Mon cinquième anniversaire de mariage. La table était dressée, les bougies scintillaient, mais la chaise en face de moi restait désespérément vide. Julien, mon mari, n'est pas là. Encore. Son appel : "Un ami est en pleine crise, je ne peux pas le laisser seul." Mais un bruit dans la salle de bain des invités me fait tout comprendre. Sa voix, douce et murmurante, s' adresse à son éternelle protégée, Chloé, organisant tous les détails du soi-disant "anniversaire de la mort de ses parents"... qui n' est autre que le jour de nos noces. La robe de haute couture que je croyais destinée à notre célébration ? Elle était pour elle. L' humiliation n' est plus une simple négligence ; c' est un choix délibéré de m' effacer. Puis, au milieu de la nuit, le coup de grâce : Chloé poste une photo d'eux sur Instagram, un cliché intime où elle l'enlace, avec une légende provocante. Mon commentaire furieux est censuré. Alors, dans un éclair de rage froide, je repost la capture d'écran avec ma propre sentence : "Je vous souhaite d'être heureux. Pour nous, c'est terminé." Julien vole au secours de son image, pas de notre amour, hurlant : "Tu es folle ! Tu as ruiné ma réputation !" Aucun remords dans ses yeux, juste la panique de voir son monde s' effondrer. Comment peut-il insister sur la fragilité de Chloé et son "besoin" de lui, ignorant la ruine de cinq années de ma vie ? Que m'a-t-il fait, à moi ? Mon cœur, pourtant brisé, ne réclame plus de pitié, mais une justice cinglante. Alors, d'une voix calme mais définitive, le claquement de ma valise résonnant comme un verdict, je lui réponds : "Je sais. C'est pour ça que je te la laisse." Cette nuit-là, je prends un taxi pour l'aéroport, laissant derrière moi non pas la femme abandonnée, mais la reine qui se relève, prête à reconquérir sa vie.
Mon cinquième anniversaire de mariage. La table était dressée, les bougies scintillaient, mais la chaise en face de moi restait désespérément vide.
Julien, mon mari, n'est pas là. Encore. Son appel : "Un ami est en pleine crise, je ne peux pas le laisser seul." Mais un bruit dans la salle de bain des invités me fait tout comprendre. Sa voix, douce et murmurante, s' adresse à son éternelle protégée, Chloé, organisant tous les détails du soi-disant "anniversaire de la mort de ses parents"... qui n' est autre que le jour de nos noces. La robe de haute couture que je croyais destinée à notre célébration ? Elle était pour elle.
L' humiliation n' est plus une simple négligence ; c' est un choix délibéré de m' effacer. Puis, au milieu de la nuit, le coup de grâce : Chloé poste une photo d'eux sur Instagram, un cliché intime où elle l'enlace, avec une légende provocante. Mon commentaire furieux est censuré. Alors, dans un éclair de rage froide, je repost la capture d'écran avec ma propre sentence : "Je vous souhaite d'être heureux. Pour nous, c'est terminé." Julien vole au secours de son image, pas de notre amour, hurlant : "Tu es folle ! Tu as ruiné ma réputation !"
Aucun remords dans ses yeux, juste la panique de voir son monde s' effondrer. Comment peut-il insister sur la fragilité de Chloé et son "besoin" de lui, ignorant la ruine de cinq années de ma vie ? Que m'a-t-il fait, à moi ? Mon cœur, pourtant brisé, ne réclame plus de pitié, mais une justice cinglante.
Alors, d'une voix calme mais définitive, le claquement de ma valise résonnant comme un verdict, je lui réponds : "Je sais. C'est pour ça que je te la laisse." Cette nuit-là, je prends un taxi pour l'aéroport, laissant derrière moi non pas la femme abandonnée, mais la reine qui se relève, prête à reconquérir sa vie.
Introduction
Ce jour16:31
Chapitre 1
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Chapitre 2
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Chapitre 3
Ce jour16:31
Chapitre 4
Ce jour16:31
Chapitre 5
Ce jour16:31
Chapitre 6
Ce jour16:31
Chapitre 7
Ce jour16:31
Chapitre 8
Ce jour16:31
Chapitre 9
Ce jour16:31
Chapitre 10
Ce jour16:31
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