Enseignante d'histoire à la retraite, Amélie Dubois vivait une vie paisible et confortable dans sa bastide provençale, riche de souvenirs et de générosité envers sa famille. Elle adorait sa petite-fille Manon et soutenait sans compter sa fille Chloé, pensant à leur avenir. Un jour, Chloé glissa discrètement trois mille euros dans son sac. Amélie, touchée mais n'en ayant pas besoin, prévoyait de les lui rendre. Mais à peine rentrée, son téléphone sonna : son gendre, Antoine, l'accusa violemment de leur avoir « volé » cet argent, la couvrant d'insultes. Le calvaire commença : Antoine la harcela d'appels injurieux, tandis que Chloé, sa propre fille, l'obligeait à rendre l'argent pour la « paix du ménage », la trahissant. L'humiliation devint publique : Antoine l'insulta d'« avare » devant ses amies, réclamant toujours plus. La situation dégénéra : durant un tournage télévisé, Chloé l'agressa physiquement, la blessant, puis Antoine, odieux, la menaça pour son héritage. Le paroxysme fut atteint quand le couple exigea la vente de tous ses biens. Pire encore, face au grave malaise cardiaque de son mari Jean-Pierre, Antoine la força à signer des documents et à vider ses comptes, retenant l'appel aux secours. Comment sa propre fille, pour qui elle avait tant sacrifié, pouvait-elle être complice d'une telle abomination ? La terreur face à la vie de Jean-Pierre se mua en un sentiment d'injustice brûlant, une rage froide et inébranlable. Leur avidité était-elle vraiment sans limite ? Ce qu'ils ignoraient, c'est qu'une discrète caméra de surveillance avait tout enregistré, faisant de cette scène horrible la preuve irréfutable de leur crime. Amélie, le cœur brisé mais l'esprit clair, savait désormais qu'elle ne serait plus jamais une victime : elle allait se battre, coûte que coûte, pour la justice.
Enseignante d'histoire à la retraite, Amélie Dubois vivait une vie paisible et confortable dans sa bastide provençale, riche de souvenirs et de générosité envers sa famille.
Elle adorait sa petite-fille Manon et soutenait sans compter sa fille Chloé, pensant à leur avenir.
Un jour, Chloé glissa discrètement trois mille euros dans son sac.
Amélie, touchée mais n'en ayant pas besoin, prévoyait de les lui rendre.
Mais à peine rentrée, son téléphone sonna : son gendre, Antoine, l'accusa violemment de leur avoir « volé » cet argent, la couvrant d'insultes.
Le calvaire commença : Antoine la harcela d'appels injurieux, tandis que Chloé, sa propre fille, l'obligeait à rendre l'argent pour la « paix du ménage », la trahissant.
L'humiliation devint publique : Antoine l'insulta d'« avare » devant ses amies, réclamant toujours plus.
La situation dégénéra : durant un tournage télévisé, Chloé l'agressa physiquement, la blessant, puis Antoine, odieux, la menaça pour son héritage.
Le paroxysme fut atteint quand le couple exigea la vente de tous ses biens.
Pire encore, face au grave malaise cardiaque de son mari Jean-Pierre, Antoine la força à signer des documents et à vider ses comptes, retenant l'appel aux secours.
Comment sa propre fille, pour qui elle avait tant sacrifié, pouvait-elle être complice d'une telle abomination ?
La terreur face à la vie de Jean-Pierre se mua en un sentiment d'injustice brûlant, une rage froide et inébranlable.
Leur avidité était-elle vraiment sans limite ?
Ce qu'ils ignoraient, c'est qu'une discrète caméra de surveillance avait tout enregistré, faisant de cette scène horrible la preuve irréfutable de leur crime.
Amélie, le cœur brisé mais l'esprit clair, savait désormais qu'elle ne serait plus jamais une victime : elle allait se battre, coûte que coûte, pour la justice.
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