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Chapitres

Savez vous que même les écrits peuvent mentir sur ce qu'ils sont? Êtes vous sûr de ce que vous lisez? Si vous voulez savoir ce que renferme ce roman, il va vous faire croire qu'il commence basiquement par une histoire d amour, mais il renferme bien plus. Trois règles: tout est possible (presque), les choses ne sont jamais ce que l'on pense et apprenez à lire non pas entre mais derrière les lignes...

Chapitre 1 Rencontre

Les bruits ressemblaient à des coups. Lorsqu'ils cessèrent un groupe sortit de la ruelle, lui jeta un regard noir et partie.

Jenny:(Je devrais y aller ?)

Le passage était étroit et très sombre, la nuit s'installait. Une jambe en sang se dessina. Jenny se pétrifia. Elle tenta de calmer son souffle et s'approcha avec crainte.

Elle découvrit un superbe jeune homme mais dans un état désastreux.

Sa jambe gauche était ouverte, il perdait beaucoup de sang, son torse était caché par son pull mais l'on pouvait distinguer facilement qu'il était plein d'entailles, et son visage était recouvert de sang.

(C'est pas vrai qu'est-ce que je dois faire ?)

Elle sortit son téléphone et commença à appeler les secours. Une main lui prit son portable et raccrocha.

Jenny: Je...je veux juste t'aider... j... j'appelle juste les secours ne t'inquiètes pas...j...

?:Fais pas ça.

Son ton glacial la déstabilisa encore plus.

Jenny:Laisse-moi t'aider je ne vais pas te laisser là comme ça...tu es...

?:J'ai pas besoin de toi.

Jenny: Heu... je... je dis pas le contraire je prétends pas être douée, utile, ni rien je veux juste..

?:Ça va je vais bien va-t'en, t'as rien vu compris ?

Jenny:Non tu vas pas bien regarde toi tu as du mal à bouger et...

?:Mais putain qu'est-ce que tu comprends pas je t'ai dit de partir! Il tenta de se lever mais une violente douleur au ventre le fit se plier et il retomba par terre.

Jenny:Je sais pas si tu veux jouer le mec viril ou je ne sais quelle autre stupidité mais là tu es vraiment mal.

Elle reprit son portable en lui arrachant des mains et appela.

?:NON ARRETE ! Si tu veux m'aider soutiens moi jusqu'à chez moi, effectivement je pense avoir du mal à marcher...

Jenny:On progresse... pourquoi tu ne veux pas que j'appelle les secours tes blessures sont graves il faut les soigner.

?:Mon meilleur ami est médecin et je commence à avoir l'habitude je sais quoi faire.

Elle réfléchit, elle était persuadée qu'il faisait passer ça pour une attitude de mec macho mais que cela cachait quelque chose, qu'il faisait semblant.

Jenny:Comme tu voudras...appuie-toi sur moi. Tu habites loin ?

?:Ouais on va rentrer en voiture.

Jenny:Attends heu tu n'es pas en état de conduire là.

?:T'inquiète.

Elle l'aida et monta dans sa voiture, très stressée.

?:Tu t'inquiètes pour moi ou pour toi là ?

Jenny: Pourquoi je m'inquiéterai pour moi ? Tu ne comptes rien me faire.

?:T'as l'air bien sûre de toi ma belle. Il lui lança un regard avec un sourire malicieux. Elle devrait paniquer mais elle n'y arrivait pas, elle sentait qu'il ne lui ferait rien de mal.

La voiture s'arrêta et ils descendirent. Il entra sans lui adresser un mot.

Jenny:Tu veux que j'appelle ton meilleur ami?

?:Non.

Jenny:Mais tu m'as dit que tu l'appellerais pour qu'il te soigne!

?:Il a autre chose à faire.

Jenny:Comme quoi ? regardes toi il te faut des soins!

Il s'approcha en la fixant. Elle sentie des frissons la parcourir et se retint de se mordre les lèvres. Il était vraiment beau et très sexy même pleins de sang.

Ses mains étaient très viriles, ses bras laissaient apparaitre ses veines, ses yeux étaient d'un bleu profond, on s'y perdait facilement, son visage avait de très beaux traits, ses cheveux étaient sombres.

Il approcha sa main du visage de Jenny et sourit.

?:Je vais bien je te dis stresse pas comme ça.

Il se retourna et parti chercher du matériel de soin.

Il revint et resta sur place. T'es encore là toi ?

Jenny:Heu... ou...oui... tant que tu ne seras pas soigné je ne partirai pas.

Il leva les yeux au ciel et soupira.

(C'est agréable de se sentir appréciée...)

?:Bon Ba quitte à te supporter, autant en profiter.

Il alla vers elle, lui prit les bras, la retourna, l'allongea sur la table, glissa ses mains le long de sa taille et lui dit dans l'oreille :

Je sens qu'on va bien s'amuser...

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L'esclave du roi

L'esclave du roi

Romance

4.9

Il était une fois, il y avait deux royaumes qui vivaient en paix. Le royaume de Salem et celui de Mombana... Jusqu'au jour où le roi de Mombana est décédé et un nouveau monarque a pris la relève, le prince Cone. Le prince Cone avait une envie croissante de pouvoir après son couronnement, il a alors décidé d'attaquer Salem. L'attaque était si inattendue que Salem ne s'y est jamais préparé. Ils ont été pris au dépourvu. Le roi et la reine ont été tués, le prince héritier a été réduit en esclavage. Les habitants de Salem qui ont survécu à la guerre ont également été réduits en esclavage, les terres leur ont été enlevées et les femmes sont devenues des esclaves sexuelles. Ils ont tout perdu. Le mal s'abat sur le pays de Salem portant le nom du prince Cone, et le prince de Salem dans son esclavage était rempli de rage. Lucien, le prince de Salem, jura de se venger. 🌳🌳🌳🌳🌳🌳🌳🌳🌳🌳🌳🌳🌳🌳🌳 Dix ans plus tard, Lucien, à l'âge de trente ans, a organisé un coup d'État et a échappé à l'esclavage. Ils se sont cachés pour récupérer. Ils s'entraînaient jour et nuit sous la direction de Lucien intrépide et froid qui était motivé par son aspiration de récupérer les terres de ses ancêtres et de s'approprier le territoire de Mombana. Il leur a fallu cinq ans avant de tendre une embuscade et d'attaquer Mombana. Ils ont tué le prince Cone et ont récupéré tout ce qui leur revenait de droit. Alors qu'ils criaient leur victoire, les yeux de Lucien se sont posés sur la fière princesse de Mombana. La princesse Danika, fille du prince Cone. Lucien la fixait avec les yeux les plus froids qu'on n'a jamais vus, il sentit la victoire pour la première fois. Il marcha jusqu'à la princesse avec la chaîne d'esclave qu'il avait portée pendant dix ans et qui cliquetait dans sa main alors qu'il marchait. Il s'approcha d'elle et d'un mouvement rapide, il lui colla le cou. Puis, il lui releva le menton, fixant les yeux les plus bleus et le plus beau visage, il lui fit un sourire froid. « Tu es mon acquisition. Mon esclave personnelle et sexuelle. Ma propriété. Je te paierai à la pelle, tout ce que toi et ton père avez fait à moi et à mon peuple », déclara-t-il sèchement. La haine pure, la froideur et la victoire étaient la seule émotion sur son visage.

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