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Je m'appelle Romi Sarr je suis Sénégalaise j'ai 16 ans. Je suis lycéenne dans une école public de Dakar. J'ai 5 autres frères et sœurs issues des autres mariage de mes parents. Ma mère était la deuxième épouses de mon père. Après le divorce de mes parents maman c'était remarier et mon père à refuser de me laisser la suivre. Je ne la vois presque jamais et mon père était un éternel absent. Fonctionnaire de carrière papa était comptable Adjoint à la trésorerie de Dakar il ne pouvait pas s'appeler pauvre. IL devenait seulement pauvre quand il s'agissait de moi. Après son troisième mariage j'avais compris que ma vie allait devenir un enfer. J'avais 5 ans à l'époque et sa nouvelle femme n'a pas manquer de me le faire savoir. Elle ne m'aimait pas. La première épouse qui n'avait pas digérer ma mère ne comptais pas jouer les mamans pour moi elle avait déjà ces propres enfants et n'en voulais plus. Ma chance était quand même palpable. Malgré la distance et la séparation maman prenait de temps à autre pars à mon évolution. C'est elle qui m'avait appris par téléphone comment utiliser les serviettes hygiéniques et surtout le comportement à tenir pendant mes règles. Bref elle faisait sa part. Ma vie est devenue compliqué quand la troisième femme de mon père est venue vivre avec nous. Elle ne ratera jamais une occasion de me chercher des poux.En grandissant j'ai dû apprendre à me défendre et à me construire une carapace. Nos vie vont basculer le jour où papa va recevoir une promotion. Après les élections présidentielle papa se retrouvera nommé au saint du gouvernement plus précisément au poste de secrétaire général au ministère des Finances. Le patron de papa étant devenu le nouveau ministre des Finances proposera mon père à ce poste très important. Le jour de la fête de sa nomination je ne serai pas présente car la première femme à fait comprendre à mon père qu'il devra expliquer qui était ma mère et la raison de leur divorce. Pour faire court mon père devra expliquer à ces collègues pourquoi une femme avait rejeter le grand Samba Sarr. Bref vous l'aurez compris je ne serai pas sur la grande photo de famille. Au cours de la traverser du désert que je prétend être ma vie je verrai mes larmes sous un nouveau jour.

Chapitre 1 1

IL est 7h il me restait encore trente minutes pour rejoindre la gare de Bus. Je n'avais pas vue l'heure passer quand je repassais les chemises de papa. J'arrive de justesse a l'arrêt de Bus. Mon Bus venais à peine d'arriver une minute de retard de plus et ce chauffeur allait fermer les portes devant moi.

En temps normal j'aurais marcher mais demain sera le début des examens de fin d'année et tout le monde devait être présent à l'heure pour les derniers conseils du professeur Diallo. C'était important pour moi madame Diallo était celle qui nous aidait nous les enfants à basse moyens de pouvoir avoir les derniers manquant.

Elle m'avait promis à moi et à deux autres de mes camarades de classe de nous aider pour les frais de transport vers le centre d'examen. Une fois assise dans le Bus j'avais enfin le temps de souffler. Depuis mon réveil je n'avais pas de temps pour respirer. Non seulement je devais faire mes tâches ménagères du matin mais aussi celle de mes grandes sœurs. Des fille inutiles qui mettrais le feu à notre maison ci elles essaient de faire cuire un œuf.

J'avais 17 minutes pour fermer un peu mes yeux j'étais sur pied depuis 4h du matin. Avant de fermer les yeux je sent une main sur mon épaule en me retournant ma meilleur amie Marieme était assise derrière moi. Elle dit à voix haute

Marieme: Bonjour Ro. Dit moi tu ne m'a pas vue?

Romi: Non. Pardon j'avais peur d'être en retard donc j'ai payer et je me suis assise. Désolé comment va tu.

Marieme: Je vois que les deux sorcière ont encore tout fait pour te rendre en retard ce matin. Elle savent que tu a examen demain?

Romi: Non tu est folle? Tu te souvient qu'elles ont tout fait l'année dernière pour que je rate deux épreuves heureusement que madame Diallo à eu pitié de moi et m'a laisser les reprendres.

Marieme: Je ne sais pas comment tu fais pour rester calme. À ta place il y avait longtemps que j'avais tout dit à mon père.

Romi: Tu crois qu'il ne me voit pas tout les matins. Dit moi tu a pu réunir l'argent pour l'écolage?

Marieme: Oui mon père à compléter ce matin et toi

Romi: Oui j'ai réussi à vendre toutes les perles hier. Je veux juste dormir je suis épuiser.

Marieme: Dès qu'elle verrons que leur plan n'ont pas marché elle vont créer des situations.

Romi: Impossible je leur ai dit que l'examen c'est la semaine prochaine. Au moins j'aurais déjà finit les épreuves importants.

Marieme: Dors un peu je te réveillerai

Au boulot mon père venais a peine d'allumer son ordinateur que son patron Monsieur Babacar Gueye le cite dans son bureau.

Samba: Bonjour monsieur vous m'avez demander

Babacar: Ah tu est la entre Samba. Comment tu vas ce matin

Samba: Bien et vous?

Babacar: Ça va aussi. Dit moi tout est en ordre au niveau des comptes? Tout le monde est a jour?

Samba: Oui tout le monde a finit de rembourser ces prêts. On attendait que vous pour les derniers vérifications.

Babacar: C'est parfait apporte tout les dossiers ont va faire le nécessaire et jeter un dernier coup d'œil avant de les envoyés.

Samba: D'accord.

Papa ne comprends pas pourquoi son patron était ci nerveux. D'habitude il n'est pas ci pointillés papa s'exécutera quand-même. Pendant qu'ils faisaient les vérification le fils aîné de son patron Cheick entre dans le bureau après avoir été annoncé par la secrétaire.

Cheick: Bonjour messieurs

Tout le monde présent dans le bureau répond poliment à ces salutations mais son père ne semblait pas heureux de le voir

Babacar: Que fait tu ici tu n'a pas examen?

Cheick: C'est demain on est libre aujourd'hui.

Babacar: Attend ils jouent à quoi dans ton école avec toutes les sommes que ton lycée englouti tu ne devrais pas te promener dans les rues à cet heure qu'est ce que tu me veux

Cheick: Maman m'a dit de te donner cette lettre. Elle dit qu'elle est arriver ce matin tout juste après ton départ.

Babacar se fige. Ces collègues comprennent que cette lettre était important il pourrait expliquer la nervosité répéter de leur patron ces derniers jours. Papa prend la lettre des mains de Cheick et lui dit d'attendre le chauffeur pour le ramener. IL n'ouvre pas la lettre devant ces collègues curieux mais leur demande de continuer le travail. C'est après le départ de tout le monde que mon père va ouvrir la lettre en présence de son patron. Babacar l'avertit

Babacar: Samba lit bien. Cette lettre va décider de mon futur

Papa était surpris il jette de nouveau un coup d'œil sur l'enveloppe et là il se rend compte que la lettre provenait du secrétariat de la présidence. Monsieur Babacar Gueye est un membre actif dans le partie politique qui venait de gagner les élections. Un souffle et mon père se mets à lire la lettre. À la fin de la lecture mon père va féliciter son patron qui venait d'être nommé ministre des Finances et du trésor public. Un grand saut pour ce monsieur qu'il connaissait depuis plusieurs années. Vers midi se sera officiel au moment où le nom de Babacar Gueye fait l'affiche du journal du midi dans le communiqué de presse du nouveau gouvernement.

Moi je venais de finir ma journée de révision. Coller au mur je remerciais le ciel pour avoir une professeur comme madame Diallo. Elle venait de nous aider moi et deux autres élèves à réunir les frais de transport pour aller au centre d'examen. J'étais tellement soulagée que je m'étais assoupie sur le Mur. De loin madame Khady Diallo me remarque et me rejoint

K.Diallo: Romi tu peux rentrer comme tes camarades on a finit

Romi: Non madame je préfère attendre comme

K.Diallo: Je vois ces deux femmes te fond encore la misère

Romi: Non ne vous en faites pas tout va bien

K.Diallo: Je vais parler avec ta maman pour voir si tu peut rester chez elle pendant la période d'examens.

Romi: Non elle vient d'accoucher je ne veux pas la déranger

K.Diallo: Ok ne reste pas seul ici va dans la classe attendre avec Marieme il est bientôt 13h tu pourras rentrer.

En partant dans la classe madame Diallo est rejoint par son mari le directeur Monsieur Moussa Diallo. Ce dernier verra sa femme essuyer ces larmes il lui demande

M.Diallo: Pourquoi tu pleure elle t'a manquer de respect?

K.Diallo: Non Moussa Romi est toujours polie

M.Diallo: Alors pourquoi ces larmes ma chère

K.Diallo: 7 ans de mariage pas d'enfants je pleure tout les jours rien mais regarde comment une mère abandonne sa fille. Un seul enfant comme Romi je te jure que je lui consacrerai ma vie

M.Diallo: Pardon c'est de ma faute.

Madame Diallo réalise qu'elle c'était oublier elle rétorque ~Pourquoi ce n'est pas de ta faute c'est la volonté de Dieu. Allez viens je vais te servir à manger demain sera charger. Le couple disparaît dans le bureau du directeur. Coucher sur un banc je sans les mains de Marieme qui soulève ma tête pour le mettre sur sa cuisse j'étais trop fatiguée pour parler. Ça fait au moins une semaine que les épouses de mon père me réveille à 4h et me fond dormir à 1h du matin. Je m'y attendais c'était souvent comme ça la fille de la femme qui est partie coûtait moins chaire qu'une bonne. Je ne pouvais pas me plaindre c'est ma mère qui a choisit de partir.

Je n'avais qu'un seul but avoir mon baccalauréat et retourner vivre chez ma grand-mère au village. La maman de maman était différente j'avais vécu comme une reine chez elle pendant le processus du divorce. Les vacances arrivent bientôt et au-revoir la famille de papa. Je lui envoyait souvent un peu de sous de la vente de mes perles mais en période électorale personne n'avait la tête au perles. 13h je devait encore rentrer à la maison je n'avais pas le choix. Sur le chemin du retour Marieme me bombarde avec ces histoires de terrain de foot épuisée je me décide à lui prêter attention

Romi: Tu veux faire quoi là bas il n'y a que des garçons et des vieux pervers. Marieme pourquoi tu aimes les problèmes.

Marieme: Tu ne m'écoutais pas n'est ce pas

Romi: Désolée non. Je pensais à mes corvée à la maison

Marieme: Le garçon que je suis sensée épouser m'a dit de le rejoindre là bas pour parler. Son ami sera présent je ne veux pas y aller seul.

Romi: Je vois je vais faire de mon mieux pour venir

Marieme: Non ma mère va appeler ton père cet après-midi pour que ces sorcières n'est pas leur mots à dire.

Vers 17h je réussis à me libérer avec la permission de papa qui était rentrer plutôt. IL dira que j'étais le cadet de ces soucis il avait plus important à faire donc Romi été dans l'armoire. Assises dans cette foule qui regardais un match je ne comprend rien aux règles ma copine et moi étions sensée jouer les supporteurs.

Romi: Pourquoi te donner rendez-vous ici il Y'a trop de monde

Marieme: Peut-être qu'il voulais que je le regarde jouet au foot

Romi: Tu va épouser un frimeur? Pardon Marieme tu avais autant de problème et moi je ne faisais que parler de mes soucis. Pardon. C'est laquelle son équipe?

Marieme: Que Dieu me garde. Je ne sais pas lequel est son équipe copine. Pour un simple match je dois venir le regarder. S'il mangeais de la pizza j'aurais du apporter ma tenue de majorette

Romi: Mamou tu est dans le mauvais Giga. Je suis là pour toi. Applaudies une ou deux fois pour qu'il te vois. Peut-être qu'il sera content.

Marieme: IL semblait normal quand il est venus avec ces parents pour demander ma main mon Dieu dans quoi je suis.

~Je suis toujours normal. Dit une voix derrière nous. Nous nous retournerons surprise. Lamine Niang le futur mari de Marieme se tenait juste derrière nous avec son ami Cheick. Lamine nous offre un grand sourire en se moquant de nos propos

Lamine: Pauvre de moi. Si j'étais vraiment joueur vous alliez me faire ça à l'envers comme ça c'est grave les filles.

Les yeux de Marieme s'illumine en le voyant. Lamine Niang et ces amis étaient les beaux garçons de leur lycée. Pendant les rencontres sportive nous savions qu'il fallait un miracle pour qu'elle se fasse remarquer par ce fils de riche. Alors quand ma copine a appris qu'il sera son futur mari elle à dit oui. J'étais heureuse pour elle. Ils nous proposerons d'aller prendre une glace on acceptent. Lamine était en terminale il venait à peine d'avoir 17 ans. Fils d'un commerçant, son père souhaitait le voir se poser dans une bonne maison. Son choix tombera sur ma copine qui n'était nul d'autre que la fille de son amis de longue date. À l'autre bout de la ville maman était occupée à allaiter son bébé et devais supporter les commentaires odieux de sa nouvelle belle-mère Fatou Ba.

Fatou: Ça se voit! Ce n'est pas la première fois qu'elle accouche. Qu'est ce que j'ai fait à mon fils. Je suis venue aider pour un bébé mais l'intéresser à déjà un enfant je serre à quoi. Une épouse deuxième main c'est ce que mon fils m'a ramener comme femme. Quand je parle je suis la méchante.

Maman était assise dans sa chambre faisant comme ci elle n'entendais pas les remarques de sa belle-mère. Elle se contentera simplement d'ajuster la tête de son nouveau née en soupirant. Elle ne voulais pas répondre à ces nouveaux attaques. En regardant son bébé elle se souvient de moi et sourit en se disant dans la tête ~Ta sœur tétait plus vite que toi. Je me demande ce qu'elle fait actuellement. Elle étudie? Nous voici dans ce petit glacier je me vois offrir une glace au chocolat. Je reste tranquille à ma place et je les laisse discuter.

Le garçon qui l'accompagne n'était pas de notre secteur et il n'était pas bavard contrairement à ces personnages assis devant nous. Je finis par croire qu'ils nous avaient complètement oublier. Quelques minutes plus tard Marieme me montre discrètement un groupe d'hommes entrer pour acheter une glace. Au début je ne voyais pas pourquoi ces hommes devait m'intéresser mais en regardant de plus près je reconnais le nouveau mari de maman.

ILs prennent leur commande et s'en vont. En partant j'entends son ami lui demander ~N'est ce pas la petite de ta femme assise là bas? Sans même se retourner il lui répond ~Et alors? Les voilà parti comme ils sont venus. L'homme pour qui ma mère avait abandonné son foyer et sa fille n'en avait rien à faire de moi. Je n'ai jamais compris le problème qu'il avait avec moi bref le sentiment était réciproque. IL ne voulait pas de moi chez lui et je ne voulais pas de lui autour de moi. Deux sorcières et leurs enfants apprentis sorciers étaient largement suffisant. À la maison mon père était perdu dans ces pensées quand il regardait les avis de décès. Sa première femme Coumba qui ne se voyait pas aller faire la cuisine se plaint de mon absence

Coumba: Samba tu n'aurai pas du laisser cette fille sortir. Elle est paresseuse c'est sur qu'elle traine les pieds pour éviter ces taches

Samba: Qu'est ce que tu me veux qu'est ce qu'il y a encore

Coumba: Qui y'a-t-il tu m'a l'air nerveux

Samba: Rien le boulot. Tu voulais quoi?

Coumba: Que se passe t'il tu a été renvoyé

Samba: Non mon patron va devenir ministre

Coumba: C'est une bonne nouvelle je l'ai entendue à la télé

Samba: C'est bien mais ça veut dire un nouveau patron

Coumba: Je n'y avait pas penser tout ira bien ne t'inquiète pas

Samba: Ont mange quoi?

Coumba: C'est de ça dont je te parlais Romi est partie trainer dehors elle n'a pas encore fait à manger

Samba: Va me faire à manger respecte toi un jour Coumba

Papa n'avait pas finis de parler que sa deuxième épouses Aïda sort de la chambre avec le repas de papa. Ce n'était pas sa semaine. Papa regarde son repas et lui demande

Samba: La nourriture faisais quoi dans ta chambre? Je ne touche pas à ça. C'est pour faire avaler n'importe quoi au gens. Enlève moi ça et va le donner aux enfants.

Aïda: Samba je vais mettre quoi dans la nourriture.

Samba: IL y'a des règles dans cette maison. C'est la semaine de Coumba. Je ne vais pas toucher à ton repas. Coumba va m'apporter mon repas je dois me lever tôt demain.

Coumba: Je vais aller te préparer ça.

Samba: En gros ci Romi n'est pas la pour faire à manger tes deux grandes filles ne servent à rien?

Aïda: Mais tu a un repas devant toi.

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