos, juste après mon admission dans la plus prestigieuse Grande École de France. Je me suis éteinte, sans comprendre pourquoi ma propre sœur avait pu commettre un tel acte de trahison. Puis, j'ai rouvert les yeux. Je n'étais pas morte. J'étais de retour dans ce même bureau, des années en arrière, face à ce choix qui avait scellé ma destruction. Cette fois, Chloé, dans son arrogance, pensait choisir la fortune, ignorant qu'elle allait elle-même vers l'enfer que j'avais déjà connu et que j'avais vécu. Mon regard s'est posé sur ma mère, celle que j'avais abandonnée, son visage marqué mais empli de douceur. La seule chaleur que j'aie jamais vraiment ressentie. Ma voix, calme et déterminée, a brisé le silence : « Je reste avec Maman. » Ce jour-là, ma vengeance a commencé. Et cette fois, j'avais toutes les cartes en main.
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Romance
Dans mon ancienne vie, Bastien, mon fiancé, et mon frère, Hugo, étaient mon univers, les piliers inébranlables de mon existence. Puis, Clara est arrivée – une fille aux larmes faciles, sans histoire – et en un clin d' œil, elle a tout volé. Mon fiancé a rompu nos fiançailles, mon frère a brisé sa promesse de me protéger. Tous deux se sont tournés vers elle, me traitant comme une intruse. J'ai été publiquement humiliée, bousculée, accusée de jalousie. Ils ont permis qu'elle vole la formule de parfum inachevée de ma mère, mon héritage le plus précieux. Pire encore : la montre Cartier de ma mère, celle qu'elle m'avait léguée et que j'ai vue à son poignet, Bastien l'a brisée sous mes yeux. Et Hugo voulait donner le refuge de ma mère à cette usurpatrice. Leur trahison a dépassé l'entendement. Ce jour-là, au fond de cet abîme de douleur, j'ai réalisé que l'amour que je leur portais était mort. Et, étrangement, la haine aussi. Il ne restait qu'un vide glacial. Comment des êtres que j'avais tant aimés ont-ils pu me dénier mon existence même, me traiter en ennemie pour une étrangère? Alors, j' ai décidé de disparaître. J' ai mis le feu à notre appartement parisien, à tous nos souvenirs, laissant des indices pour qu' on me croie morte dans les flammes. C'était la seule façon de renaître de mes cendres, loin d'eux, sous un nouveau nom, Léa Martin. Mais ce qu'ils ont ignoré, c'est que cette mort n'était que le début de ma véritable vie, et la leur, celle d'un remords sans fin.
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Moderne
Je suis rentrée à Paris après cinq ans passés loin de tout, sans prévenir âme qui vive, une anxiété sourde au cœur concernant le silence inhabituel de ma mère et de ma sœur. À peine sortie de l'aéroport, un vieil ami, débordant d'enthousiasme, m'a happée par le bras pour m'entraîner à un vernissage chic dans le Marais. Mais cette soirée mondaine s'est transformée en un cauchemar public et abject. Sur des écrans géants, en plein centre de la galerie, défilaient les images intimes, les moments les plus privés de ma propre sœur, Chloé, que son ex-petit ami, Victor Martin, vendait aux enchères avec une arrogance insupportable. Mon sang s'est glacé. Chloé était là, livide, le corps tremblant, contrainte d'assister à sa propre mise à nu devant une foule ricanante. L'humiliation s'est intensifiée lorsque la nouvelle compagne de Victor l'a publiquement moquée sur sa prétendue pauvreté et pire encore, sur le mensonge odieux de son illégitimité. Au même instant, un rapport de mon assistant révélait la trahison de notre père : il avait dilapidé la fortune familiale, interné notre mère sous un faux diagnostic et laissé ma sœur sans le sou. Une rage froide et pure a embrasé mon être. Mon père, cet homme que j'avais cru loyal, avait non seulement trahi notre mère, mais il avait aussi renié sa propre fille pour couvrir ses ignominies. Chloé, anéantie, les épaules affaissées, murmurait à peine audiblement, dans un acte de pur désespoir et de défi absurde : "Alors... je vais acheter la galerie." La scène était insoutenable, le désespoir palpable. Mais alors que l'abîme s'ouvrait sous ses pieds, mon assistant m'a rejointe, discrètement, lui tendant ma carte American Express Centurion noire et lui murmurant les mots précis que j'avais dits. Le regard de Chloé a changé. Son visage, vidé d'émotion, s'est durci d'une nouvelle détermination. Elle s'est avancée, et d'une voix claire et forte qui a surpris tout le monde, elle a annoncé : "Je n'achète pas la galerie. C'est inutile. Puisqu'elle appartient déjà à ma sœur." Et c'est à ce moment-là que je suis enfin sortie de l'ombre.
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Moderne
Le jour des 18 ans de ma fille Chloé, depuis ma clinique privée en Suisse, j'ai ouvert Instagram pour voir si mon mari avait posté une photo d'elle. Il l'avait fait, mais au centre de la photo trônait une inconnue dans une robe haute couture que j'avais dessinée pour Chloé. Mon doigt a tremblé en zoomant sur l'arrière-plan d'une autre photo : ma Chloé, à genoux, nettoyant une tache sur le tapis, son corps épaissi, ses yeux vides, humiliée en uniforme de service. En dessous, une légende révélait que cette usurpatrice, Manon, célébrait ses 18 ans, remerciant sa "mère", une femme que je n'avais jamais vue, qui posait fièrement dans mon salon. Le téléphone a failli me glisser des mains. L'analyse des vidéos de surveillance allait révéler qu'ils l'avaient enfermée, insultée, et que Luc, mon mari, était complice de ces humiliations, répondant aux avertissements du proviseur de ne pas s'en mêler. Puis le laboratoire a confirmé : le lait et les pâtisseries qu'on lui forçait à manger contenaient un stéroïde, un poison lent pour la détruire physiquement. Qui sont-ils pour oser un tel degré de cruauté et de trahison ? Pourquoi s'en sont-ils pris à ma fille avec une telle violence délibérée ? Mon cœur de mère s' est brisé, mais ma colère est devenue une force froide et pure, une promesse de justice. Je suis Amélie Dubois, et le monde entier va découvrir qui est la véritable héritière de cette maison et de cet empire. Je leur ferai payer chaque larme de ma fille.
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Il n'y avait qu'un seul homme dans le cœur de Raegan, et c'était Mitchel. Dans la deuxième année de leur mariage, elle est tombée enceinte. La joie de Raegan était sans limites. Mais avant qu'elle puisse annoncer la nouvelle à son mari, il lui a remis les papiers de divorce car il voulait épouser son premier amour. Après un accident, Raegan gisait dans une mare de son propre sang et appelait Mitchel à l'aide. Malheureusement, il est parti avec son premier amour dans ses bras. Raegan a échappé à la mort de justesse. Par la suite, elle a décidé de reprendre sa vie en main. Son nom était partout quelques années plus tard. Mitchel est devenu très mal à l'aise. Pour une raison quelconque, elle a commencé à lui manquer. Son cœur se serrait lorsqu'il la voyait tout sourire avec un autre homme. Il a fait irruption à son mariage et est tombé à genoux pendant qu'elle était à l'autel. Avec des yeux injectés de sang, il a demandé : « Tu m'as dit que ton amour pour moi était inébranlable, non ? Comment se fait-il que tu te maries avec quelqu'un d'autre ? Donne-moi une autre chance, s'il te plaît ! »
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Le soir de mes noces, j'ai fait un serment à Léo Gallo, l'homme le plus redouté de Lyon. « Si jamais tu me trahis, » ai-je murmuré, « je disparaîtrai de ta vie comme si je n'avais jamais existé. » Il a ri, pensant que c'était une promesse romantique. C'était un serment. Trois ans plus tard, j'ai découvert sa trahison. Ce n'était pas une simple liaison ; c'était une humiliation publique. Sa maîtresse, Eva, m'a envoyé des photos d'elle dans mes lieux, portant les bijoux qu'il m'avait offerts, me narguant de sa présence dans ma vie. Et Léo la laissait faire. Le coup de grâce est tombé dans notre villa de Saint-Tropez. Je les ai vus ensemble, Léo et une Eva triomphante et enceinte, devant son cercle rapproché. Il la choisissait, elle, sa maîtresse enceinte, plutôt que sa femme blessée, exigeant que je m'excuse de l'avoir contrariée. Dans ma propre maison, j'étais un obstacle. Dans mon propre mariage, j'étais un accessoire. L'amour auquel je m'étais accrochée pendant des années a finalement rendu l'âme. Les SMS d'Eva ont tout confirmé, y compris la photo d'une échographie avec la légende « Notre bébé », et une autre d'elle portant le collier qu'il avait nommé « L'Aube de Maïa ». Alors, le lendemain de notre fête d'anniversaire, j'ai mis mon plan à exécution. J'ai liquidé mes actifs, fait raser le jardin qu'il avait planté pour moi et lui ai fait signifier les papiers du divorce. Puis, avec une nouvelle identité, je suis sortie par la porte de service et j'ai disparu dans la ville, laissant l'homme qui avait brisé ses vœux face aux décombres de la vie qu'il avait détruite.
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L'argent peut-il tout acheter, y compris l'amour ? Edan O'Connor, millionnaire, héritier d'une importante société d'investissement, promet à son père de se marier devant lui sur son lit de mort, pour accomplir sa dernière volonté, à un détail près, son père ne tolère pas sa petite amie Vivian. Edan décide donc d'engager une fille pour se faire passer pour sa nouvelle épouse et simuler un faux mariage devant son père. À l'hôpital, Edan rencontre Alma Contreras, une jeune femme belle et humble, dont la mère est hospitalisée et doit subir une intervention chirurgicale qu'elle n'a pas les moyens de s'offrir. Edan lui propose un marché : il paiera tous les frais médicaux de sa mère si elle se fait passer pour sa petite amie pendant quelques jours et si elle accepte de se marier. Désespérée et dans le besoin, Alma accepte. Mais il y a deux détails : soudain, ce qui devait être un faux mariage devient un vrai mariage, et grâce à une opération de dernière minute, le père d'Edan est sauvé, ce qui change complètement le cours de son contrat. Que se passera-t-il lorsque, au milieu de la représentation, des sentiments réels commenceront à s'éveiller entre Alma et Edan ? Comment Vivian, la vraie petite amie d'Edan, une femme pédante et toxique, prendra-t-elle le fait que son petit ami a épousé une autre femme ? L'amour pourra-t-il surmonter les barrières de l'argent et de la classe sociale ?
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Luna, jeune femme noble d'une meute, a toujours été promise à un mariage contractuel avec un Alpha, une tradition qui la lie à un avenir sans choix. Depuis son enfance, elle a été façonnée pour être la partenaire parfaite, réprimant ses désirs et ses rêves pour répondre aux attentes de son clan. Mais la veille de son mariage, la trahison d'un homme qu'elle croyait être son destin la plonge dans un tourbillon de doutes. Son futur époux, celui qu'elle pensait être le seul choix possible, la remplace par une autre, détruisant son monde en un instant. Brisée, mais déterminée à se libérer, Luna fuit la meute et se lance dans une quête pour retrouver son pouvoir et se reconstruire. Mais sa route est semée d'embûches : l'Alpha et sa meute la poursuivent pour éviter que son départ n'affaiblisse leur autorité. En chemin, elle rencontre d'autres âmes perdues, comme elle, fuyant des systèmes oppressants. Avec chaque épreuve, Luna devient plus forte, plus révoltée, et découvre de nouveaux alliés, dont un mystérieux étranger aux intentions obscures. Dans un affrontement décisif avec l'Alpha, Luna doit choisir entre l'amour, la vengeance et la liberté. Cette confrontation ultime, où elle se révèle enfin, la transforme en une femme puissante, prête à affronter son destin. Libérée des chaînes de son passé, Luna se retrouve à la croisée des chemins.
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Les heures ensoleillées faisaient scintiller leur affection, tandis que les nuits au clair de lune enflammaient un désir imprudent. Mais lorsque Brandon a appris que sa bien-aimée n'en avait peut-être plus que pour six mois à vivre, il a froidement remis à Millie les papiers du divorce, murmurant : « C'est juste pour sauver les apparences, nous nous remarierons une fois qu'elle se sera calmée. » Millie, le dos droit et les joues sèches, a senti un vide dans son cœur. La séparation fictive est devenue définitive. Elle a discrètement mis fin à sa grossesse et s'est lancée dans une nouvelle vie. Mais Brandon s'est effondré, sa voiture dévalant la rue, refusant de laisser partir la femme qu'il avait rejetée, la suppliant de se retourner ne serait-ce qu'une seule fois.
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Madisyn a découvert avec stupeur qu'elle n'était pas l'enfant biologique de ses parents. À cause des manigances de la vraie fille, elle a été mise à la porte et est devenue la risée de tous. Alors qu'on la croyait issue d'une famille de paysans, Madisyn a découvert que son vrai père était l'homme le plus riche de la ville et que ses frères étaient des personnalités renommées dans leur domaine respectif. Ils la couvraient d'amour, avant d'apprendre que Madisyn avait sa propre entreprise florissante. « Arrêtez de me harceler », lui a dit son ex. « Mon cœur n'appartient qu'à Jenna. » « Comment oses-tu penser que ma femme a des sentiments pour toi ? », a affirmé un mystérieux gros bonnet.


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