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Prisonnière de l'Héritier Interdit

Prisonnière de l'Héritier Interdit

Nicole95

5.0
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Lorsque Lina Morel, une jeune femme indépendante au passé difficile, décroche un emploi de rêve en tant qu'assistante personnelle d'un héritier puissant, elle pense enfin avoir trouvé une stabilité. Mais elle ne se doute pas que ce travail va l'enchaîner bien plus qu'elle ne l'imagine. Son employeur, Adrian Deveraux, est un homme aussi séduisant qu'énigmatique, dernier héritier d'une dynastie aussi influente que controversée. Tout le monde murmure sur la malédiction qui pèse sur sa famille et les sombres secrets qui les entourent. Lorsque Lina découvre malgré elle un indice compromettant sur le passé des Deveraux, elle devient une cible. Impossible de s'échapper : Adrian la garde sous sa protection... ou sa captivité ? Coincée entre danger, attraction interdite et révélations troublantes, Lina doit choisir : faire confiance à Adrian et plonger dans les ténèbres de son monde ou tout risquer pour fuir... au péril de sa vie et de son cœur.

Chapitre 1 Chapitre 1 - L'Invitation Inattendue

La pluie tambourinait contre les vitres du café, un murmure incessant qui rythmait l'après-midi de Lina Morel. Assise près de la fenêtre, elle feuilletait nerveusement les pages de son carnet, ses doigts jouant distraitement avec le rebord de sa tasse de café. Le monde extérieur lui paraissait flou, noyé par l'averse et les reflets des lumières de la ville.

Son téléphone vibra sur la table. Un message.

"Rendez-vous demain à 9h, 17 rue Saint-Honoré. Ne soyez pas en retard. – A. Deveraux"

Lina fixa l'écran, son cœur manquant un battement. Adrian Deveraux.

Ce nom était synonyme de richesse, de mystère et de scandale. Héritier de l'empire Deveraux, une famille aussi influente que controversée, il était réputé pour son charisme glacial et sa fortune incommensurable. Pourtant, ce qui rendait cette convocation étrange, c'était qu'elle n'avait jamais postulé pour un emploi auprès de lui.

Elle hésita à répondre, mais l'envie d'en savoir plus l'emporta. Elle tapa rapidement :

"D'accord. Pouvez-vous me préciser la nature de ce rendez-vous ?"

Pas de réponse. Juste ce silence oppressant qui s'étirait, lui laissant une sensation d'appréhension au creux du ventre.

Elle rangea son carnet et son téléphone, paya son café et sortit sous la pluie battante, le regard levé vers l'imposante silhouette des immeubles parisiens. Une impression de malaise lui étreignait la poitrine. Pourquoi Adrian Deveraux voulait-il la voir ?

Elle le découvrirait bien assez tôt.

Le lendemain matin, Lina se tenait devant une immense porte en bois sculpté, hésitante. 17 rue Saint-Honoré.

Le bâtiment, un hôtel particulier datant du XIXe siècle, dégageait une aura de grandeur et de mystère. Le perron était vide, hormis une caméra de surveillance braquée sur elle.

Elle inspira profondément et sonna.

Presque aussitôt, la porte s'ouvrit sur un majordome aux traits impassibles.

- Mademoiselle Morel ?

- Oui, répondit-elle d'une voix plus assurée qu'elle ne le ressentait.

- Monsieur Deveraux vous attend. Suivez-moi.

Elle entra, retenant son souffle. L'intérieur était encore plus impressionnant que l'extérieur : hauts plafonds ornés de moulures, lustres scintillants, escaliers de marbre. Pourtant, malgré la splendeur, une atmosphère pesante planait.

Le majordome la guida à travers un couloir jusqu'à une porte en bois sombre.

- Monsieur Deveraux vous recevra ici.

Il ouvrit la porte et s'effaça pour la laisser entrer.

Lina avança prudemment dans la pièce, une vaste bibliothèque où l'odeur du cuir et du bois ciré dominait. Devant l'une des hautes fenêtres, une silhouette masculine se détachait contre la lumière du jour gris.

Adrian Deveraux.

Il se retourna lentement, ses yeux acier se posant sur elle avec une intensité troublante. Il était encore plus impressionnant en vrai que sur les photos des magazines : grand, élégant, une aura d'autorité naturelle.

- Asseyez-vous, ordonna-t-il d'une voix calme mais ferme.

Lina obéit, tentant d'ignorer le frisson qui lui parcourait l'échine.

- Vous devez vous demander pourquoi vous êtes ici.

- Effectivement, répondit-elle en croisant les bras. Je n'ai jamais postulé pour un emploi chez vous.

Un léger sourire effleura ses lèvres, fugace.

- Non, mais nous avons des intérêts communs.

Elle fronça les sourcils.

- Je ne vois pas en quoi.

Il prit un dossier posé sur son bureau, l'ouvrit et le fit glisser vers elle. Intriguée, elle baissa les yeux.

Ses mains se figèrent.

C'était son dossier personnel : son CV, des photos d'elle, des extraits de son compte bancaire, même des informations sur son ancienne adresse.

Un frisson glacé la parcourut.

- Comment avez-vous obtenu tout ça ? demanda-t-elle d'une voix tendue.

- J'ai mes ressources.

Il referma le dossier et s'appuya contre son bureau, la fixant avec un sérieux implacable.

- J'ai besoin de quelqu'un en qui je puisse avoir confiance. Vous êtes discrète, compétente et... dans une situation où vous ne pouvez pas refuser.

Lina sentit la colère monter.

- Vous me menacez ?

Il haussa légèrement un sourcil.

- Disons que je vous offre une opportunité. Un emploi très bien rémunéré.

- Quel genre d'emploi ?

Un silence s'installa. Puis il déclara d'une voix plus basse, presque intime :

- Un emploi où votre loyauté sera essentielle.

Tout dans son ton, dans son regard, lui criait qu'elle s'engageait dans quelque chose de bien plus complexe qu'un simple contrat.

Elle ouvrit la bouche pour refuser... mais un bruit sourd l'interrompit.

Un cri étouffé venant du couloir.

Lina sursauta, les yeux rivés sur la porte.

- Qu'est-ce que c'était ? demanda-t-elle, le souffle court.

Adrian ne répondit pas immédiatement. Il se contenta de se redresser et de fixer la porte avec un calme glacial.

- Ne posez pas de questions, murmura-t-il.

Le silence qui suivit était pire que tout.

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L'esclave du roi

L'esclave du roi

Kiss Leilani.
4.9

Il était une fois, il y avait deux royaumes qui vivaient en paix. Le royaume de Salem et celui de Mombana... Jusqu'au jour où le roi de Mombana est décédé et un nouveau monarque a pris la relève, le prince Cone. Le prince Cone avait une envie croissante de pouvoir après son couronnement, il a alors décidé d'attaquer Salem. L'attaque était si inattendue que Salem ne s'y est jamais préparé. Ils ont été pris au dépourvu. Le roi et la reine ont été tués, le prince héritier a été réduit en esclavage. Les habitants de Salem qui ont survécu à la guerre ont également été réduits en esclavage, les terres leur ont été enlevées et les femmes sont devenues des esclaves sexuelles. Ils ont tout perdu. Le mal s'abat sur le pays de Salem portant le nom du prince Cone, et le prince de Salem dans son esclavage était rempli de rage. Lucien, le prince de Salem, jura de se venger. 🌳🌳🌳🌳🌳🌳🌳🌳🌳🌳🌳🌳🌳🌳🌳 Dix ans plus tard, Lucien, à l'âge de trente ans, a organisé un coup d'État et a échappé à l'esclavage. Ils se sont cachés pour récupérer. Ils s'entraînaient jour et nuit sous la direction de Lucien intrépide et froid qui était motivé par son aspiration de récupérer les terres de ses ancêtres et de s'approprier le territoire de Mombana. Il leur a fallu cinq ans avant de tendre une embuscade et d'attaquer Mombana. Ils ont tué le prince Cone et ont récupéré tout ce qui leur revenait de droit. Alors qu'ils criaient leur victoire, les yeux de Lucien se sont posés sur la fière princesse de Mombana. La princesse Danika, fille du prince Cone. Lucien la fixait avec les yeux les plus froids qu'on n'a jamais vus, il sentit la victoire pour la première fois. Il marcha jusqu'à la princesse avec la chaîne d'esclave qu'il avait portée pendant dix ans et qui cliquetait dans sa main alors qu'il marchait. Il s'approcha d'elle et d'un mouvement rapide, il lui colla le cou. Puis, il lui releva le menton, fixant les yeux les plus bleus et le plus beau visage, il lui fit un sourire froid. « Tu es mon acquisition. Mon esclave personnelle et sexuelle. Ma propriété. Je te paierai à la pelle, tout ce que toi et ton père avez fait à moi et à mon peuple », déclara-t-il sèchement. La haine pure, la froideur et la victoire étaient la seule émotion sur son visage.

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