La vie est-elle facile ? Non sans doute ! Certains naissent avec une cuillère en or . D'autres par contre, doivent se battre pour se frayer un chemin et espérer se faire une place dans cette société très sophistiquée et parfois cruelle pour les plus faibles. Qui ne veut pas vivre le bonheur ou devrais-je demander qui aime vivre le dans la souffrance et le malheur pendant longtemps ? Je pense que la réponse semble évidente. De telles circonstances ont toujours poussé l'homme dans sa globalité à migrer toujours en quête du bonheur ? Mais cela vaut-il vraiment le coup de supporter à porter le revers de cette médaille au nom d'un rêve meilleur ? Ou alors pensez-vous que le bonheur c'est apprécier ce que l'on a et de vivre près des siens? Chacun se fera une conclusion à travers mon histoire. C'est l'histoire de cette jeune fille qu'on va appeler Chloé et qui va tenter un voyage aventurier non légal ou conforme vers d'autres cieux avec ses compagnons de route en quête du bonheur. Mais Elle sera loin d'imaginer que ce voyage sera un #VOYAGE D'ENFER
Yvan: c'est moi que tu traites de bête Chloé ?
Chloé : oui! C'est toi. Tu as peut-être fait des grandes études, mais tu n'es pas toujours sage.
Yvan : ah bon!
Chloé : oui . On t'offre un paradis mais toi tu veux rester dans ton monde épineux. Quand la tête refuse de réfléchir, le corps souffre.
Yvan : D'accord merci!
À ces mots , je venais de réaliser que j'étais allé un peu loin avec mes mots. Et pour essayer de me rattraper , je m'étais approché de mon cher cousin.
Chloé : Désolé Yvan , je ne sais pas ce qui m'a pris , de t'envoyer de durs propos. C'est certainement la colère.
Yvan : Chloé j'ai plus rien à dire dessus. Tu es suffisamment grande pour choisir ce qui est bien pour toi.
Et il se dirigea vers la porte de sortie. Je le connaissais tout de même. Je savais qu'il était touché dans son égo. Mais je connais également Yvan. Il est très protecteur et je sais qu'il ne s'arrêtera pas là avant de m'avoir empêché d'y aller. Mais je ne pouvais permettre à personne de m'empêcher de réaliser mon rêve de " vivre comme une blanche".
Ma copine Mégane s'est chargée de rencontrer Harrel et de lui donner la somme dont il avait demandé pour nous deux. Elle m'avait notifié que tout était déjà réglé de ce côté. Il ne restait qu'à nous préparer pour le départ. J'étais excitée et impatiente rien qu'à l'idée d'y penser. Mais il me restait un seul obstacle. C'était mon cousin Yvan. Comme je savais qu'il allait m'empêcher de poursuivre ce voyage, alors j'ai décidé de lui faire boire un somnifère pour l'endormir . Je sais que vous allez me trouver certainement cruelle mais je pense que c'était la seule façon pour qu'il me laisse tranquille.
Les jours passèrent donc jusqu'au jour du fameux départ pour le voyage. Comme nous devrions partir dans la nuit, j'avais donc le temps de mettre en œuvre mon plan. Ce jour là à la maison j'ai cuisiné un bon ndolè avec des viandes accompagnés du plantain mur. J'ai également pris la peine d'acheter du bon vin . J'attendais patiemment son retour. Mon départ était fixé pour vingt deux heures. je savais qu'il rentrait toujours avant dix vingt une heure . Et par chance , ce jour-là , il arriva vers dix Neuf heures. Je l'accueillis avec tellement de tendresse . Je l'invitais également à me rejoindre à table.
Chloé : Cousin j'ai réfléchis à ce que tu m'as dit, et je me suis dite que tu as raison sur toute la ligne. Je ne pars plus en voyage de clandestin. Je suis parfois une idiote . Heureusement que tu es toujours là pour me ramener sur le droit chemin. Pour me faire pardonner , j'ai préparé ça pour nous . Mangeons et buvons pour casser la salle ambiance qui règne avec mon frère chéri.
Yvan : heureux que tu sois revenue à la raison petite sœur. Je serai toujours là pour toi. Bon mangeons.
Il me rejoint et se mit à manger avec appétit . Je lui servis du vin qu'il but. Pendant qu'il mangeait , son téléphone sonna. Il se leva pour aller décrocher un peu plus loin. Évidemment il ne doutait pas que je puisse faire quelque chose de mal en son absence. Je profitai de son absence pour verser du somnifère dans son fer et diluer le mélange. Lorsqu'il revint, il ne se douta de rien et continua à manger et à boire sans rien remarquer.
Chloé : Alors grand frère , c'était qui ?
Yvan : ah c'était un ami là qui m'a appelé avec un numéro inconnu. Il dit qu'il vient de voir des des annonces où c'était écrit " offre d'emploi" et il a pensé à moi que je remplis ce profil.
Chloé : ah qui sait peut-être, Dieu te sourit enfin.
Yvan euh ou.... Ou....ouiiiii
Chloé : Yvan tu as sommeil ? Tes paupières pèsent.
Évidemment mon coup commençait à réussir. Yvan finit par s'endormir sur la table . Moi je profitai pour partir au lieu où ma copine Mégane m'avait demandé de la rejoindre. J'étais partie sans remords même si c'était mon cousin . Nous sommes arrivées au lieu où on devait se réunir .
Là-bas , la première chose que je constatai était que Mégane et moi n'étaient pas les seuls présents. Il y'avait du beau monde qui attendait comme nous. Harrel était là près de nous. Il était en train de causer au tél en un dialecte ( patois) que je ne comprenais . Quelques minutes plus tard , il raccrocha et s'adressa à nous.
Harrel : bonsoir à tous. Vous aurez le temps de faire connaissance, mais sachez que vous êtes là toutes pour un objectif commun : changer de vie. Et c'est maintenant que votre nouvelle vie commence. Déjà, vous allez embarquer dans un car qui va vous emmener au grand Nord. Le car arrivera vers minuit. Soyez patients mes futurs mbemguistes.
Mon voyage pour l'aventure en clandestinité allait commencer véritablement
Nous avions commencé à attendre le monsieur dont nous a parlé Harrel. Comme cela était lassant et fatigant , nous nous sommes assises sur l'herbe. Le temps s'écoulait , et j'avais déjà même faim. Heureusement par chance , on aurait dit que Mégane avait lu dans mon coeur. Ma copine Mégane me tendit une gamelle :
Mégane : Tiens, mangeons ça en attendant ma sœur
Chloé : maman merci. Il y'a quoi dedans?
Mégane : un mélange de poisson braisé, de poulets , de riz et de plantains mûrs.
Alors que je voulais déjà lui remercier une fois de plus, une voix était écoutée derrière nous
-"D'aussi belles femmes, des voix aux tonalités aussi envoûtantes. Espérons que ce mélange ne sera pas incompatible avec vos ventres."
Nous nous sommes retournées pour savoir qui était entrain de parler. Et là,je vis un jeune homme brun d'une taille de guêpe .
Chloé :"Ekié monsieur on se connait ?
- vous êtes très charmantes demoiselles. Mon prénom est Joël. Je suis également là comme vous. J'attends vivre ma vie de rêve de l'autre côté. Et décidément je vois que j'ai pris la bonne décision. Dieu m'a fait te rencontrer particulièrement. Tu es si belle. Je ne regrette pas ma décision.
Chloé : Ekié. C'est en aventure que tu viens faire tes conquêtes ? C'est pas la folie ça ?
Joël : je suis en aventure en quête du bonheur, et toi tu es certainement ma première trouvaille de bonheur.
J'étais stupéfaite par ce que je venais d'attendre de ce garçon. Vraiment les hommes ne manquent pas souvent de scrupules. Mégane ne s' empêchait de rire et de moquer de moi.
Mégane : ikii ma coucou , apparemment ton aventure ci commence comme un conte de fée hein.
Chloé : pardon hein .... C'est pas drô...
Nous avons été interrompus car à l'instant même , il y'a des voies qui s'élèvent. Et c'est Harrel qui se fait menacé par un jeune homme en ce moment-là.
-"Bandit bandit. Depuis qu'on attend là? Tu veux nous manger notre argent hein. Il est où? Il est déjà l'heure passée."
Je vérifie l'heure sur mon petit téléphone , et je constate qu'effectivement le temps d'arrivée de ce supposé Monsieur d' Harrel est déjà passé. Il est minuit passé de presque cinquante cinq minutes.
Les autres également commençaient à s'impatienter et le firent savoir en soutenant le jeune homme qui prenait Harrel en otage. Lorsque les humains investissent sur quelques choses, ils deviennent très strictes au moindre manquement.
Harrel: je vous jure qu'il viendra. C'est pas de ma faute .
Mais ils ne voulaient rien entendre. Je commençais moi aussi déjà à croire que peut-être, ce monsieur ne viendra pas. À quoi aurait alors servi mon sacrifice de mon corps et l'empoisonnement léger de mon cousin Yvan. Non ! Je refuse de croire que Harrel a pu se jouer de nous. Le monsieur viendra sûrement. Je me répétais cela sans cesse. Finalement je crus percevoir le bruit d'un moteur en déplacement . Et si c'était lui?
-" Euh je vois des phares qui braquent vers nous ?" pouvait-on comprendre quelque part dans la foule.
-" c'est sûrement lui, il y'a le bruit d'un moteur. Désolé pour tout à l'heure Monsieur Harrel." Répondit une autre voix.
Je regarde également et je vois deux phares , non plusieurs phares je crois car la lumière est si intense. Et finalement ce sont deux grands camions qui arrivent devant nous. Finalement un monsieur assez barbu sort du premier camion. Je remarque qu'il porte une chemisette et un pantalon jean bien que sa chemisette tient encore grâce à un seul bouton qui résiste au ballonnement de son ventre. Vous l'avez compris, physiquement il n'était pas très soigné. Je le vois se diriger vers Harrel . En ce moment-là, je compris qu'il s'agissait du fameux chauffeur dont nous attendions.
Je ne sais pas ce qu'ils se sont dits en ce moment devant nous car ils parlent en leur langue maternelle qui m'était incompréhensible. Je vis juste Harrel nous regarder tous et nous dire
-" C'est bon mes amis, vous voyez que je ne vous ai pas trompés. Il est là, il est venu avec une autre personne. Entrez et bon voyage!"
Je pensais que nous allions entrer comme des personnes bien éduquées. Mais , je fus étonnée de voir que tout le monde courait vers le bus pour entrer.
Chloé :Ekié copine, c'est quel façon d'en....
Je me tourne et je constate qu'elle n'est plus là. J'aperçois juste sa silhouette au loin vers le bus. Et ce n'est qu'à ce moment que je commence à comprendre que c'est parti sans doute pour une véritable jungle. Elle ne m'avait même pas avertie de cela. Comme les autres , je me mets également à courir , mais lorsque j'entre finalement dans un bus, il n'y a plus de places disponibles. Même sur " le sol" du bus il n'y a plus de place. Je suis obligée de rester debout. Combien de temps va durer le voyage là-dedans ? Je ne sais pas du tout. Mais nous étions vraiment à l'intérieur comme des poissons dans une boîte de sardine. Je lance des coups de yeux un partout et je ne vois pas Mégane. Je comprends que sûrement elle est dans le bus. Je veux alors descendre pour la rejoindre de l'autre côté en voulant me faufiler , mais des gens m'en empêchent.
-une voix:" tu ne pousses pourquoi madame?"
Chloé : je m'en vais rejoindre ma copine de l'autre côté.
Ils se regardèrent avant d'éclater de rire.
Une autre voix: ma chérie , tu es folle ? Tu sors d'ici tu oublies le voyage hein.... On quitte déjà.
Une voix :" tu dois seulement supporter. Vous allez vous retrouver à la décharge là-bas à destination. Quand le genre ci ferme, c'est seulement pour la prochaine nuit."
Effectivement, le camion démarra et c'était le départ pour la destination inconnue sans plus aucun détail. Je pensais au fait que J'allais donc passer un jour entier et une nuit étant serrée comme une sardine dans une voiture et j'allais devoir supporter les différentes odeurs corporelles et de sueurs durant tout le trajet vers ce lieu inconnu en étant entassés comme des animaux.
Le voyage avait commencé. Où allons-nous ? En ce moment, honnêtement je ne savais pas. Mais je savais que nous n'allions pas nous retrouver directement d'un coup de tête en occident. Surtout pas en camion. D'ailleurs comment aurions-nous pu supporter un si long trajet en étant autant entassés comme des animaux? Revenons d'ailleurs à ce voyage ! Je me rappelle qu'au début l'ambiance était plutôt assez calme. Chacun était silencieux. On aurait dit que chaque personne ici présent , méditait sur son sort. Cette drôle d'ambiance dura à peu près une quarantaine de minutes voire une heure de temps avant qu'une petite odeur de gaz ne me parvienne jusqu'aux narines.
Chloé :Hum mince!
Le gaz s'évapora quelques secondes après , "ouf c'était fini" pensais-je à ce moment. Mais je n'étais pas au bout de mes peines lorsque je ressentis encore une odeur beaucoup plus forte. Et quand je dis forte, c'était vraiment le superlatif absolu de gaz toxique, croyez-moi ! Une odeur concentrée d'oeufs pourris et de vêtements sales trempés depuis des jours. Cette fois, je ne pus me contenir en mature. J'ai crié de toutes mes forces. D'ailleurs les autres non plus, n'ont pu se retenir
" Dis-donc . C'est quoi ces jeux de pets silencieux ?" Lança l'un de nous.
_" Mon Dieu ! Seigneur Jésus. Vous ne vous purgez pas avant de faire un tel voyage en aventure ? Malchance" poursuivit une femme dans le camion.
Imaginez-vous être enfermés dans une petite pièce entre quatre murs et devoir supporter des gaz de ventres les plus dangereux pour l'odorat qu'ils soient.
L'odeur persistait de plus en plus. Et ce qui m'intriguait que le coupable s' était fondu dans la masse et personne n'avait l'air étrange.
Une voix:"on va commencer à sentir les fesses de chacun ici..."
D'autres ne pouvant plus supporter cette forte odeur, tapèrent sur la porte de sortie pour montrer qu'ils voulaient sortir , mais c'était peine perdue.
Une voix : les gens ont le cœur ici dehors.
Une autre voix : ça c'est une bombe atomique. Si vous n'avez pas pitié de nous, ayez au moins pitié de vos ancêtres !
À peine quelqu'un avait prononcé ces propos, un autre gaz nous était parvenue une fois de plus aux narines. C'était de trop . Et tout le monde a crié :" héé" comme pour manquer l'étonnement d'une telle répétition. Cette fois, on décida de trouver le coupable.
Une voix :"que chacun hume l'odeur du derrière de son voisin."
Alors que nous étions encore sous le choc de ces odeurs nauséabondes de gaz, le camion fit un bruit inattendu et un dérapage et virage effroyable qui nous firent tous bousculer vers la gauche. On aurait dit qu'il esquivait quelque chose. En ce moment-là , j'ai eu la première grande peur de ma vie. Quelques minutes plus tard, le camion déraille vers la droite cette fois. Nous sommes tous pris de peur. Que se passe t'il ? Il semble qu'on vient de risquer la mort deux fois de suite. Comme vous pouvez imaginer, la panique est à son comble dans le camion. Finalement le chauffeur arrête le moteur et demande à tout le monde de descendre. C'est un soulagement pour tous car on respire un peu de l'air pur , mais nous sommes également inquiets car on comprend que quelque chose ne se passe pas bien.
Le chauffeur du camion semble fâché. Il nous regarde tous descendre avant de prendre la parole.
-"je ne veux pas sacrifier les enfants des gens ici pour rien. Celui ou celle qui sait qu'il a des choses bizarres dans son sac, le laisse ici discrètement. On se comprend. Je ne veux pas me répéter."
Je ne comprends pas ce que ça pourrait bien signifier tout ceci. Du moins à ce moment là, de quoi voulait-il dire par " chose bizarre". Personne ne semblait véritablement réagir par des actes aux propos du chauffeur. Ce dernier reprit:.
-" vous voulez jouez avec moi? je répète pour la dernière fois et cette fois en terme plus clair. Celui qui a les gris-gris dans sa valise ou son sac de voyage , le laisse ici. Je ne vais pas verser du sang en route à cause de vous."
Je commençais vraiment à avoir peur. Ce que j'écoutais n'était plus du tout naturel. Dans quoi m'étais-je embarquée?
Comme personne ne semblait réagir du tout? Le chauffeur nous regarda tous une fois de plus et retourna dans son camion où il s'asseyait. Il revient avec un chasse mouche en main .
Le chauffeur : " comme la personne veut jouer les malins, et bien on verra bien qui est le plus. Rira bien qui rira le dernier."
Il se mit à secouer fortement son chasse mouche. Je me rappelle même que je me demandais si par hasard il avait vu des mouches ou moustiques ici. Mais cependant, l'un d'entre nous se mit à respirer fortement comme s'il était bloqué au cou. Il tomba au sol et se mit à trembler.
Nous étions tous sous le Choc et apeurés . Décidément j'allais voir de ces choses incroyables dans cette aventure, on dirait un film.
Le chauffeur : Voilà le coupable !
Une voix : Chauffeur, il est mort? Qu'est ce qui se passe ici?
le chauffeur : comme j'ai dit plus tôt, ce gars avait des choses impurs dans son sac de voyage. Je ne sais pas ce que c'est exactement, mais il avait des gris-gris . Voilà pourquoi j'ai eu ces virages dangereux . Car la longue route n'aime pas de telles impuretés. et si on continuait la route sans rien faire, on aurait fait des accidents mortels à coup sûr."
J'étais sous le choc de ces révélations. Une chose est sûre, ce n'était pas qu'un simple voyage tout ça.
Le chauffeur : " Apportez-moi son sac ."
On lui apporta le sac de la personne écroulée, il fit une petite fouille et sortit un talisman qui brillait.
Le chauffeur (en soulevant le bras): voici son gris-gris, un talisman magique ! Voilà la cause de tous ces problèmes!
Bien-sûr, il y'avait un air de panique palpable chez nous. Ce qui était d'ailleurs normal.
Une voix : mais chauffeur ! Et que va t'il se passer pour celui-là qui est couché actuellement par terre.
Le chauffeur : pour votre ami couché là, ne vous inquiétez pas ! Il n'est pas mort. Il est juste évanoui. Mais il se réveillera bien après notre départ. Son voyage avec nous est fini comme ça. C'est sa punition!
Mon coeur battait très fortement. J'avais vraiment vraiment en train de vivre un cinéma digne des plus grands tournages mystiques. Sauf que là, ce n'était pas un film , ou alors c'était véritablement nous les acteurs.
Le chauffeur : quand on décide de poser un acte, il faut être prêt à assumer les conséquences. Prenez d'abord de l'air même cinq minutes avant qu'on reprenne le voyage. Soufflez un peu !
Bien qu'ayant la tête pleine de réflexion de mythes et de frayeurs , j'ai remarqué que le chauffeur se dirigeait vers un jeune homme. Et ce jeune homme était Joël. Il lui dit
-" apparemment c'est toi qui a mis mal à l'aise mes passagers avec les odeurs grotesques de ton ventre! Pense à te purger une fois que ton voyage sera terminé. Pour le moment, prends moi ces graines et mange-les"
C'était donc Joël qui nous mettait très mal à l'aise dans le camion depuis le début. Toutes ses belles paroles dans la bouche pour un vendre aux odeurs insupportables! Quelle ironie de sort, il me disait à moi et à Megane également juste avant le voyage qu'il espère qu'on ne mettra pas ces gens mal à l'aise dans le bus avec nos gaz à cause de notre nourriture.
Joël prit les graines et le mangea. Personne ne semblait s'occuper de Joël en ce moment-là, donc il ne sera pas insulté pour le reste du voyage. Après cela, le chauffeur annonça la fin de la pause.
Chauffeur :" On repart!"
Chapitre 1 1
09/11/2023
Chapitre 2 2
09/11/2023
Chapitre 3 3
09/11/2023
Chapitre 4 4
09/11/2023
Chapitre 5 5
09/11/2023
Chapitre 6 6
09/11/2023
Chapitre 7 7
09/11/2023
Chapitre 8 8
09/11/2023
Chapitre 9 9
09/11/2023
Chapitre 10 10
09/11/2023
Chapitre 11 11
09/11/2023
Chapitre 12 12
09/11/2023
Chapitre 13 13
09/11/2023
Chapitre 14 14
09/11/2023
Chapitre 15 15
09/11/2023
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