Les disputes entre papa et maman nous ont encore réveillés de notre sommeil. Mes frères sont sortis de la chambre pour aller voir ce qui fait crié ainsi notre mère en pleine milieu de la nuit. J'en suis sûre que ces cris vont encore réveillés les voisins. Moi , je suis resté toute seule dans la chambre pour n'est pas encore voir maman s'acharner sur mon pauvre père comme elle sait le faire. Les voirs se déchirés tous les jours pour un oui ou pour non me fait atrocement mal au cœur mais que pourrai-je faire pour les en empêcher de se disputes ? Je suis qu'une enfant de plus qui n'a pas son mot à dire. Je suis resté assise sur le lit toute triste et pensive quand j'ai entendu le voix du propriétaire de notre maison. Qu'est-ce que je vous disais ? Je me suis levé du lit puis sort à mon tour voir ce qui ne va pas même si je connais mieux que quiconque la raison. De toute façon , je suis l'aîné qui a plus d'expérience que mes quatres frères. Mon nom c'est Aminata Condé mais tout le monde m'appelle à la maison Amina. J'ai 17 ans et l'aîné de mes deux parents. Nous sommes cinq. Trois filles et deux garçons. Fatim , Satou, Abdou, Souleymane et moi. Ma mère Assiatou , n'a pas d'autre objectif dans sa vie que de se disputé à la longueur de la journée avec les voisins ou avec papa à chaque fois que ce dernier rentre à la maison sans la dépense complet qu'elle a exigé.
Les disputes entre papa et maman nous ont encore réveillés de notre sommeil. Mes frères sont sortis de la chambre pour aller voir ce qui fait crié ainsi notre mère en pleine milieu de la nuit. J'en suis sûre que ces cris vont encore réveillés les voisins. Moi , je suis resté toute seule dans la chambre pour n'est pas encore voir maman s'acharner sur mon pauvre père comme elle sait le faire.
Les voirs se déchirés tous les jours pour un oui ou pour non me fait atrocement mal au cœur mais que pourrai-je faire pour les en empêcher de se disputes ? Je suis qu'une enfant de plus qui n'a pas son mot à dire.
Je suis resté assise sur le lit toute triste et pensive quand j'ai entendu le voix du propriétaire de notre maison. Qu'est-ce que je vous disais ? Je me suis levé du lit puis sort à mon tour voir ce qui ne va pas même si je connais mieux que quiconque la raison. De toute façon , je suis l'aîné qui a plus d'expérience que mes quatres frères.
Mon nom c'est Aminata Condé mais tout le monde m'appelle à la maison Amina. J'ai 17 ans et l'aîné de mes deux parents. Nous sommes cinq. Trois filles et deux garçons. Fatim , Satou, Abdou, Souleymane et moi. Ma mère Assiatou , n'a pas d'autre objectif dans sa vie que de se disputé à la longueur de la journée avec les voisins ou avec papa à chaque fois que ce dernier rentre à la maison sans la dépense complet qu'elle a exigé.
Alors que papa , n'est qu'un simple ouvrier dans un chantier de la ville , il ne gagne de l'argent qu'en fonction du nouveau de travail dans le chantier. S'il en a beaucoup , il peut apporter beaucoup d'argent par jour mais s'il en à pas il ne rentre pas avec beaucoup comme veut maman . Il n'est pas riche mais fait quand même tout son possible pour qu'on ne manque de rien même si tantôt ça fait vachement chaud à la maison. On peut parfois faire des jours sans manger normalement comme on a l'habitude de faire si papa rentre avec beaucoup d'argent. À chaque fois que ça ne va pas bien pour papa , les tchuuurrrs interminable de maman vont commencés dans la maison.
Je sais que je ne dois pas parler ainsi de ma mère mais pour être franche, elle n'a jamais été là pour cet homme brave qui fait travaillés sa chair jour et nuit pour qu'on ne manque de rien mais on dirait que tout ce que papa fait n'a pas d'importance pour maman. Elle ne fait rien de ses dix doigts pour soutenir papa. J'ai été plusieurs fois témoin quand il lui donnait de l'argent pour démarrer une petite commerce mais maman n'a jamais essayé quoi que ce soit. À chaque fois que papa lui demandait pourquoi elle n'a pas commencé sa commerce, elle lui répondait qu'elle n'a pas été née pour être une vendeuse de gâteau ou d'aloco au bord de la rue. Ce dernier ne disait rien quand elle lui répondait avec des mots blessants.
Revenez à nos moutons , je suis sortis de la chambre puis part m'arrêtés dans un coin du salon pour observer les choses.
Papa ( aux voisins) : nous sommes sincèrement désolés de vous avoir encore déranger cette nuit monsieur Fa Moussa. Tante idia , nous sommes désolés.
Le propriétaire de la maison : c'est toujours les mêmes excuses monsieur Condé. Sans vous mentir nous sommes vraiment fatigués d'être tous les jours dérangés dans nos sommeils à cause de vos disputes interminable. Je vous pris de chercher un autre logement le plutôt possible avant qu'on alerte la police de cette situation. Passez une bonne nuit. On espère aussi qu'on ne vous entendrez plus jusqu'àu petit matin?
Le proprio et sa famille sont sortis de notre maison puis laisse mon père chamboulé sur place. Lui , un simple ouvrier comment pourrait-il trouvé d'argent aussi rapidement possible pour louer un autre appartement ?
Papa : tu es contente de toi j'espère ? Dit-il à ma mère très remonter.
Maman ( criant) : encore tout est de ma faute hein. Au lieu de bien prendre ta responsabilité comme un vrai homme , tu es toujours là à te lamenter sur ton sort. Toujours pas de travail par ci par là. Cherche une autre maison khé comme un vrai. Tchuuurrrs, tout ce qu'il sait faire , c'est de crier et de crier sans rien dans la poche. Cela fait combien de jour que mes enfants et moi n'ont pas mangés à notre faim?
Moi ( les larmes aux yeux) : sltp calme toi maman...si tu ne te calme pas , le monsieur va encore venu parler mal à papa. Plus de disputes sltp papa et maman. Faites le à cause de nous.
Maman : à cause de mes enfants , je vais te laisser en paix cette Mamoud , mais si jamais demain matin tu ne me donnes pas la dépense complet , tu sauras de quel bois je me chauffe. Vaurien.
Papa : si je n'ai pas tu veux que j'aille voler où ?
Maman : moi j'ai fini de parler.
Elle s'est levé et est entré dans sa chambre. Mes frères aussi ont fait pareille vu qu'ils somnolent même sur le canapé. Moi , je suis resté au salon avec mon père qui était très triste.
Moi : ça va aller papa . Dis-je prenant place à ses côtés.
Papa ( me serrant dans ses bras) : je sais ma princesse , je sais. Un jour , ta mère va amèrement regretter pour tout ce qu'elle me fait subir. Qu'est ce que je ne fais pas pour la rendre heureuse ma princesse ? Mais elle n'est jamais satisfaite de ce que je fais pour elle.
Moi : ça va aller papa. Un jour , tu seras un homme très riche .
Papa : j'espère que je ne serai pas mort avant ce jour à cause des crises de colère de ta mère ?
Le lendemain matin , je me suis réveillé à l'aube. Mes deux sœurs et moi ont faits le ménage. On a pris nos bain après puis nous changés et fait de même avec nos deux frères avant d'aller voir maman pour qu'elle nous donnes le petit déjeuner avant qu'on aille à l'école.
Nous sommes entrés dans sa chambre et la trouve couché, les yeux braquer sur le plafond.
Nous : bonjours maman.
Elle ( se redressant) : comment allez-vous mes prunelles.
Nous ( en chœur) : bien maman.
Moi : nous sommes prêts Pour l'école.
Elle : Fatim , regarde sur la coiffeuse si ton vaurien de père à laissé quelque chose avant de prendre la porte.
Moi ( le regardant) : maman.
Elle ( rire) : ah , j'ai oublié de dire du mal de lui alors que sa chère mère est là.
Elle croit que , le fait d'être l'homonyme de la mère de mon père qui fait que nous sommes très proches alors que ce n'est pas ça. Moi je vois l'effort que mon père fait sous le soleil ardant Pour que nous on reste sous l'ombre. Mais on dirait que maman ne voit jamais ça. Il rejettes la pauvreté de mon père sur lui-même.
Fatim : c'est dix milles frg , qu'il a laissé maman. Dit-il montrant l'argent à ma mère.
Fatim est ma jeune sœur de juste de deux ans. C'est avec elle que je partages tous mes petits Secrets. Elle est m'a meilleure confidente et meilleure amie. Ça nous attristes de voir notre mère manquer du respect à notre petit père tous les jours sans pourvoir faire quelques choses. À l'école , nous sommes toujours dans les dix premières vu qu'ont s'étaient jurés d'étudier et devenir des grandes dames dans le futur pour sortir notre famille de la misère.
Elle ( grognant) : c'est tout ce qu'il a pu laissé aujourd'hui comme dépense ? Il me trouvera ici le soir. Prends l'argent Amina et va acheter à manger pour toi et tes frères.
Satou : et toi maman , qu'est-ce que tu vas manger si on prend tout ?
Sa jumelle, j'ai vraiment peur que Satou ne ressemble à maman quand elle sera grande. Toujours à raconté ce que les parents de ses amis ont faits pour eux. Je la gronde toujours mais cela ne l'empêche pas de cessé. Ça l'a même arrivé de demandé un jour notre père pourquoi il n'est pas riche comme les autres parents. Maman l'a répondu que parce que notre père n'est qu'un raté. Fatim et moi ont faits des jours sans l'adresser la parole tellement qu'elle nous a énervé.
Elle : ne vous inquiétes pas pour moi mais chéris , l'essentielle est que vous , vous mangez. Allez-y, sinon vous serez en retard. Dit maman.
J'ai pris les dix milles et nous sommes sortis de la maison pour l'école.
Encore très triste et inquiet que maman ne mette ses menaces en exécution, papa est sorti très tôt le matin pour aller rechercher du travail vu que dans le chantier qu'il travail était fermer depuis quelques jours. Les dix milles frg qui lui restait comme argent , il a déposé sur la coiffeuse avant de sortir de la maison. Il a longer toutes les rues de Conakry à la recherche du travail mais il n'a rien pu trouvé qui pourra couvrir sa dépense journalière. Fatigué de marché, il est allé se posé sur un banc , histoire de se reposer un peu avant de réprendre la route. C'est là-bas qu'il l'a vu un homme demandant à la vendeuse de bouille de riz pourquoi son fils n'est pas venu travailler au chantier aujourd'hui.
La dame : mon fils , n'a pas dormi de toute la nuit à cause d'un Maux de ventre. Ce matin , c'est moi-même qui lui a demandé de se reposer aujourd'hui. Demain quand il ira , il reprendra le boulot.
Le monsieur : qui va faire monter les briques alors ? Les ingénieurs refusent de s'en charger de ça en même temps que leurs travails. C'est ton fils lui-même qui m'a dit de n'est pas chercher un autre employé, qu'il pourra s'en charger tout seul.
Durant toute leurs conversations, mon père les écoutaient.
Quand l'homme était sur le point de partir , il s'est rapidement approché de lui , histoire de voir si il pourra le prendre à la place du fils de la dame.
Mon père : je peux vous aidez monsieur ? Dit-il avec un peu d'espoir.
Le monsieur s'est retourné puis le faire face. Il a scruté de haut en bas pour sûrement être sûr qui pourra faire le travail avant de le répondre.
Le monsieur : bien-sûr. Venez avec moi , le chantier n'est qu'à quelques mettres d'ici. Une fois que vous verrez le travail, on va discuté le prix.
Mon père : d'accord.
Mon père traversait la route avec le monsieur quand soudain un camion en pleine vitesse est venu le reversé et avant qu'on ne l'emmène à l'hôpital il rendu l'âme dans les bras du monsieur.
Moi , j'étais assise en classe mais toute mes pensées étaient tournés vers mon pauvre père. j'avais un mauvais pressentiment du genre comme si mon père a problème au travail. Comme je ne comprenais rien au cour que le prof expliquait , j'ai prétendu un maux de tête pour qu'on me laisse rentré à la maison. J'ai rangé mes affaires dans mon sac puis part demandé la permission...étant une brillante élève, le prof m'a autorisé de rentré à la maison. Je suis allée dans la classe de ma petite sœur Fatim , je lui ai remis les dix milles avant de prendre la route pour la maison.
Je marchais les esprits ailleurs quand soudain les klaxion d'une voiture m'ont fait comprendre que j'étais en pleine milieu de la route... J'ai sursauté puis passe de l'autre côté de la route. Le conducteur a fait marche arrière puis vient se garé tout près de moi. Il a baissé sa vitre. Quand nos yeux se sont croisés, j'ai cru que le temps s'est arrêté au tour de moi. Il était d'une beauté que je n'ai jamais vu de toute ma vie. Un jeune homme , d'une vingtaines d'années , très beau et très classe à la fois. Jamais , je n'étais troubler face à un homme comme je l'ai en ce moment avec lui. Ses yeux , ses lèvres. Tu dois te ressaise Amina , me souffle ma conscience.
Lui ( d'un ton calme et autoritaire): ne pouvez-vous pas faire attention en marchant ? J'ai failli vous renversez. C'est par un grand coup de chance que je ne vous ai pas tué. Ça m'a fallait un grand effort pour arrêté la voiture. Faites attention sur les routes , tous les conducteurs ne roulent pas avec prudence.
Sa voix mon Dieu , sa voix. Qu'est ce qui m'arrive tout d'un coup. Lui il a failli me tuer moi au lieu d'avoir peur , moi je fatasmes sur lui comme pas permis.
Moi ( troublée) : j...je suis désolé monsieur.
Lui : en tout cas faites attention sinon si vous continuez comme ça, une voiture finira un jour par vous tuez. J'espère que je ne vous ai pas touché ?
Moi : non.
Lui : bien.
Il a démarré sa voiture et s'en va. Je suis resté quelques minutes secoué avant de reprendre ma route pour la maison.
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